Solution au problème constitutionnel québécois !
9 février 2008
Il faut bien lire 35% d'appui à l'option indépendantiste. J'ai fait une petite erreur.
Democracy Now
Canal D - Sovimage
avec Stéphane Bureau
9 février 2008
Il faut bien lire 35% d'appui à l'option indépendantiste. J'ai fait une petite erreur.
9 février 2008
Non,mais qu'elle attitude aplat-ventriste, qu'elle courbette de colonisée devant son maître. C'est l'illustration parfaite de la sousmission devant la domination écrasante de la culture anglo-saxsonne.Au contraire, il faut relever la tête et contrer par un renforcement de l'enseignement du français,et de la loi 101, imposer les cégeps français aux étudiants venant du secteur francophone et redonner aux COFIS leur rôle de puissants outil d'intégration à la société française du Québec et les doter enfin d'un budget à la hauteur de leur mission.
Daniel Dupuis
Montréal
9 février 2008
''Les boeufs sont lents mais la terre est patiente.''
Pierre Falardeau.
Avec les dernières déclarations de Pauline Marois, je ne crois pas que nous ayons la moindre crédibilité pour négocier quoique ce soit.
Les sondages donne à l'option indépendantiste franche plus de 35%. Mettons-nous au travail afin de porter un message claire et sans ambiguité et les Québécois feront le reste.
Je vous informe que le Kosovo déclarera son indépendance nationale le 17 février prochain.
Courage monsieur Bousquet! Cessez de prêter le flanc à l'ennemi!
Petites statistiques éclairantes:
*1970 (Élections au Québec.)Appui à l'indépendance
24% (sans engagement de référendum.)
*1973 (Élections au Québec.) Appui à l'indépendance
33% (Sans engagement de référendum.)
Malgré nos tergiversations, notre gouvernance pronvincialiste, la crise d'octobre, les deux référendums volés, malgré Bouchard, malgré Landry, l'option indépendantiste est encore à plus de 38%. Si elle n'a pas progressée de façon significative, l'option indépendantiste se maintient bien vivante dans la population. Elle n' pas reculé. Ils nous incombe d'entretenir la flamme, de bien nourrir le feu. Tous les espoirs restent permis!
Relevons-nous les manches et portons fièrement dans le peuple québécois l'urgence de faire de notre Québec, notre pays!
9 février 2008
Du calme, Monsieur Poulin.
L'Action nationale publie plus d'une centaine d'articles de fond par année.
Peut-être devriez-vous la lire avant de lancer qu'elle appuie ceci ou cela?
Question de réfléchir à la place de chercher la chicane.
Sylvain Deschênes
Directeur adjoint, L'Action nationale
9 février 2008
Vu d'ici, le PeeQWiou est bon pour le renvoi d'eau!
En ce qui a trait au PI, sans en être membre, je dirais que ce
c'est un organisme voué à l'Indépendance qui doit être pris
au sérieux! Les étapes initiales qu'il vit présentement peuvent
ne pas être parfaites ou idéales au yeux de tous. il n'en reste
pas moins que tout ce qui en émane pointe vers l'accomplissemnt
d'un seul et même but: l'Indépendance du Québec. Il me semble
que monsieur Denis Julien de Lotbinière est tout particulièrement
bien placé pour apprécier la situation, et faire les commentaires
qui suivent: "Les gens peuvent changer." et "je partage les
mêmes objectifs que le PI et ne peut que lui souhaiter de réussir.
Seul l’indépendance importe ! " Cela vous honore monsieur Julien.
Et, vu d'ici, je dirais que les commentaires de Vigile semblent fort
justes et mérités par le destinataire, sans doute. Mais, je remarque
qu'après l'entrée en matière (infréquentable), l'auteur du texte nous
indique une route à suivre pour le PI: "coaliser milieux d’affaires,
minorités culturelles, nationalistes et indépendantistes, et à offrir
une alternative vraie et ultime au statu quo rejeté par une majorité
de Québécois. ... représenter ceux qui pensent et veulent un objectif
simple à concevoir et à proposer : L’INDÉPENDANCE DU QUÉBEC. "
Et voilà! La route est tracée, le PI est d'accord, monsieur Julien est
d'accord, Vigile est d'accord, et vous êtes tous d'accord avec l'expatrié
que je suis! (Oh mon doux seigneur!) Le PI est jeune, les erreurs de
parcours au début, ça arrive! Rappelons-nous seulement nos propres
"erreurs de jeunesse", messieurs-dames! Je dis que la chance est au
coureur; le PI s'est mis en route, elle est toute tracée, jusqu'au BUT.
Claude Jodoin Ing., Boca Raton É.-U.
8 février 2008
Vous avez été plus vite que moi sur le piton ce soir. Vous reflétez beaucoup ma façon de penser à ce propos.
Traumatisée par les médias de Québec, Pauline Marois pense que déteriorer la qualité de nos cours d'histoire est une bonne chose. Pire, elle propose que nous devenions tous billingues. Elle devrait recruter Justin Trudeau, ils pensent tous deux la même chose !
De l'autre côté, on a une clique d'autocrates galoppant sur des hippocampes magiques. Ils croient que le Pays va leur tomber dessus en faisant PLUS de PQ Bashing. Ils pensent, tout bonnement, que leur DUI adoptée sous baillon, sans sanction du lt.g sera parfaitement légale. Pire, ils proposent d'entrainer le Québec dans une dangereuse utopie, croyant que le Canada, un pays colonial et violent, nous laissera partir sans broncher.
