Voici notre portrait
30 avril 2016
Une image vaut mille mots.
Je ne risque pas à une seule demande, je n'exige pas "à la demande générale" ou à la demande du Général, je vous l'offre sans commentaire.
Cap sur l'indépendance
Legs de Me Guy Bertrand
Bonjour la visite
À toute voile, sans voile, voilà !
L'action politique un sport ?
Acteurs politiques québécois
Sortir du piège référendaire
Le spasme de vivre
Question
Quel nom lui donner ?
L'élection du 19 octobre
pour les sites de 4 partis
Le Bloc Québécois
De septembre 2012 à maintenant
La demande et l’offre sur Internet
JF Lisée et PK Péladeau
Offre et demande sur Internet
Joseph Facal songe-t-il à un retour ?
Institutions, vigies, partis, bon, brute et truand
Intérêt des internautes
30 avril 2016
Une image vaut mille mots.
Je ne risque pas à une seule demande, je n'exige pas "à la demande générale" ou à la demande du Général, je vous l'offre sans commentaire.
30 avril 2016
Mme Massé soulève une bonne question quand elle se demande s’il faut comprendre qu’il n’y a plus de droite et de gauche. C’est un axe qui date de siècles et de siècles. Arrivons au 21e. François Ricard en commentaire à Guy Roy, Courage politique, parle de deux axes, gestion provinciale et indépendance. De mon bord, j’opte pour un axe intergénérationel et un axe plurinational.
Je retiens d’Amir Khadir qu’ « il faut repenser l’indépendance dans le cadre d’un projet de société menant à l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre. » Fort bien !
Quant à son idée de « primaire sociale » au cours d’une éventuelle partielle dans un comté détenu par le PLQ, laissons-nous y réfléchir à l’examen de mes tableaux que vous trouverez là, Les nécessaires alliances et plus bas.
30 avril 2016
« Québec solidaire [QS] veut se développer, rester dans le paysage politique, faire élire davantage de députés.»
- Mme David, j’ai quelque chose pour vous.
Les nécessaires alliances Y voir aussi le tableau 4, plus bas. Qu’espérer mieux que faire 4 en 2018 sans scrutin proportionnel grâce à quoi vous feriez 7, ON 1, Autre 1, la CAQ 34, le PLQ 38 et le PQ 44 pour 125 ? J’imagine que le Lieutenant-gouverneur sans conseil inviterait le PQ à former le gouvernement. Allions-nous autour d’un changement de mode de scrutin.
Dans son livre à elle, «on ne peut pas être premier ministre et être actionnaire principal de la plus grande entreprise de presse du Québec.» Fort bien ! Les membres en congrès peuvent en décider autrement, j’en doute; PKP peut vendre au bon moment d’ici 2018. Un négociateur expérimenté révélera le fond de sa pensée à flux tendu (pour ne pas écrire just in time).
QS a raison d’exister, ce parti est représentatif de gens du pays et ses électeurs partie prenante à sa régénération. Avec un nombre de députés proportionnel à son pourcentage d’électeur, 10 %, il pourrait détenir un poids substantiel dans la balance de la charge, ce que d’autres appellent la balance du pouvoir. De là, espérer la charge quand munit d'un nombre suffisant de députés expérimentés sous un régime politique à la Suisse, disons, il n'y aura qu'un pas.
30 avril 2016
Merci Gaston Carmichael pour les trois liens. Ça mérite un trio de commentaires. Voici le premier.
S’unir enfin, les yeux grands ouverts. J’ajouterais les oreilles tendues et la bouche parlante à nos proches, le politique et la politique étant communication. Coeur, cervelle, bouche, pour autrement dire réaction : affection/émotion, raison, action. Question ?
- [Question ? action !->https://fr.wikipedia.org/wiki/Dans_une_galaxie_près_de_chez_vous] commanderait le Capitaine Charles Patenaude.
La campagne électorale 2018 est encore jeune, surtout menée par ON depuis février.
Vous savez mieux que moi M. Chartrand ce que sont les négociations. J’ai quand même vécu trois fronts communs, les premiers.
28 avril 2016
Plusieurs commentateurs et tribuns ici sont d’accord pour que le Québec gradue d’État-province à République. Les électeurs et électrices d’ON, de QS et du PQ, oui majoritairement, ceux et celles de la CAQ, oui, minoritairement.
