Hérouxville: un code rempli d'absurdités
13 septembre 2013
M. Thompson,
Dans ce présent débat absolument incontournable sur la Charte des valeurs québécoises, il fallait s'attendre à des réactions peu flatteuses de la part de gens incapables d'analyser un point de vue différent.
Sur notre coin de terre accueillante, la façon d'utiliser les droits d'expression de sa pensée, de ses croyances, de ses principes,... en dit long sur la manière de participer à la construction pacifique de sa Cité. Dans les contrées «femmes voilées» vous seriez mieux d'être du bon côté des gouvernants... Tandis qu'ici, on peut même dire n'importe quoi et vous resterez libre comme l'air.
Quand vous restez de glace devant ce qui fut raconté par M. Drouin concernant les émotions ressenties par un patient immigrant soigné par une infirmière voilée, dont les parents ont été assassinés par des fondamentalistes religieux islamistes, et quand moi j'essaie d'imaginer les émotions d'une voilée à qui ont pourrait demander d'enlever son symbole pour travailler, je me suis fait une idée: «Dommage que les dogmes, les cadres et les symboles religieux assombrissent ou enflent tant les esprits. Car voyez-vous, la religion avec ses absurdités ne sera jamais aussi lumineuse que les années d'existence et la vie elle-même d'un homme et d'une femme, M. Thompson!