Et c'est la plus haute voix du gouvernement québécois qui devrait questionner cette propension à Nous diminuer. Il fut un temps ou même les libéraux l'aurait fait.Ils y ont cependant renoncé pour simplement se placer à la remorque des médias,tous eux-mêmes à la remorque du West Island.

Il y a Vigile capable de dire à ceux qui sont à genoux qu'ils se comportent comme des vous savez quoi...

Que reste-t-il d’autre ici, chez nous, que la ruse, déterminée et fidèle ? N’est-ce pas l’unique chemin à l’intérieur duquel la Question Nationale puisse maintenant avancer, de référendisme en gouvernance souverainiste, et le chemin étroit, aride et infiniment ingrat, que doivent emprunter les indépendantistes ici même, chez nous encore, certes encore chez nous, mais pour combien de temps ? Pour combien de temps encore ?

Les peuples nombreux peuvent souffrir beaucoup des grands bouleversements. Nous ne sommes pas nombreux. Et les indépendantistes ici le sont moins encore qu’ils ne le pensent.

"En fait, j’avais personnellement vendu des cartes du PQ pour Boisclair, mais lorsque l’histoire de la consommation de cocaïne était sortie, j’avais sur le champ déchiré ma carte de membre."

Ce qui me fait tiquer,Sylvain Racine, c'est comme vous dites "sur le champ". Vous n'espérez pas me vendre une carte d'O.N. à ce que je vous comprends.Vous avez tort encore une fois.Mais raison si vous pensez que je ne l'achèterais pas de vous.

Tourlou

Yessss…

Toute comparaison est injuste. Comparons quand même Boisclair à son harceleur de Lagacé. Pourraient-ils chacun Nous représenter à New-York, Washington ou Paris, ou même Londres, tiens, ben oui, Londres, question d’avantager Lagacé ?

Eh bien oui Yvan ! Chacun des deux le pourrait. Mais à cette différence près : Boisclair peut remplir la fonction demain matin, tandis que Lagacé le pourra plus tard, lorsqu’il sera dans la soixantaine, pour services rendus, de très longs états de service étalés à son CV. Ceux qui n’ont pas l’âme d’un harceleur pourraient bien alors n’y voir que du feu, supposant que de si longs états de service justifient sa nomination alors qu’il n’en serait rien.
On voit bien que toute comparaison est bien difficile, et dans ce cas-ci injuste, mais injuste seulement pour Boisclair.
Il faut choisir son camp, o.k., mais sa barricade aussi, si évidemment on veut lancer des roches. Lagacé a choisi sa barricade. Et c’est un redoutable lanceur de roches. Je douterais cependant beaucoup qu’il soit nécessaire de lui « passer une commande » pour qu’il se mette à en lancer. Ne soyons pas injustes comme lui. Vigile a une Cause, lui n’en a pas !

Le conseil des ministres du gouvernement libéral de Jean Charest vient de nommer l'ancien chef péquiste André Boisclair au conseil d'administration de la Régie des installations olympiques.

Qu'est-ce qui vous a gêné la dedans ?

Sans doute que Pauline Marois n'était pas en cause.

Et c’est encore plus facile à ce gouvernement si ses meilleurs « amis » souverainistes lui crient après qu’il n’est pas vraiment souverainiste.

Même René Lévesque, qui l’aurait bien mérité pourtant, même lui n’a jamais subi après seulement 3 mois d’exercice, le dixième de ce que subit présentement Pauline Marois.

Victime Pauline Marois ? Ben non. Elle reste digne.

Yesssss ! Yesssss ssss'tie !

Si on veut bien s’entendre… qui sont ceux qui gagnent VÉRITABLEMENT la guerre et la paix ? Ce sont toujours ceux qui font la guerre sans l’aimer.

C’est précisément parce que Pauline Marois est éminemment pacifique qu’elle est dangereuse. Qui peut craindre Legault ou Fournier, les baguettes toujours en l’air ?

Bock Coté a raison. Pauline Marois commence seulement à déployer ses ailes. ( J’suis un très vieux fan de Pauline Marois). Mais Richard Le Hir a plus que raison d’appeler un chat un chat, un terroriste si c’en est un, et une guerre s’il le faut.
On ne nous a jamais tirés dessus avec des tire-pois.

Un gouvernement souverainiste n’aurait-il pas un immense intérêt politique à lever le plus grand contentieux que la province de Québec entretient avec une autre province canadienne qui resterait, elle, de toutes les façons qu’on y regarde nos intérêts et les siens, sur terre et sur mer, qui resteraient une voisine du grand Nord ?
Est-ce qu’en refusant de reconsidérer la propre signature du Québec, ce que Nous pouvons souverainement faire maintenant, est-ce que ce n’est pas inviter en conséquence et de la plus insouciante façon, le gouvernement fédéral de se mêler d’une façon détournée (garantie de prêts) de ce qui ne le regarde pas ? Sur ce front très politique, faut-il encore que Québec défende ses vieilles positions, financièrement bénéfiques, certes, mais politiquement improductives ?

Est-ce qu’en reprenant à son compte ce vieux contentieux provincial, qui repose sur un contrat valide, mais qui repose maintenant aussi sur un impérialisme qui pourrait Nous desservir (ce qui n’était pas le cas en 1969), et Nous exposer bientôt, et pour des raisons similaires mais retournées contre Nous, et soit dit surtout contre un gouvernement souverainiste, des raisons similaires à celles auxquelles s’était confronté Joe Smallwood dans le temps, mais maintenant retournées contre Nous, à propos de l’inversion du flux de pétrole d’un simple pipeline, qui passe déjà sur le territoire québécois ?

Faut-il pour toujours qu’un gouvernement souverainiste se peinture dans le coin des gouvernements provinciaux qui l’ont précédé ? Ou est-ce que le temps ne serait-il pas venu de revoir TOUT le dossier avec les prémisses suivantes ajoutées à la validité indéniable du contrat :
1) Le Labrador ne Nous sera pas rendu, quoi qu’il arrive…
2)Terre-Neuve restera, quoi qu’il arrive aussi, la voisine du Québec, sur terre, sur mer et même dans les airs.

Pour les lecteurs qui seraient ignorants des processus de remboursement de dettes à l’Aide Sociale, les « trop-payés » sont remboursés mensuellement, pas en totalité, à même les prestations mensuelles que les prestataires reçoivent. C’est lorsque les prestataires ne sont plus admissibles à la Loi de l’Aide Sociale qu’il est requis d’obtenir les remboursements par entente du ou des « trop payés » restant à leur dossier. Mais avec ou sans « entente », ceux qui ont des dettes de cette nature font ultérieurement affaire avec le Ministère du Revenu, et réalisent souvent bien tard que lui, le M.R.Q., il a déjà procédé au recouvrement des sommes en totalité, s’il a pu le faire, avant même la période de temps des déclarations d’impôts.

Cette fois-là, devant pareille bêtise et devant l’impossibilité d’arriver à une entente, j’avais invité poliment, mais fermement, ce méprisable résident de Mont… à prendre la porte drette-là, et en la lui montrant en plus. C’est l’unique cadeau que je me suis offert au ministère la veille de Noel, que je vous souhaite par ailleurs chaleureux, ainsi qu’à tous les vigiliens.