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Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 916

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • Adieu, madame Marois !

    24 juillet 2007


    De Raymond Poulin à Denis Julien

    Merci de vos bonnes paroles. Quant au nouveau parti, voir les articles précédents, notamment de MM. Richard Gervais et Normand Perry. Ce parti en est pour le moment à recruter des soutiens. Voir la rubrique des communiqués en première page. Il ne se passera vraisemblablement rien de plus avant août.

    Bonnes vacances.

  • Adieu, madame Marois !

    24 juillet 2007


    Vous n'avez peut-être pas tort, M. Bousquet, il n'est pas écrit dans les astres que le nouveau parti réussira à s'imposer, et j'en suis bien conscient. On verra à l'usage. Pour le moment, si rien ne bouge, l'avènement de l'indépendance n'en sera pas accéléré pour autant: ce n'est pas la première fois que militants et sympathisants ruent dans les brancards, et pourtant, rien n'a changé au PQ, preuve qu'il ne suffit pas de brasser la cage de l'intérieur. Si rien n'est tenté, le Parti québécois va continuer à dormir au gaz, ce qui nous avance encore moins.

    Raymond Poulin

  • L’autonomie du Québec au sein du Canada : un « accommodement raisonnable » ?

    23 juillet 2007


    Votre réponse repose sur une confusion qui mène à un sophisme: vous faites une équivalence entre une nation conquise de force et colonisée et des gens, les immigrants, qui ont choisi librement de vivre ailleurs que là où ils sont nés. La nation conquise n'est pas devenue une minorité par son fait. On ne peut considérer les minorités que constituent les différentes ethnies venues de l'immigration comme des minorités nationales, pas plus au Québec qu'ailleurs. Les seules minorités qui, ici, pourraient prétendre à l'équivalence que vous faites, ce sont les nations autochtones. Tout de même!

    Raymond Poulin

  • Le balcon

    23 juillet 2007


    En effet. Si pauline Marois continue de susciter des non-événements et prôner la non-action (qui n'est certes pas ici le non-agir du Dao), elle finira par se retrouver non-chef d'un non-parti. Elle pourra alors, comme le centurion en larmes dans Astérix, se cogner la tête sur le mur qu'elle aura frappé en reprenant ses paroles: «Ce sont tous des imbéciles et je suis leur cheffe!» Et Louise Beaudoin qui vient à sa rescousse dans une langue de bois sibylline, comme si elle ne pensait pas ce qu'elle pense depuis quarante ans! Il lui faut sentir la situation du parti dans l'opinion publique plutôt fragile pour avaler une telle couleuvre afin de sauver les meubles.

    Raymond Poulin

  • L’ADQ : parti de droite ou coalition nationale?

    20 juillet 2007


    Si l'ADQ prenait la direction que vous mentionnez, le seul parti politique québécois qui ne serait pas, pour le moins, autonomiste, serait le Parti libéral, qui deviendrait à toutes fins utiles le parti des anglophones et des seuls fédéralistes impénitents. On pourrait alors découvrir un paysage politique très intéressant: rapprochement éventuel des autonomistes et des indépendantistes par la surenchère entre les partis à dominante nationaliste et radicalisation, forcément, de leurs adversaires, soit une cristallisation qui mènerait, assez rapidement, à une "explication" définitive. Ce scénario ne serait certainement pas le plus mauvais.

    Raymond Poulin

  • Pour un Québec révolutionnaire

    18 juillet 2007


    Si je vous entends bien, M. Litvak, seul le Québec n'aura pas le droit de vivre s'il ne peut atteindre à la perfection que vous décrivez? Écoutez, on nous a déjà fait, entre 1840 et 1940, le coup de la mission divine, missionnaire et apostolique du Québec, et nous avons failli ne jamais nous en relever. Une fois suffit, non?

