Mentir pour son mentor
11 février 2012
Il faut tout de même se souvenir que se sont des gens comme Jacques Plante, du comté le Laprairie, qui ont tout fait pour amener le candidat Rebello dans le comté de Laprairie. Sans doute, à l'époque, pour se donner de l'importance auprès du chef du PQ.
L'exécutif du PQ du comté de Laprairie, au moment de la vague Dumont, dérivait singulièrement, vers ce parti. Et puis vint Rebello, et son parachute !
François Rebello, un parachuté, et un arriviste de premier ordre, était déjà transfuge, au moment même où il a mis les pieds dans ce comté, fortement nationaliste, de la Rive-Sud de Montréal.
Rebello, un banal carriériste se cherchait une job. Et c'est, sur un plat d'argent, qu'on lui a offert le comté qu'il vient de trahir lamentablement.
L'exécutif du PQ du comté de Laprairie, s'apparente davantage, à une sorte de club de l'âge d'or, qui se complait, depuis des années, dans le jeu décevant de la chaise musicale, entre les mêmes vieilles pipes.
La candidature de François Rebello avait reçu l'appui inconditionnel des autorités locales du PQ, sous la naïve gouverne de gens associés à Jacques Plante, qui hurle maintenant au meurtre.
Des larmes de crocodile, et des déclarations intempestives à l'encontre de Rebello, ne suffiront pas à corriger une situation répugnante, induite de l'intérieur même des instances du PQ.
Le choix de Rebello, pour représenter, quelque formation politique, sera toujours une erreur. Ce politicien a maintes fois fait la démonstration qu'il est médiocre et déloyal.
L'homme a la duperie imprimé dans la face.
Monsieur Plante, il est trop tard pour brailler et vociférer.
Rebello n'en a jamais valu la peine !