L’Indépendantisme québécois face à ses interrogations
13 octobre 2007
M. Savard de François Perrier - le 13 octobre, 2007.
Vous avez pu concocter un long texte pour initiés seulement, sur les "indépendantistes", sans JAMAIS écrire les mots "souveraineté - souverainisme et souverainistes". Il ne peut y avoir là qu'un simple cas. Alors que de par vos propres estimations, les souverainistes référendistes (présumés poltrons puisque les indépendantistes seraient les lemmings purs et durs suicidaires) représenteraient 70% du PQ quand il s'agit du mouvement, et de 44 % quand il s'agit de l'idéologie i.e., de l'indépendantisme ?
Vous ridiculisez - comme il se doit - Robert Laplante, qui est nébuleux à son meilleurs, capable d'enfiler 3 verbes d'affilé, chacun niant l'autre, dans des textes vaseux d'interminables lamentelles.
Selon vous, Laplante est-il un indépendantiste (pur et dur) ou un souverainiste pleute et mou, puisque dans ses écrits, il ne fait aucune distinction, et utilise souvent un de ces deux mots pour signifier l'autre, et vice versa ?
Il y a quelques années, Laplante (et les ouverainistes en général) avait été qualifié de "Messsieurs faire semblant" par l'ex rédacteur fédéraliste Jean Paré de la revue l'Actualité. Rendu furieux d'être ainsi démasqué, Laplante avait dénoncé Paré dans de nombreux articles parus dans l'Action nationale.
À la décharge de M. Laplante, quand il préconise le dédoublement des services, alors que le fédéral envahi un champ de compétence dévolu aux provinces en 1867, est-il si ridicule que ça !? Et n'est-ce pas plutôt Ottawa qui verse alors dans l'illégalité ?
M. Savard, would you mind translating your article in English, because with your abundant use of insinuations and double entendre (a phrase open to two interpretations) meant to be understood by the "in" people only - j'ai presque rien pigé de ce que vous avez vaguement laissé entendre. Dieu sait pourtant que je suis le débat de près. FJP