    Raymond Poulin

  • Solidaire du PQ

    18 juillet 2007


    Péplique à M. Picard

    D'après ce qu'écrit M. Picard, le nouveau parti éventuel ferait la pédagogie de l'indépendance. C'est justement une chose sur laquelle j'ai insisté, alors que des commentaires à mes textes et à mes réponses sous forme de commentaire, provenant de gens qui semblent au coeur de ce nouveau projet, semblaient plutôt conclure que ce n'est pas nécessaire, que le peuple ne demande qu'à être conquis. Alors, on verra, et tant mieux si je les ai mal lus ou s'ils se sont mal exprimés.

    Quant à la division du vote, reste à voir si tous ceux qui soutiennent encore le PQ sont en majorité convaincus que ce parti n'est pas vraiment indépendantiste ou s'ils le deviendront sous peu. Dans le cas contraire, à mon avis le plus probable pour assez longtemps, il y aura bel et bien division du vote, et nous voilà alors bien avancés. Savez-vous, la perception publique ne correspond pas toujours à une analyse raffinée de la réalité. Personnellement, j'éprouve de moins en moins de respect pour ce qu'est devenu le PQ, et si jamais je me voyais obligé de lui accorder une fois de plus mon suffrage, il s'agirait strictement d'un vote stratégique, d'un vote par défaut. Là, je sens que M. Laterrière ne sera pas d'accord, mais enfin, je ne puis faire mieux, du moins dans l'état actuel des choses.

    Vous prétendez que ce nouveau parti virtuel disparaîtra dès qu'il aura réalisé sa promesse. Est-ce à dire qu'il s'effacera devant les vieux partis, qu'il vomit tous? C'est insensé. Ensuite, il faut conclure de cela que vous ne voyez pas la nécessité pour ce parti d'établir un programme de gouvernement ni pour avant ni pour après l'accession à l'indépendance. Croyez-vous donc que la population voterait pour un parti qui ne serait pas en mesure d'assurer la continuité de la marche de l'État??? J'espère pour eux, et pour nous, que ceux qui veulent fonder ce NPI ne pensent pas ainsi, sinon ils ne mériteraient qu'un éclat de rire.

  • Une peur atavique

    18 juillet 2007


    Les réflexions de MM. Marchand, Gébello et Verrier constituent des sonnettes d'alarme qu'il conviendrait de ne pas négliger, mais qui, selon toute apparence, le seront par les promoteurs d'un nouveau parti indépendantiste.

    C'est justement le manque dont parlent les trois citoyens précités qui m'a incité à tenter de discuter avec les tenants de ce nouveau parti — voir "Un projet mystérieux et fumeux". À la vue des commentaires qu'a suscités ce texte, on a l'impression que j'ai craché dans le bénitier. Je suis certain qu'il n'y a de leur part aucune mauvaise foi; simplement, parce qu'ils partagent depuis longtemps une conviction forte et qu'ils sot déçus de l'attitude du Parti québécois et des résultats qu'il a produits, ils croient qu'il suffit de répéter inlassablement qu'il faut faire l'indépendance pour que ceux qui "branlent dans le manche" suivent, sans voir qu'il faut d'abord en rendre un nombre important conscient du pourquoi par une formulation concrète; après tout, l'indépendance ne se limite pas à un principe, sa nécessité peut et même doit se démontrer en partant des besoins collectifs et même individuels. Il faut les rejoindre là où ils en sont pour les amener plus loin, en mobilisant toutes les ressources dans un langage compréhensible qui fait appel autant à la raison qu'à la sensibilité. C'est justement ce travail que le Parti québécois, à l'exception de l'époque Parizeau, a laissé en friche.

    Il existe déjà des textes clairs et simples qui pourraient servir de base de départ à la préparation d'un argumentaire "vendable", je pense notamment à ceux de Parizeau, Jean-François Lisée, certains de Bourgault et d'autres, vraiment pédagogiques et concrets. Il vaudrait mieux, je crois, monter et financer un mouvement non partisan qui ferait la recension du matériel, y ajouterait et synthétiserait le tout pour ensuite produire brochures, conférences, documents électroniques et même, pourquoi pas, organiser des assemblées de cuisine. Rien n'empêcherait de transformer le mouvement en parti politique lorsqu'il s'avérerait que la situation s'y prête. Mais ce parti ne pourrait alors réussir que s'il présentait une équipe non exclusivement formée de militants de la base, ainsi qu'un programme permettant d'assurer correctement l'intendance jusqu'au grand jour: peu de Québécois, indépendantistes ou pas, voteraient pour un parti qui n'assure pas, en attendant, la continuité de l'État dans ses obligations quotidiennes et n'envisage pas d'autre horizon qu'une simple élection référendaire, terrain privilégié de chausse-trapes par les temps qui courent.

