L’ombre de George Soros plane sur le Québec
23 août 2017
Un certain Renaud Camus a osé parler et d'écrire sur un remplacement de population en Europe par l'immigration, par extension aussi en Amérique du Nord et au Québec.
En 2017, tout est fait en Europe et au Québec pour donner raison à cet autre Camus traité de tous les noms en 2011 et 2012, et que la majorité des francophones d'alors ont ignorés dont ma modeste personne. En connaissant l'existence de Soros, de ses opérations avec ses révolutions oranges en Ukraine pour changer les gouvernements, de ses fonds et ONG en faveur d'immigrants économiques compris.
Plusieurs comprennent ce qu'il en est, on veut forger des communautés séparées afin de détruire les nations et ici, celle du Québec, afin que le capitalisme nomade et total puisse être à l'aise partout et approfondir les capitalismes continentaux qui se sont développés dans le Canada de 1867 et dans les États-Unis de la conquête de l'Ouest, comprenant la mise au pas des autochtones et métis dans les deux fédérations racistes se glorifiant de -démocratiques-, comme de cantonner les francophones au Québec par les lois scolaires d'interdiction du français.
Trudeau, le fils du père ne fait que reprendre John.A. Macdonald et son train de l'Atlantique au Pacifique, si ce n'est que ce sont les traités de libre échange globalistes et l'immigration qui l'occupe malicieusement et probablement les pipelines dégueulasses.
Il faut que le PQ ose sortir de la bulle médiatique radio canadienne trudeauiste. La Meute est le résultat de gens qui ont compris et qui comprennent de jour en jour, malgré un patriotisme canadien pour un certain nombre de partisans, qu'il se passe quelque chose qui n'est pas un hasard.
Si le mouvement vient de Québec avec sa part de population québécoise encore homogène, c'est que ses citoyens comprennent mieux comment l'abus de différenciation culturelle défait les liens sociaux tout simplement et empêche l'assimilation à la majorité.
Montréal, c'est devenu difficile, la diversité est aussi une séparation et je suis de Montréal que je pense quitter, car, on ne voit pas l'avenir dans la métropole pour la laïcité et le français.
La race n'est pas en cause, seulement le conflit culturel à prévoir.