Faut-il s’écraser devant la fourberie, la brutalité et l’intimidation ?
24 mai 2016
J'appuie Vigile et contribuerai dès qu'il me sera possible de le faire.
Certains juifs critiquent ses méthodes
l’Affaire Michaud n’est pas cataloguée dans le rapport
24 mai 2016
J'appuie Vigile et contribuerai dès qu'il me sera possible de le faire.
23 mai 2016
En attendant,quelle belle après-midi au parc Lafontaine en ce 23-05-2016 pour commémorer le passage en terre québécoise de ce grand patriote que fut Dollard-Des Ormeaux.
23 mai 2016
Cette pétition est pour l'Hotel-Dieu de Paris !
22 mai 2016
Le référendum est un moyen, et pas le meilleur, pour arriver à l'Indépendance. Le référendum doit être un outil pour mettre de la pression sur Ottawa dans notre rapport de force avec les Canadians. L'important, c'est d'avoir un programme de gouvernement de rupture(ou de gestion des affaires courantes) et non pas un programme de gestion provinciale. Promettre un référendum à court terme, ça ressemble pas mal à de la rupture.
Ça, c'est important de le dire, mais selon l'évaluation que je fais, les Péquistes sont si obnubilés par le pouvoir classique de gestion de l'État que je ne crois pas qu'un (e) candidat qui va trop mettre l'accent sur l'indépendance a des chances d'être élu(e) et beaucoup de Péquistes espéraient que Péladeau ne mette pas trop de l'avant l'Indépendance, même après son arrivée à la tête du PQ. On verra bien ce qu'un congrès du PQ décidera en temps et lieu là-dessus, mais de toute façon, c'est le chef qui aura le dernier mot, comme dans tout bon vieux parti.
Je vais vous écrire quelque chose qui semblera une hérésie, mais l'important n'est pas de tenir un référendum, mais de promettre d'en tenir un. C'est important pour l'interne du mouvement indépendantiste, parce que ça éloignera les affairistes et les carriéristes de la tête du mouvement indépendantiste.
M. Lisée a d'ailleurs parfaitement raison de penser que le référendum est un repoussoir. Et l'Indépendance aussi, on va se le dire, on n'est pas en 1993 ou en 1997. Mais cela ne doit pas nous empêcher de prendre les bonnes orientations immédiatement et de faire de la lutte pour le pays un élément quotidien de nos actions politiques, quelques soient les résultats électoraux.
22 mai 2016
Si maintenant,Pierre Karl Péladeau,met son empire médiatique au service de l'indépendance du Québec,(comme l'a fait la famille Desmarais pour la confédération canadienne),je comprendrai.
22 mai 2016
Il me semble que l'engagement de Mme Martine Ouellet de tenir un référendum dans un premier mandat laisse suffisamment de temps pour expliquer le projet d'indépendance du Québec à la population; cela peut donner jusqu'à 6 ans pour bien se préparer. Personnellement je préférerais un référendum au plus tard en 2020 question de se laisser une marge de manoeuvre entre le référendum et une nouvelle élection; cela donne quand même 4 ans de préparation.
Je ne suis pas convaincu que le PQ puisse gagner la prochaine élection en maintenant le flou sur la question du référendum ou en remettant aux calendes grecques sa tenue. Ce que plusieurs souverainistes veulent c'est un chef déterminé et un programme étoffé, solide et précis d'accession à l'indépendance. Pour moi, au plan de l'échéancier c'est actuellement Mme Martine Ouellet qui se rapproche le plus de cet idéal. Pour ce qui est du cheminement précis d'ici le référendum je suis en attente de ce qu'elle présentera aux militants souverainistes et à la population (en souhaitant que le 27 mai elle rende effective sa candidature à la chefferie du PQ).
21 mai 2016
@Gaston Carmichael @Pierre Bouchard @tous les autres
Qu’entendez-vous par ce second référendum ? Est-ce une proposition de constitution, et la question du référendum serait quelque chose du genre "Approuvez-vous ce projet de constitution, Oui ou NON ?" Gaston Carmichael
Bien oui. C'est quoi cette histoire de second référendum ? !
