Médias, crise, ordre professionnel et bon journalisme
11 mai 2012
Ce qui se passe, monsieur Lapointe, c'est que ces journalistes grassement payés font partie des "satisfaits" de la société, ceux pour qui l'affaire va tellement bien qu'il faut que rien ne change;
Leur avenir est assuré; ils ont des plans d'épargne-retraite, ils ont investi (eux) dans les études de leurs enfants qui, espèrent-ils, seront l'élite québécoise de demain.
On ne parle pas ici d'assistés sociaux à $575 par mois; ces derniers aimeraient bien voir du changement, comme par exemple l'instauration d'un revenu de citoyenneté universel afin que tous puissent vivre décemment et heureux au Québec.