Desmarais, la dépossession tranquille
23 février 2012
M. Le Hir,
Y'aura-t-il un lancement de votre livre à Québec! Si oui, j'aimerais bien y assister.
André L.
Certains juifs critiquent ses méthodes
l’Affaire Michaud n’est pas cataloguée dans le rapport
23 février 2012
M. Le Hir,
Y'aura-t-il un lancement de votre livre à Québec! Si oui, j'aimerais bien y assister.
André L.
23 février 2012
Si le P.Q. ne fait pas de coalition sur un programme
commun d'indépendance.il n'aura pas la chance de prendre
le pouvoir.Les indépendantistes ne veulent rien savoir
d'une gouvernance souverainiste.
22 février 2012
Pour apporter de l'eau au moulin et en finir avec la lubie du souverainisme, l'avis exprimé à ce sujet du Professeur Marc Chevrier, politologue et juriste enseignant au Département de sc. politique à l'UQÀM. Je vous prie de bien l'écouter :
http://www.youtube.com/watch?v=lr8_NyeiNl0
df
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22 février 2012
Nos élites au Québec, on ne peut en sortir, ce sont ceux qui ont beaucoup d'argent et qui font fonctionner l'économie. En plus d'eux, il y a nos décideurs politiques, il y a nos vedettes médiatiques, artistiques, ceux qui forgent l'opinion.
Mais en gros, nos élites au sens où la majorité des gens l'entend, ce sont nos décideurs politiques et économiques.
22 février 2012
Comme vous le savez sans doute, O.N. est un parti très jeune. En conséquence, il y a une forte demande en covoiturage pour des étudiants qui souhaitent participer au Congrès. Alors, faitent un bon geste et contactez le Parti via son site Internet pour indiquer votre disponibilité.
22 février 2012
BRAVOOOOOOOOOO!!!!!!
Partons à l'offensive chers indépendantistes!!! Nous avons un peuple à libérer et un pays à bâtir!!
En passant, j'y serai à Trois Rivière, seul de Gatineau, vendredi soir avec rien à faire... Si ça intéresse quelques membres qui si rendent la veille du Congrès, on prend un verre ensemble??? Appelez-moi au 819-360-3265(cell) si celà vous intéresse!
À SAMEDI À BÉCANCOURT!
GUY RACICOT
QUÉBÉCOIS, CORPS ET ÂME!
22 février 2012
Excellente analyse, Monsieur Lapointe.
Toute lutte pour l'indépendance est une lutte de libération nationale. C'est la lutte d'un peuple colonisé pour en finir avec la domination du colonisateur. Or, les colonisateurs dominent les colonisés de la même façon que les exploiteurs dominent les exploités. C'est pourquoi toute lutte pour l'indépendance, toute lutte de libération nationale a inévitablement un arôme de gauche qu'elle doit assumer sans complexe.
Comme les exploités, les colonisés se battent pour renverser la domination qui pèsent sur eux. Dans un cas comme dans l'autre, cette domination, politique ou économique, n'est que celle du plus fort et n'a par conséquent, comme l'a déjà brillamment démontré le philosophe Jean-Jacques Rousseau, aucun fondement moral, aucune légitimité. C'est là pourquoi, d'ailleurs, les peuples colonisés tout comme les classes exploitées, les indépendantistes tout comme les socialistes, ont en général pour premier réflexe de mettre en lumière le caractère illégitime du régime qu'ils combattent, le colonialisme dans un cas, le capitalisme dans l'autre.
Évidemment, dira-t-on, ici comme ailleurs, on n'a plus les indépendantistes ni les socialistes que l'on a déjà eus ! Après quoi on se demande pourquoi ça piétine tant...
J'ai dit plus haut que nous, indépendantistes, devons assumer sans complexe l'arôme de gauche qui caractérise notre lutte. C'est que, comme nous invitons les nôtres à rejeter un système de domination, le colonialisme, nous ne pouvons quand même pas leur prêcher en même temps la soumission à un autre système de domination, le capitalisme. Cela manquerait de la plus élémentaire cohérence.
Cela dit, bien sûr, il est entendu que nous ne pouvons quand même pas non plus attendre la fin du capitalisme pour abattre le colonialisme, c'est-à-dire pour faire l'indépendance. D'où la nécessité de distinguer les deux luttes, mais jusqu'à un certain point. Là où sévissent à la fois le colonialisme et le capitalisme, il convient d'abattre d'abord le colonialisme, sans pour autant bénir le capitalisme. C'est que l'Histoire, sauf erreur, nous montre bien, d'une part, que le colonialisme est plus facile à abattre que le capitalisme et, d'autre part, que les peuples affranchis du colonialisme sont mieux armés contre le capitalisme, et cela même si, bien sûr, l'indépendance ne leur apporte pas une protection absolue.
Subir tout à la fois le colonialisme et le capitalisme, c'est un peu comme souffir de la grippe et de l'hypertension. Il faut certes combattre l'hypertension, mais attendre de l'avoir vaincue pour s'attaquer à sa grippe, c'est plutôt con, non ?
Enfin, s'il y a dans la lutte pour l'indépendance une dimension qui s'apparente beaucoup à la lutte que mène la gauche socialiste contre le capitalisme, il existe aussi une sorte de gauche dont il convient sans nul doute de se distancer. Je parle ici de cette gauche qui, bien loin de dénoncer la concentration du capital et l'exploitation des travailleurs, se spécialise dans l'apologie d'une modernité ou, peut-être plus encore, d'une postmodernité au nom de laquelle elle n'a de cesse de dénoncer l'attachement des couches populaires à des traditions culturelles dont le seul tort, impardonnable à ses yeux, est d'avoir quelque ancienneté.
Cette gauche-là, du reste, est-elle bien une gauche ? On peut se le demander, tant sa rhétorique tout axée sur les seuls droits individuels sert à merveille les intérêts des puissances capitalistes. Disons que, à l'exemple du très mal nommé Parti socialiste français et du New Labour britannique, c'est une gauche de droite ! En son temps, Jean-Paul Marat, bien avant son dernier bain, avait su dénoncer l'hypocrisie du père de cette fausse gauche, Voltaire, à qui il préférait bien sûr le père de la vraie, Rousseau.
Luc Potvin
22 février 2012
C'est monsieur Roberts qui dit dans son article que les élites occidentales ne sont plus intéressées par la démocratie.
Monsieur Roberts parle de ce qui est arrivé depuis la crise financière en 2008.
À mon avis, ça fait une bonne décennie que les élites occidentales ne sont plus intéressées par la démocratie.
Les attentats du 11 septembre 2001 n'ont-ils pas été utilisés dans le but d'instaurer une société de surveillance des citoyens, autrement dit un État policier, et ce autant aux États-Unis que dans les autres pays occidentaux?
22 février 2012
M. Payne, j’espère seulement que vous soyez entendu et surtout, compris.
Ivan Parent
22 février 2012
Ya-t-il quelqu'un qui peut nous traduire du catalan au français ce documentaire extraordinaire sur la lutte pour l'indépendance nationale menée par les nations du Québec, de la Catalogne, du Groendland et de l'Écosse?
22 février 2012
Bonjour Monsieur Richard,
J'ai visité en survol votre site. J'avoue que j'ai un peu de difficulté à en saisir le principe, mais je prendrai le temps requis pour bien comprendre.
Bon succès !
Michel Rolland
22 février 2012
Enfin! La fausse souveraineté est morte, vive la vraie indépendance!
Une Québécois décanadianisé depuis longtemps
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