Nous verrons en juin 2017 si les membres du PQ seront pour un nouveau mode de scrutin comme ON, QS et la CAQ. J’imagine. L’élection de 2018 porterait alors fortement sur le mode de scrutin où le PLQ serait contre un changement de cette nature. À moins que d’ici là, devant le danger, il procède à ce changement lui-même, à son goût, pendant q’il est en charge, majoritaire.
Je me suis amusé à dresser le tableau joint pour illustrer l’aberration qu’est notre actuelle députation. Les nombres de députés en première colonne sont disproportionnés en regard des pourcentages du dernier Léger en deuxième colonne. Un pratiquement même pourcentage d’intention de vote est associé à un plus du double de députés en Assemblée nationale.
Une fois répartis le 17 % de répondants sans parti pris proportionnellement entre les partis, troisième colonne, en quatrième, j’ai attribué au PQ la moitié des intentions de vote mérités par ON et QS au PQ, l’autre moitié entre le PLQ, la CAQ et les éventuels Autres. Sous cette hypothèse de monopole au PQ, le simulateur d’élection de Bryan Breguet projète les nombres de députés que vous retrouvez en avant-dernière colonne sous monopole : 38 au PLQ, 44 au PQ, 34 à la CAQ, 7 à QS, 1 à ON et 1 aux Verts ou Conservateur du Québec.
Le PQ monopolisant n’obtient tout juste que la majorité avec 64 députés. Rien pour entreprendre l’indépendance dans un climat de confiance, de sécurité et de mieux-vivre. Les pourcentages inscrits au simulateur sont ceux de la quatrième colonne où 50% des intentions de vote à l’endroit d’ON et du PQ sont répartis entre les autres. Je comprend facilement le récent indispensable changement de stratégie du PQ.
En dernière colonne, vous avez une autre projection où les nombres inscrits au simulateur sont ceux de la troisième colonne, les intentions de vote estimées par Léger après répartition proportionnelle des sans parti pris. Nous retrouvons la une députation en meilleur rapport à l’intention de vote, une députation beaucoup plus représentative de l’électorat québécois.
Le tableau joint est une refonte d’un précédent en commentaire où vous trouverez une explication plus détaillées des calculs fins. La position suggérée au PQ et à QS est celle d’ON, une entente de ne présenter qu’un candidat commun dans un nombre limité de circonscriptions.
OUI-Québec, oui !
27 avril 2016
Vous avez peut-être trouvé la fin de mon commentaire du 25 ici plus bas pas facile à comprendre. Si Bryan Breguet le lit, il y trouvera une curieuse application de sa méthode de projection à partir des résultats de la dernière élection par circonscription, des régions de ces circonscriptions, des députés sortants, de pourcentages de sondages et d’ajustements de dernières minutes. Il s’y trouve une erreur sans trop de conséquence dans la répartition des sans partis à 50-50 entre le PQ et les autres.
Avec le tableau joint, mieux que si vous étiez à Point de mire ou à la dernière émission de BazzoTV, pas à cause des personnes mais de l’évolution des perceptions et de ma compréhension, je réussis à faire mieux. Quoi de mieux que faire mieux pour réussir.
Je m’entends assez bien ici avec plusieurs pour un Québec républicain démocrate, de là le premier élément du titre. Je ne compte pas sur le PLQ pour y arriver mais sur ON, QS et PQ, de là le deuxième élément du titre. Le troisième élément aborde un sujet d’entente, la répartition de quelques comtés.
En 2012 et en 2014, le PQ s’est conduit royalement, en conformité à son programme de 2011, comme s ‘il avait l’exclusivité de la réalisation d’un Québec républicain et démocrate. Ça nous place dans la situation qu’expose la dernière colonne du tableau joint, un gouvernement légal mais légitime ? Plusieurs ici en doute.
Sa première colonne rapporte les résultats du dernier sondage Léger tenu les 21 et 22 mars passés. Les 17 % des répondants qui n’ont pas pris parti sont répartis proportionnellement dans la colonne suivante. Le 5 % à Autres donnait 6 % après répartition pour un total de 101 % et ne pas dépasser la borne. J’ai ramené à 5 pour me conformer à une exigence du simulateur. Dans la deuxième colonne, j’ai alloué 2 à ON et 3 à Autres. Pour plus de précision j’ai recalculé la répartition en troisième colonne à deux décimales proche.
