Les déversements dans le fleuve
14 novembre 2015
Bristol, Angleterre: autobus carburant aux excréments humains. M. Le Maire, sortez un peu!
http://www.autoalgerie.com/un-bus-qui-carbure-aux-dechets,9607
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latin...
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latinos nouveaux arrivés. Exploration physique de la francophonie en Amérique : Fransaskois, Acadiens, Franco-Américains de N.-Angl., Cajuns Louisiane à BatonRouge. Échanges professoraux avec la France. Plusieurs décennies de vie de réflexion sur la lutte des peuples opprimés.
A nous d’insister pour qu’il trouve les moyens de le produire
"Tyler strikes again for anglo rights"
14 novembre 2015
Bristol, Angleterre: autobus carburant aux excréments humains. M. Le Maire, sortez un peu!
http://www.autoalgerie.com/un-bus-qui-carbure-aux-dechets,9607
13 novembre 2015
Pour le français, il pourra tout de suite faire ses preuves au sommet de Paris sur les changements climatiques. Sachant que ses prédécesseurs se sont tous enfargés dans le triangle Paris-Ottawa-Québec, ni ingérence, ni indifférence, les amis et les cousins...la business et la nostalgie... il serait étonnant que les conseillers de Justin le fassent parler en français majoritairement: "Tout l'monde sait qu'au Québec, on parle français" (Couillard).
Mais pour Justin, la solution sera... parler bilingue!
13 novembre 2015
Ah, vous vous souvenez de Mendeleïev? Moi je me souviens de la coprophagie!
Larousse: Habitude propre au lapin et au lièvre, de réingérer ses propres crottes d'origine caecale. Elle permet une seconde digestion des aliments, comparable à la rumination.
Les lapins y récupèrent certaines vitamines, aussi.
Célébrons donc la coprophagie que nous apporte le Majestueux.
Et Coderre aurait pu être plus modeste en comptant en barils au lieu des milliards de litres qu'il nous fournit. Prétentieux, va!
3 novembre 2015
Merci à quiconque a repris mon texte.
Quant à moi, j'aurais titré: "Comment parler aux égarés."
En effet, le but de l'Institut de recherche sur l'Indépendance, c'est de se concerter pour "trouver les mots pour le dire".
"Pis à part ded'cà!" Les menaces de poursuites contre les terroristes patentés, de la part de Couillard, doivent passer pour un Hallowee'n retardé... compte tenu que l'assassin Richard Henry Bain, qui visait Mme Marois et ses partisans en vase clos, demeure encore impuni... trois ans plus tard!
2 novembre 2015
Les "rendus ailleurs" ont cru leurs idoles de la haute finance quand ils leur serinaient qu'on vit dans un "beau pays". N'ont pas pris la peine de se demander qui sont les "on". Suffit d'amener un jeune adulte de Québec devant la technopole Angus, rue Rachel, qu'il nous demande "cossé ça?" Qu'on l'informe: c'était une méga-fonderie de roues de chars où le big boss NOUS employait pour des pinottes, nous, les parlant (peu) français de l'est montréalais, pour qu'il empoche les gros profits. Rapidement se fait le lien: boss anglais, comme dans les mines, dans le bois, les pêches, les autre shops... Histoire ancienne?
Pourquoi Hochelaga-Maisonneuve est encore un mini Bronx? St-Rock à Québec?... on a eu beau installer de chics restos devant les logis insalubres, on n'a pas éliminé la misère. Les jeunes qui la trouvent trop dure se font vite livreurs de pizza pour acheter leur première chiote et se faire accroire qu'ils s'en sont sortis.
Ce qu'il faut, c'est un bon communicateur pour démontrer à ces "citoyens du monde", noir sur blanc, ou l'inverse, selon le tableau de leur choix, que les Québécois n'ont jamais rattrapé le retard subi lors de l'industrialisation: McGill existait au temps des Patriotes mais les industries avaient trop besoin de NOS bras pour qu'on parle d'éducation supérieure. Pourtant, les ministres cherchent toujours à comparer nos frais scolaires à ceux d'Ontario!
Ce qu'il faut, c'est démontrer à ces "rendus ailleurs" que dans la confédération, on leur refuse leurs chances d'égalité.
Bien au-dessus de leurs affaires, certains parmi ces jeunes peuvent bien devenir avocats ou actuaires, et "talk english faster than you", recevoir les tapes dans le dos et les" hi buddy", et proclamer: Quel problème d'égalité? S'il leur arrive de tâter de la politique, ne percevront peut-être pas qu'ils sont devenus la courroie de transmission des ordres du Beau Pays, à l'intention de leurs frères restés collés au salaire minimum du wallemarte.
L'Institut non partisan de l'Indépendance doit ouvrir les yeux des grands distraits politiques: Démontrer l'injustice, la ségrégation.
Les autochtones se font dire de sortir de leur différence pour quitter la misère. Certains chefs se sont enrichis en taisant le racisme systémique que vivent leurs peuples. Les Inuits ont été déplacés, privés de leurs chiens à traîneau et de leurs accès à la chasse à la baleine. Après deux générations on leur dit de vivre de leurs traditions. Dénationalisés, perdu leur culture, ils laissent pourrir la carcasse au soleil... On les traite ensuite d'incompétents!
