La France trouve écho au Québec.
8 mai 2012
L’entente ne touche pas à la mission fondamentale des universités, c’est-à-dire la tâche des professeurs et leur système corporatiste. Elle demande aux étudiants et à un conseil provisoire de vérifier s’il y a des économies à faire au niveau universitaire, au lieu de s’attaquer au financement des universités. Vous voyez comment les recteurs et leurs administrateurs sont demeurés silencieux dans ce débat. Ils ne veulent pas dénoncer le corporatisme professionnel des professeurs et des privilèges financiers qui s’y rattachent. Il en va de même dans le système de la santé et de la fonction publique. En plus on ne touche pas au monde de la finance, aux grandes entreprises et aux banques, là où il y a beaucoup d’argent.