J’indique la répartition des intentions de vote méritées par ON et QS, 50 % au PQ, 50 % au PLQ, à la CAQ et à Autres, dans la quatrième colonne. Le PQ obtient 6,02, le PLQ 3,39, la CAQ 2,26 et Autres 0,38 pour le total de 12,05, 17 sur 83. La colonne suivante fournit les pourcentages à inscrire dans le simulateur. Celui-ci produit les nombres de la colonne députation menotté.e.
Vous constatez qu’avec une stratégie de monopolisateur, de premier ministre de monarque, le PQ, même sans la concurrence d’ON et de QS, ne rallierait pas un nombre suffisant d’indépendantistes pour procéder à la graduation du Québec d’État-province à État-pays en toute confiance, sécurité et maintenance de mieux-vivre.
L’alternative ? Une entente pour une répartition finale représentative au prix de non-concurrence dans quelques circonscriptions à la lumière du simulateur de Bryan Breguet.
Avec les % de l’avant dernier sondage Léger, début février 2016, la députation espérée serait celle de l’avant-dernière colonne : PLQ 38, PQ 44, CAQ 34, QS 7, ON 1, Vert ou Conservateur 1.
Que peut rêver de mieux pour 2018 un grand-père de la République fédérale du Québec pour son peuple plurinational !
25 avril 2016
« … le gouvernement majoritaire formé de ces députés … procéderait à la rédaction d’une constitution …»
J’ai fait court et ça ne rend pas justice à Option nationale. Lors du congrès fin janvier, les participants ont adopté à leur programme l’article 1.1.5 :
« Enclenchera un processus d’assemblée constituante citoyenne indépendante et non partisane, élue ou tirée au sort, afin que soit écrite une constitution du Québec indépendant de la manière la plus démocratique qui soit et avec la plus grande participation citoyenne possible. Cette constitution définira les institutions du Québec et établira la reconnaissance des valeurs fondamentales québécoises et des droits, libertés et devoirs des citoyen-nes; »
« … à l’aide d’un instrument statistique fondé sur les résultats de l’élection précédente et des derniers sondages publiés, … »
J’ai fait vite ici aussi, je corrige. À l’aide d’un simulateur qui exploite les résultats de la dernière élection provinciale pour chaque circonscription, de sa région et du fait que l’un des candidats est sortant. Un utilisateur qui y remplace les pourcentages en place, par exemple par ceux du dernier Léger publié, obtient pour chaque parti un nombre projeté de candidats élus totalisant à 125.
J’ai fait avec les pourcentages de l’intention de vote au provincial trouvé par Léger, 21-23 mars 2016, avant répartition, première colonne et après, deuxième colonne, % :
27 33 PLQ
25 30 PQ
18 22 CAQ
08 10 QS
05 06 Un autre parti
Ça détermine respectivement la répartition suivante des élu.e.s projeté.e.s.
51 54 PLQ
55 54 PQ
15 14 CAQ
04 03 QS
00 00 ON
Total 125. Qui le Lieutenant-gouverneur appellerait-il à former le Gouvernement, le PQ ou le PLQ ? La répartition du 22 % « d’insupporteurs » ne change pas grand chose comme attendu.
Bryan Breguet suggère pour avoir lu Claire Dandurand, pas Underwood, de ne pas additionner à 100 % les partis mais à 50. Les projections changent. Les pourcentages à inscrire deviennent, au lieu de la première colonne, la deuxième :
27 33 PLQ
25 37 PQ
18 22 CAQ
08 00 QS
05 00 Un autre parti
et les résultats à 100 % en première colonne deviennent à 50 % ceux exposés en deuxième colonne:
34 48 PLQ
77 66 PQ + QS + ON
14 11 CAQ
125. La coalition à 100 % donne meilleur, 77 députés, l’indépendance 66. Vive l’indépendance ! À 66, c’est serré mais la barre est franchie. À 77, l’interdépendance est plus confortable et visiblement plus légitime !
25 avril 2016
Un sondage Internet réalisé auprès de citoyens ayant le droit de vote dans l’ensemble des régions du Québec par Léger les 21 et 22 mars 2016 contenait deux questions sur d’imaginables coalitions entre le PQ et la CAQ ou le PQ et QS.
Le tableau joint présente les questions posées et les résultats obtenus. Il montre que pour une coalition PQ et CAQ la proportion de votes pour la coalition égale celle pour le PLQ, 31 %. QS obtient 12 % des votes. Autant que 26 % des répondants ne choisissent pas un parti ou la coalition.