Ils ne s'adressent qu'aux péquistes. Pas besoin de 50 % + 1. Pendant ce temps là, ils renoncent, tout comme les péquistes,à faire la pédagogie de l'indépendance. On laisse dans le noir les nouveaux québécois a propos de l'indépendance. Pas besoin d'eux, on a qu'à faire du PQ Bashing. PQ Bashing dans les billets de Caroline. PQ Bashing ici et là, saupoudrez en encore plus. Il y a des problèmes dans le PI ? Pas de problèmes, on remet une couche d'inquisition et de PQ Bashing ...
C'est, dans les deux cas, de la démission collective.
ÇA M'ÉCOEURE !
8 février 2008
M. Julien qui m'écrit : «Pour négocier d’égal à égal cela, ça prend un rapporte de force que seul l’indépendance peut nous donner. C’est la secousse sismique nécessaire !»
Vous pensez que la majorité de Québécois, dans l'état actuel des choses, vont dire OUI à ce genre de secousse sysmique ? NON, M. Julien.
Si 60 % et plus de Québécois disent OUI à une proposition claire pour une confédération, le fédéral ou le ROC, si on veut, serait obligé de négocier de bonne foi "c'est la cour suprème canadienne qui l'a statué" et aussi parce que, s'il ne le fait pas, il sait qu'il pourra radicaliser encore plus les Québécois qui pourraient alors décider de se séparer carrément par frustration et de joindre les Américains ou l'Europe des 27.
Si notre gouvernement provincial désire négocier l'indépendance sans mandat fort venant des Québécois, il n'y aura pas de négociations possible et il n'y aura pas de mandat fort des Québécois si c'est pour l'indépendance totale du Québec parce que les Québécois ont peur de ça et trop désirent demeure canadiens...point
Si les Québécois ne voulaient même pas, en assez grand nombre, d'une vraie confédération, imaginez le difficulté supplémentaire à vouloir l'indépendance du Québec (plus grand pas à franchir pour le mou de l'option).
Des convaincus comme vous, ça ne courent pas les rues M. Julien.
Qui vivra, verra.
8 février 2008
Il fallait plutôt dire 1982. (Date du rapatriement de la constitution canadienne.)
8 février 2008
Réponse à Ébullition.
Je m'en tiens à ma lettre de démission du PI.
Si mon expérience personnelle avec le PI fut négative, j'en assume pleinement les conséquences même si ce fut douloureux.
Je fais quand même confiance à l'avenir. Les gens peuvent changer. Ils peuvent aussi réaliser qu'ils se sont trompés et faire amende honorable.
En terminant, je partage les mêmes objectifs que le PI et ne peut que lui souhaiter de réussir. Seul l'indépendance importe!
8 février 2008
Vous avez totalement raison de vous insurger contre les déclarations récentes de Pauline Marois. Mon épouse est anglophone et originaire de l'Ontario. Nous avons eu deux enfants qui ont fréquenté des écoles francophones et, bien que vivant dans un environnement francophone, ils ont appris l'anglais à l'école (à la maison, ma femme n'a jamais utilisé une autre langue que le français). Quand nous allions visiter la famille (assez nombreuse) en Ontario, aucun de mes neveux et nièces ne s'adressait à leurs cousins en français. C'étaient nous quatre qui devions parler anglais. Et quand ils nous visitaient au Québec, personne ne songeait à utiliser un peu de français, estimant que peu importe l'endroit (un resto Saint-Hubert, par exemple), ils pourraient être servis en "angliche"... et, de fait, ils l'étaient. Et nous leur parlions toujours en anglais. Mais voilà que nous ne serions pas suffisamment bilingues au goût de Pauline Marois ? Le bilinguisme pour un peuple est l'antichambre de l'assimilation. Quand tout le monde sera bilingue, quelqu'un se lèvera dans la salle et demandera s'il est si nécessaire que cela d'apprendre deux langues quand tout le reste du continent nord-américain n'en utilise qu'une seule. Devinez alors quelle langue on larguera. Madame Marois n'est pas digne de représenter les indépendantistes... oui, j'en ai bien peur, comme le dit monsieur Richard, elle a perdu le nord... et notre confiance à jamais !
8 février 2008
Jamais le Canada dans le cadre constitutionnel actuel,ne négociera une confédération avec le Québec.
Il a édifié son nation building depuis 1867 et plus encore depuis la loi de 1987, sur sa conception de sa société. Le pays canadien repose sur sa charte des droits, son multiculturalisme, son unilinguisme anglais,son armée,son pouvoir de dépenser, sa vison anglo-saxonnes des choses. Vous ne changerez rien à cela monsieur Bousquet.
Pour négocier d'égal à égal cela, ça prend un rapporte de force que seul l'indépendance peut nous donner.
C'est la secousse sismique nécessaire!
8 février 2008
Je crains bien que madame Marois nous propose, lors de sa prochaine sortie, « que l'enseignement du français se fasse en langue anglaise ».
Quel lobby est derrière madame Marois? Voilà la question qu'il faut se poser.
Marie Mance Vallée
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