    J'ai voulu soulever ces questions, et d'autres, chez eux. La plupart des commentaires qui ont suivi étaient tellement occupés à lire entre les lignes, soupçonnant peut-être une mauvaise action provenant d'une taupe péquiste appréhendée, qu'ils en venaient à ne pas lire les lignes, ça transparaît dans la formulation et le ton.

    Ils sont illuminés par une vérité transcendante absolue qui ne souffre aucune mise en question, aucune pensée critique quant aux moyens, apparemment en tout cas, alors que la fin est dans les moyens comme l'arbre dans la semence. L'Esprit-Saint est descendu et en une seule fois a donné toutes les réponses, contenues dans une seule phrase: «Croyez et vous serez sauvés». Ils croient fonder un parti alors qu'ils se préparent, si rien ne change, à créer une secte. On peut toujours espérer que cette attitude se modifiera lors de la confrontation avec le réel, une fois passée l'étape de la seule colère, étape peut-être nécessaire à l'impulsion de l'action.

    Raymond Poulin

  • La bonasserie des carpettes

    16 juillet 2007


    Je vous raconte une petite histoire non pas de carpette mais, encore mieux, de moquettes.

    Nous sommes dans un restaurant de la Côte-des-Neiges que je ne connais pas à ce moment. Une douzaine d'universitaires indépendantistes. Arrive le moment de prendre connaissance du menu. Il est rédigé exclusivement en anglais, et le serveur s'exprime seulement en anglais. Les collègues, dont un professeur aussi poète et romancier, grand pourfendeur de carpettes et séparatiste millésimé, passent alors à l'anglais comme ils passeraient en quatrième sur un feu orange. Arrive mon tour. J'exige poliment, en français, un menu rédigé dans cette langue. Le serveur me répond tout aussi aimablement, en anglais, qu'il n'y en a pas et qu'il ne comprend pas un mot de français (ben voyons!). Alors, je me lève de table et propose que nous allions ailleurs. Stupeur des onze autres et protestation de ma moquette millésimée: «Mais voyons, ça ne se fait pas!» Je tire ma révérence après une tirade plutôt ironique. Bien entendu, j'ai terminé la soirée seul, ailleurs et mal élevé.

    Moralité: ce n'est pas seulement les affirmationnistes, les nationalistes mous et les fédéralistes par habitude qu'il faut convaincre mais d'abord les indépendantistes "bien élevés". Misère...

    Raymond Poulin

  • De l’éducation en ce congé d’été

    16 juillet 2007


    Voilà ce qui s'appelle faire le tour de la question et montrer comment le jargon pseudo-pédagogique permet aux apprentis-sorciers de conditionner l'élève à une idéologie qui n'ose pas dire son nom tout en handicapant, mais en douce, la pensée critique. Votre texte devrait être lu par tous les enseignants.
    Merci.

    Raymond Poulin, enseignant au collégial

  • Un projet mystérieux et fumeux

    16 juillet 2007


    Pour MMe Lachance, de Raymond Poulin. Le 16 juillet à 21:40

    «Les indépendantistes bénéficieront grandement de trouver un lieu où ils pourront ensemble se concerter et passer à l'action.» «...c'est répandre leur message...» Rien à redire à cela, et rien de ce que j'ai mentionné depuis le début de cet échange ne le laisse supposer non plus, il me semble.

    Je n'ai pas non plus suggéré qu'il ne fallait rien faire, j'ai posé des questions et discuté de ce qu'on entendait faire. Lire entre les lignes mène parfois à ne pas lire les lignes.

