Que disons-nous, que pensons-nous, que ressentons-nous?
24 décembre 2010
Correction à mon commentaire plus avant, 10e ligne: ...sont plutôt éloifnées des nôtres.
Nous sommes ce que nous sommes, et si nous n'osons pas l'affirmer, alors abandonnons le terrain: une nation qui n'ose pas se nommer et se rapailler n'existe pas.
Surtout dans La Presse, The Gazette et les journaux torontois, on passe son temps sous diverses signatures, à accuser de tous les péchés du monde les Québécois
"Nous voici les victimes et non plus les bourreaux : Ces voleurs nous pillent, on le reconnaîtra."
Cette semaine, un étudiant iranien né là-bas m'a même affirmé que le DGE fédéral était tombé sur la tête.
Croyez-vous m’acheter de paroles oiseuses<br>Dont il ne resterait bientôt qu’un peu de vent ?
Loi 104 et clause dérogatoire
Peut-être le temps arrive-t-il de songer à un nouveau 22 juin 60 ou à une nouvelle année 1962?
Le PQ et la Loi 101