...ajoutons le Directeur Général des Élections, et son porte-parole, allés jusqu'à affirmer que le lendemain d'un gouvernement majoritaire P.Q. ils mettaient en marche la préparation d'un référendum...

Ceci illustre aussi le travail de sape de ces "adversaires" pour qu'au pays du Québec, le mot "référendum" soit devenu un gros mot. On en est réduit à le remplacer par "consultation populaire". Et durant cette présente campagne électorale, où tous les partis clament "on en veut pas de référendum", on force la Première ministre à préciser le sens de "quand les citoyens seront prêts". Tout à fait à propos, elle réplique: Actuellement, direz-vous qu'ils sont prêts? Ceci devrait laisser cois les Dussault, Galipeau, et surtout le mufle Patrice Roy qui l'a fait parader au grand vent glacial d'avril pour tenter de ridiculiser ses répliques sur la charte de laïcité.

Qu'il est difficile de "briser un pays"! Vienne la démocratie!

C'est probablement l'absence d'appui, le silence de son ami du cachot de Panama qui le rendait revêche: Mme Marois, on le sait, vous allez vous précipiter pour faire un référendum et les Québécois n'en veulent pas, moi je le sais. Et surtout, vous discriminez toutes ces femmes voilées que vous allez congédier! D'ailleurs, le savez-vous combien de femmes sont menacées, combien de femmes policières musulmanes? Vous légiférez pour un problème qui n'existe pas!

On voit l'incohérence: pas de problème mais des femmes à congédier!

Et ce cher "docteur de la charia" sait-il combien d'employées de l'État refuseront de respecter la loi? Il répand la rumeur qu'elles sont hyperqualifiées: elles opteront rapidement pour le privé. On en trouve de très heureuses chez H&R Block! N'attendront pas Mme Marois pour se relocaliser, État opresseur contre monde de la compétence.

Et la majorité de ces employées qui apprécient les avantages du service civil, ont peut-être déjà pris les devants et gardent leurs dévotions pour la maison en compagnie de leur pieux conjoint compréhensif financièrement.

Pas besoin d'une verrue au centre. Le stade, il est tellement déjà existant que les politiciens s'arrachent le privilège d'y installer ce toit oublié.

Anyway, c'est la cascade du "plus jamais de '95": le vote ontarien, la DGE qui en remet avec sa préparation du référendum, et maintenant le coup du "tous des pareils" qui nous assimile aux corrompus. C'est pas tout: ils sont en guerre et ils vont frapper encore, pour les naïfs!

Si nous plongeons dans ces trappes, nous méritons la Louisiane, le boudin/gombo, les crawfish et les jobbines des anglais!

Ce serait étonnant (ne pas avoir assimilé cette infime minorité) si nous vivions dans un pays normal, maître de tous nos leviers politiques, économiques, sociaux et culturels.

Bien sûr, nous venons de loin, laissés pour morts le long du fleuve après la sauvage conquête britannique. Or, malgré le harcèlement perpétuel depuis ce temps à chaque fois que nous relevions la tête, nous avons démontré une surprenante combativité à travers la révolution tranquille et le mouvement souverainiste qui s'en est suivi.

Si nous sommes encore obligées de quêter à Ottawa un nouveau pont pour remplacer celui qui a été "butché" par les maîtres jaloux de la voie maritime, si nous continuons à verser taxes et impôts à l'autre nation, c'est pour qu'ils produisent quotidiennement des médias destinés à nous dire quoi penser! C'est donc cette médiacratie, écrite ou électronique, qui profite de notre indolence pour nous enseigner les "bonne manières": demeurer une petite province docile comme les autres. Pas partis pour assimiler le West Island!

http://www.vigile.net/Lettre-La-lettre-d-un-immigrant

"...Cet immigrant a compris que dans la résistance, il faut momentanément oublier ses différences pour lutter victorieusement. Il a compris qu’un peuple mort n’est ni à droite ni à gauche, il est mort."

Son porte-parole (libéral notoire) sort une bombe en pleine campagne électorale

Protestations/excuses/acceptées par la Première ministre sortante... pour ne pas jouer à la victime?

Militants tentent de faire éclater la tricherie au grand jour: ignorés par les médias. Couillard, Moreau, St-Pierre se marrent!

Simple scénario dramatique, sombre combat de ruelle... mais vers la fin du film, arrive un revirement et la justice triomphe...

Sauf en république de banane! No Happy Ending! On connaît le triomphe des mafias sous les dictatures africaines: la vérité ne sort pas! Et les Québécois se regarderaient projetés au cachot sans aucun recours? Dans le "pluss meilleur pays du monde"? Bon, ce pays a déjà refoulé des gens menacés de torture dans leur pays... Déjà déporté les Acadiens... qui oublient et le monde tourne les talons!

Pas de recours, vraiment? Même quand la justice s'efface...

"... on admet aujourd'hui que les attentats réalisés par les résistants envers l'occupant allemand étaient nécessaires"

"L'affiche rouge" poème d'Aragon chanté par Léo Ferré sur les Partisans de février 1944.

Pas de petits exemples: Tous les gouvernements jonglent avec la patate chaude du toit du stade olympique: entre les "c'est urgent" et les "démolissez", personne n'a vu le "c'est un investissement".

Les médias multiplient les occasions de montrer une fissure dans la porte arrière du bureau du sous-sol... on rappelle les scandales de sa construction, des remplacements de la toile, on parle d'éléphant blanc, pour susciter les commentaires des badauds: bol de toilette, pot à fleur, plaque chaude en ville...

À qui profite cette désinformation? Suffit d'une simple démonstration pour clouer le bec aux commères du ridicule (Chapleau, Dufort): Deux parties de baseball coup sur coup et les grognons affluent comme des mouches pour remplir quoi? La merveille architecturale qu'on tente de balayer sous le tapis.

Me Brent Tyler, ennemi juré du Québec.

http://www.lapresse.ca/actualites/elections-quebec-2014/201403/25/01-4751304-un-comite-demande-a-ottawa-dintervenir-dans-lelection-quebecoise.php

Il doit donner confér de presse jeudi matin... de quoi chauffer à bloc des gars comme l'assassin du 4 sept, élection P.Q. 2012

"notre Nation francophone de la Patrie et du Pays du Québec et Labrador à notre détriment, de notre langue francophone"

Le Québec est un pays de langue française: les Québécois ne sont pas des francophones! Ce sont nos minorités qui sont des anglophones ou allophones. C'est nous diminuer que de nous comparer aux francophones des minorités du Canada, qui devraient aussi se dire population de langue française, qui utilisent majoritairement le français, dont la langue est française et non pas francophone. Au Québec, c'est en français que se font les élections: liste électorale et débats. Pour y vivre, il faut pouvoir communiquer en français. Le bilinguisme, c'est pas seulement pour la majorité de langue française.

Évitons le piège canadian qui consiste à fuir le mot "français" qui fait grincer des dents les Anglo-saxons.