Une solution élégante
5 mai 2012
Pourquoi le premier point n'est pas ouvert à la contribution de l'exploitation de nos richesses naturelles comme source de financement de l'éducation? Ramener ce point au seul prélèvement d'une taxe que tout citoyen devra payer directement ou indirectement c'est faire pencher la balance sur le maintien des frais de scolarité. En effet, les citoyens, déjà passablement taxés, ne seront pas enclins à être les premiers à passer à la caisse. C'est comme si le Québec n'avait pas d'autres voies que les taxes directes appliquées aux citoyens pour résoudre cette question. Pourquoi ne pas mettre sur la table les diverses alternatives qui permettraient d'avoir un système d'éducation entièrement gratuit pour tous et toutes?
Ce serait bien malheureux qu'une telle question soit effectivement celle retenue pour la consultation populaire en faveur de la gratuité scolaire. Il faut que le questionnement aille plus à fond dans les possibilités de financement.