La dissidence d'un absent
7 mars 2012
Merci Louis Côté de remettre les pendules à l’heure.
Je n’arrive pas à croire qu’une nouvelle génération de québécois, et plus particulièrement une nouvelle génération d’indépendantistes, doivent supporter elles aussi ce que ma génération a dû supporter tout le long –avant et après—des années Trudeau. Je préfère de loin les menaces imbéciles de partition de Mme Francis à cette immondice moralisatrice : le multiculturalisme du Canada.
Quelle condescendance de merde cet énergumène d’Irvin Studin
Pour parler « autrement » : au lieu d’organiser des conférences, Irvin Studin pourrait simplement faire comme Alexis de Tocqueville, qui ne craignait pas d’aller sur place pour se faire une idée.
Le gars de Toronto au Québec donc, pour voir s’il est si vrai que la jeunesse québécoise vit repliée sur elle-même. Des p’tites nouvelles pour lui, le torontois !
J’ai bien écrit « au Québec », ce qui devrait suffire à lui éviter alors, élémentaire, de perdre son temps dans le West Island…qui n’a pas même voulu récemment participer à la fusion et à l’édification de Montréal. On se demande d’ailleurs bien pourquoi…