    En ce qui concerne ce que vous appelez la lenteur de la population, j'ai parlé des «concitoyens encore marqués par ...» et non de tous les concitoyens, sinon il y aurait eu une virgule après "concitoyens". L'absence de virgule après le terme signifie qu'on le caractérise, donc qu'on le limite, par ce qui suit. Le sens n'est forcément pas le même.

  • Un projet mystérieux et fumeux

    15 juillet 2007


    Réponse à quelques commentaires.

    Je n'aime pas non plus, dans l'ensemble, la position de Mme Marois; je ne suis plus membre du PQ depuis 1981, même si j'ai milité "off-shore" longtemps après et n'ai pas trouvé depuis à quel autre parti j'aurais pu accorder mon suffrage. La seule fois où j'ai voté avec enthousiasme, ce fut sous Parizeau, probablement comme vous tous. Je ne tiens pas particulièrement à tenir le PQ actuel sous respirateur artificiel.

    Je persiste cependant à trouver fumeux un projet qui me semble improvisé dans la colère et où l'on semble monter aux barricades des lors qu'on ne reçoit pas illico une adhésion à pieds joints et les yeux fermés.

    Qu'il se forme un parti d'abord et avant tout consacré à la réalisation de l'indépendance, bien d'accord, et je ne serai pas le dernier à y adhérer. Il me paraît toutefois inquiétant que des questions aussi "basiques" que celles que j'ai soulevées reçoivent en guise de réaction des dénégations outrées qui ne tiennent pas compte des faits.

    Au fait, au plan de la simple arithmétique, une fois retranchés ceux que Mme Lachance nomme les autonomistes/confédéralistes ainsi que les solidaristes qui ne considèrent l'indépendance que comme la cerise sur le gâteau une fois réalisés les lendemains sociaux qui chantent (alors qu'il faudrait justement faire l'inverse), combien, dans la situation actuelle, reste-t-il non pas de membres mais de voteurs potentiels au NPI? Il faut bien regarder la chose en face: combien le Québec, actuellement et depuis assez longtemps, compte-t-il de gens pour qui c'est: l'indépendance réelle, d'abord et avant tout, la véritable sécession, et qui sont prêts, une fois devant l'isoloir, à faire le saut? Selon toutes les études et les sondages, qui ne peuvent certainement pas tous mentir, environ 32%. Cela suffit certainement à ancrer solidement un parti, cela ne suffit pas pour faire l'indépendance aussi rapidement que votre enthousiasme semble le présumer.

    Il y faudra donc un long travail, un travail que, sauf l'équipe de Jacques Parizeau, personne n'a jamais vraiment entrepris et continué. Ce qui nous mène un peu plus loin dans le temps que vous semblez le croire, à moins d'un événement catalyseur toujours possible, et c'est probablement une des raisons, sinon la seule, qui explique au moins une partie de la position actuelle de Pauline Marois. Ce travail d'éducation et de persuasion, aucun parti ne le réussira, par exemple, en accusant de malhonnêteté intellectuelle ceux qui constatent des réalités désagréables à entendre et veulent être raisonnablement certains, avant d'embarquer, qu'on ne rêve pas tout haut. On n'accouchera pas d'un pays en gommant (avec ou sans hargne) des difficultés bien réelles. L'indépendance n'est pas un party entre militants de longue date, c'est un combat qui n'a pas encore, sauf sous M. Parizeau, été mené vraiment sérieusement.

    Je comprends que des militants qui, pendant de nombreuses années, ont sacrifié beaucoup de choses à leur idéal en aient jusque-là du ratiocinage et de la mollesse. Cependant, s'ils refusent d'adopter une stratégie qui tienne compte de la situation et des obstacles, ainsi que de la patience et du respect nécessaires pour convaincre leurs concitoyens encore marqués, quoi qu'on en dise, par le colonialisme qu'ont subi les cerveaux québécois depuis plus de deux siècles, alors le Québec n'arrivera pas à l'indépendance.

    Raymond Poulin

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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