En réponse à une imaginable coalition PQ et QS, le PLQ obtient 28 % des votes, la coalition 31, la CAQ 17. Autant que 25 % des répondants ne choisissent pas un parti ou la coalition.
J’imagine comme vous écrivez qu’une démarche citoyenne plutôt que partisane « où on accepte au départ le principe de la souveraineté du peuple québécois et son droit de choisir sont statut politique réalisera un large débat entre souverainistes et nationalistes sur les objectifs et les projets collectifs largement partagés dans la population.»
24 avril 2016
M. Le Hir ne partage pas du tout le point de vue de M. Roy quand celui-ci suggère une répartition des comtés entre les partis souverainistes au pro-rata des votes obtenus lors de la dernière élection générale.
En juin 2013, Bryan Breguet, un projectionniste non-partisan, un bolé venu de Suisse, sur la division du vote a démontré que : « la meilleure solution à la division du vote est une réforme du mode de scrutin. Cependant, vu qu'une telle réforme ne semble pas être d'actualité, j'avoue ne pas comprendre pourquoi le PQ, QS et ON n'essaient pas de s'entendre quelque peu. Stratégiquement, cela serait la bonne chose à faire. Il s'agît d'un pari, mais pas d'un pari très risqué selon moi. »
En 2012, cette solution n’aurait pas semble-t-il procuré une majorité au PQ mais 4 députés de plus et 5 à QS, 4 aux dépends du PLQ et 2 de la CAQ.
J’ai laissé lire ici ailleurs, Les nécessaires alliances, que si la tendance se maintient, cette répartition des circonscriptions au pro-rata aboutirait selon mon estimation fondée sur les deuxièmes choix à 44 PQ, 38 PLQ, 34 CAQ, 7 QS et à 2 je ne sais pas pantoute plus que Céline.
22 avril 2016
La victoire illustrée au graphique joint avait du panache.
Lors de cette campagne, le PLC en rouge avait un seul site, bilingue. Les NPD et PCC avaient deux sites, un en anglais et un en français, orange et bleu foncé.
Le 31 août 2015, le PLC était derrière le NPD au Canada sans le Québec (CSQ), orange, ce que d’autres que moi appellent le ROC. Avec le NPD-Québec, en orange foncé, le NPDT, NPDA + NPDF était davantage en avance.
De là, le PLC double le NPDT le 20 septembre, entre le 13 et le 27, puis s’envole à une altitude impressionnante le 18 octobre et davantage la semaine suivante.
Le PCCT, PCCA + PCCF, parti troisième le demeure pendant toute la campagne.
En 2018, est-ce que le PQ devrait avoir deux sites, un pour les francophones et un pour les anglophones ?
En 2018, est-ce que la CAQ aura deux sites ou un seul bilingue ?
21 avril 2016
« Dans un système démocratique, il est impératif qu’il y ait une nette séparation des pouvoirs : le judiciaire, le législatif et l’exécutif. »
Cette idée nous est connu de Locke et Montesquieu. Ils font le point et ajoutent à des façons de faire antérieures. Bien des affaires ont changé depuis, des « vraies » et des autres. Il faudra voir où on en [IRAI->https://irai.quebec]t.
Les expressions « quatrième pouvoir » et « cinquième pouvoir » sont parfois utilisées pour qualifier respectivement les institutions telles que le pouvoir médiatique et le pouvoir monétaire. [Wikipédia->https://fr.wikipedia.org/wiki/Séparation_des_pouvoirs#Principes_et_origine]
Il faudra considérer ajouter le pouvoir cognitif.
Qu'en est-il du pouvoir religieux ?
Il m'arrive de penser qu'il faudrait remplacer le mot pouvoir par l'expression pouvoir/charge.
20 avril 2016
Où était le PLC dans les sondages deux ans et demi avant octobre 2015 ?
- Je dirais troisième, derrière le NPD, grand gagnant de mai 2011 et le PCC, à remplacer pour l’alternance inévitable à un moment donné. En tous cas, il était là le 31 août 2015. Voir image jointe.
La CAQ visera le moment venu se mettre dans l’aspiration du PQ derrière un PLQ à remplacer pour l’alternance, le doubler par la gauche et finir premier, minoritaire s’il ne se gagne pas les circonscriptions imprenables aux libéraux selon Jean-François Lisée.
Personne ne suit Robert J. Lachance. Soyez le premier!