Ce projet de pays, c'est le nôtre - À nous de le formuler
17 juin 2011
Très bien dit, et avec conviction.
Enfin on sort du messianisme. On passe notre temps à dire «si seulement Marois ceci, Landry cela ». Le chef est le visage de la cause, ou le capitaine d'un équipage, encore faut-il que l'équipage et le bateau existent.
Il y a certes des péquistes, mais y a-t-il des militants? C'est justement cette tendance infantilisante à attendre tout du chef qui nous oblige à avaler des couleuvres et qui donne l'impression que parfois les militants en font avaler à leur chef.
Imaginez la qualité et la vigueur de notre chef si nous avions 10 ou 20 Patrick Bourgeois...