Il n'en est besoin que d'un référendum. bon dieu ! et dans un premier mandat : "Approuvez-vous ce projet de constitution, Oui ou NON ?" Un point c'est tout.
Référendum de ratification auquel nos élus indépendantistes auront consacré l'essentiel de leurs travaux au cours d'un même premier mandat.
Revoir le cadre stratégique Robert Laplante
Il ne reste qu'une personne qui soit capable de soutenir un tel défi dès la course à la chefferie ; espérant que Martine Ouellet saura saisir la balle au bond.
21 mai 2016
Enfin, un qui commence à comprendre. Maintenant il reste juste qu'il agisse et ça c'est pour quand ?
21 mai 2016
Si je regarde dans ma boule de cristal pour les prochaines années, je vois un Canada économiquement à plat plus divisé que jamais avec encore à sa tête ce grand nigot de Justin s’enfargeant dans ses contradictions verdoyantes sur fond de pétrole sale bitumineux appuyant Israël et L'Arabie saoudite aveuglément avec la marionnette Stéphane Dion.
Le Canada est comme un dragon qui se réveille à chacune de ses crises sur le dos du Québec. Je doute qu’avec la complicité du renégat Philippe Couillard, l’affaire sera dans le sac comme à l’époque de Robert Bourassa lorsque même les plus pleutres d'entre nous n'auront d'autre choix que de sortir de cette épave héritée de la monarchie britannique à l'image qu'est devenu aujourd'hui son sénat sénile absolument indécrottable.
21 mai 2016
Le geste de Pee-Wee Trudeau contre la députée NPD à la chambre des communes n'est pas sans rappeler l'agression sauvage de Jean Chrétien sur le manifestant Bill Clennet lors de la cérémonie du Drapeau tenue à Gatineau en février 1996.Pour ces libéraux tout est pardonné et permis. Il ne faut pas se retrouver sur leur passage.
La meilleure est la déclaration de Pee-Wee qui a dit "Je m'attends à mieux de moi-même" .
Se déçoit-il?
21 mai 2016
@M Schneider:
Le lendemain d'un référendum positif, le Québec ne sera plus tout à fait une province, ni tout à fait un pays. Le parti au pouvoir aura alors la responsabilité de préparer l'élection d'un premier gouvernement du pays du Québec. On fera cela selon quelles règles?
Pourrait-on alors penser à une constitution intérimaire, qui pourrait entre autre déterminer un nouveau mode de scrutin? Cette constitution serait minimaliste et intérimaire parce qu'elle ne serait en vigueur que le temps que le prochain gouvernement élu fasse approuver une constitution définitive pour ce pays.
Les choses pourraient se dérouler ainsi:
1- D'abord, une élection référendaire. C-à-d, un élection où l'on demande le mandat de lancer un référendum sur l'indépendance du Québec.
2- Lancement du référendum. La question précise, et la proposition de constitution intérimaire seraient alors dévoilées. Cette proposition de constitution intérimaire serait défini par le gouvernement au pouvoir. Il pourrait y avoir des consultations, mais pas de référendum. Cette constitution intérimaire serait simplement décrété (suite à un OUI du référendum).
3- Élection du premier gouvernement du pays du Québec, selon les règles établies par la constitution intérimaire
4- Ce gouvernement aura la responsabilité de définir une nouvelle constitution dans son premier mandat
5- Référendum pour faire endosser cette constitution.
Une difficulté qu'il faudra gérer dans ce scénario, est que durant la période de transition, nous aurons deux constitutions en compétition.
21 mai 2016
«... et qu’il y aura inévitablement un second référendum pour approuver ou rejeter. »
Qu'entendez-vous par ce second référendum? Est-ce une proposition de constitution, et la question du référendum serait quelque chose du genre "Approuvez-vous ce projet de constitution, Oui ou NON?"
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!