Certains de nos chefs, à nous, se sont enrichis en favorisant la corruption, la délocalisation d'entreprises, l'ignorance par sous-financement de l'éducation, par la désinformation à travers les média. Vivrons-nous bientôt le même apartheid que les autochtones?
Ce qu'il faut, c'est parler de liberté à ceux qui n'ont vécu que l'après 1995, le blackout de l'Indépendance. Noyés dans leurs illusions d'absence de frontières, ils ne voient pas leurs chaînes. Ils gobent les accusations de "vivre au crochet du Beau Pays" tout en voulant nous gérer nous mêmes... ils vont parfois se laisser dire xénophobes, et refuser leur identité!
Parler d'injustice, de ségrégation. Parler de cette minorisation accélérée, qui peu à peu efface notre différence: la langue, la culture, et notre authentique ouverture à l'autre. Puisqu'est devenu tabou le mot assimilation.
31 octobre 2015
Dès le début de la campagne de PKP à la chefferie, nous avions souhaité qu'il flaire l'effet négatif qu'exerce sur les "distraits" le nom Parti Québécois. D'abord le nom vient d'une époque où la population vibrait au seul mot de "Québécois". Mais notre minorisation accélérée par, on sait quoi, et le dénigrement systématique du Parti par les médias racistes, ont rendu "honteux" l'appui ouvert à cette formation. Ces jours-ci, il n'est que d'entendre la "haine" exprimée ouvertement envers Parizeau qu'on fait jouer ad nauseam dans sa colère envers les votes en bloc contre Nous.
Il est devenu impossible de parer ce mouvement négatif. Ajoutons aussi ces discussions de cet été, mettant en relief l'aversion qui se développe pour le mot "Parti", qui sous-tend "ligne de Parti", donc déficit de démocratie puisque le membre perd sa liberté de parole dans un Parti politique.
Le nouveau chef a préféré ne pas s'aliéner la résistance au changement. Mais il subit l'inertie de l'indifférence. Son projet d'Institut de recherche sur l'Indépendance pourrait servir à préciser le sens de la démocratie inhérent à l'entité République. Il pourrait en même temps créer l'occasion de renommer le mouvement de rejet de la Dépendance,«» qui servirait de chapeau à tous ceux qui y songent mais qui craignent l'étiquette de pékisssesss...
27 octobre 2015
Marcel, tu as raison...parmi nous pour toujours!
Mais comme aînés de la résistance, nous serons bientôt plus nombreux dans la Stratosphère que sur la Terre.
J'ai parfois des élans d'espoir envers la jeunesse qui n'a jamais entendu parler de liberté. Je leur offre en lecture les textes de Simon-Pierre Savard-Tremblay, qui n'a appris de la Révolution tranquille que par sa curiosité historique, mais qui peut expliquer la raison et la passion du Québec mieux que nous tous. L'intérêt des grands ados retourne vite à leurs "ténébreux bidules".
26 octobre 2015
Ce billet, qui peut sembler du facebook endimanché, parle pourtant de l'âme québécoise vibrante. Vingt ans après qu'on ait cru visser l'avenir du peuple sous un faux "non" à nous-mêmes, des mères de fils, de filles, de descendance en désarroi, leur laissent la place, pour que l'horizon leur apparaisse plus net. Une génération en réaction à l'oeuvre des parents s'ouvre souvent au besoin de la compléter dès que le corps s'éclipse. Il est, paraît-il des ados confinés au sous-sol, centrés sur leurs ténébreux bidules, qui éclosent en ingénieux entrepreneurs dès que l'autorité paternelle s'efface.
Un merlebleu peut paraître anodin... mais il peut dépasser en influence l'envergure du Condor des Andes. Agathe a marché des journées entières en Argentine, à la quête de la quebrada où les mères apprenaient le haut vol à leurs condoritos. Puisse son correspondant Ricardo de là-haut la retrouver ici.
23 octobre 2015
Merci, Chantal, de compléter. Voilà ce que c'était, en effet: un pacte de soins mutuels. Et elle a gagné, sans trop maudire ce coquin de sort. Mais son sourire, même tiédi, me payait au centuple. Me reste la distraction, au sens de Blaise Pascal.
23 octobre 2015
Marie-Hélène, vous me tirez les larmes.
Ces jours-ci, ce souffle, à mes oreilles, hurle en vacarme!
17 octobre 2015
Qu'il parle franglais, ça s'explique par sa vie dans une famille mixte. On pense à Charest, Mulroney etc... ils parlent 2 langues secondes.
Mais la raison pour ne pas en faire un P.M., c'est sa grave atteinte respiratoire. Pas besoin d'un doctorat en médecine pulmonaire pour observer qu'il est incapable de formuler une phrase complète sans reprendre son souffle dans un râle audible. Affection congénitale, traumatisme à la boxe, maladie évolutive (cancer)? Nul n'en fait mention. Faudrait que son dossier médical soit rendu public, pour éviter la répétition du cas Jack!
11 octobre 2015
Mulcair proclame que son parti a débarrassé le Canada des séparatisses grâce à la vague orange de Jack!
Faisons-le ravaler ses bas, et ses bottes de cow-boy!
Personne ne suit Ouhgo (Hugues) St-Pierre. Soyez le premier!