L’étrange sérénité de Lino Zambito
25 octobre 2012
Du choix de type de restaurants, il a fallu qu'il choisisse une pizzéria qui oblige à se procurer du fromage mafieux et de la protection...
La petite guerre
La menace du fondamentalisme et le problème de la transnationalisation
Sinon, attendons-nous à un échec déplorable!
INDÉPENDANCE POLITIQUE DU QUÉBEC 453
Si c'est «pseudo», qu'est-ce que pourrait être le «vrai» fédéralisme vs l'indépendance de facto?
Mathieu Bock-Coté fait une erreur de réalisme
Critique de «Battre les libéraux»
25 octobre 2012
Du choix de type de restaurants, il a fallu qu'il choisisse une pizzéria qui oblige à se procurer du fromage mafieux et de la protection...
25 octobre 2012
Allons jusqu'au bout. Le PQ, incapable de gouverner à cause de la mafia, accoquinée principalement aux libéraux soutenus par les médias doit démissionner et céder le pouvoir. La population jugera.
Or, comme la tribune de Vincent le démontre, les promesses électorales n'engagent que ceux qui y croient et, en politique, ce n'est pas de tenir les promesses qui compte mais de tenir le «pouvoir». Il y aura toujours pleins de gens pour jouer les naïfs devant des situations dont le scénario aurait pu (et a été) écrit bien avant. Je pense qu'André Vincent a assez d'expérience pour savoir tout ça...
GV
25 octobre 2012
@ Pierre Tremblay
Vous me redonnez espoir avec vos suggestions très positives et réalisables avec l'effort de tous les Québécois. Je ne comprends pas pourquoi Télé-Québec ne deviendrait pas notre médium national au Québec à la place de Radio-Canada. Ce serait le médium parfait pour promouvoir notre identité québécoise et pour pouvoir nous solidariser comme peuple avec des nouvelles nationales et internationales et avec des reportages provenant de toutes les régions du Québec. Si Ottawa veut nous mettre des bâtons dans la rue; on organise des manifestations dans les rues du Québec; ça c'est de la vraie gouvernance souverainiste.
On demande l'abolition du poste de lieutenant-gouverneur; si Ottawa veut nous mettre encore des bâtons dans les roues; on descend dans la rue jusqu'à l'abolition de ce poste de vestige colonialiste. On déclare le français la seule langue officielle du Québec; finies les concessions au West Island et aux immigrés s'ils ne veulent pas s'intégrer. Imaginez le ressac si Ottawa dit non! On descend encore dans la rue jusqu'à ce qu'Ottawa cède sur toute la ligne, rien de moins! C'est ça la vraie gouvernance souverainiste et de se prendre en main.
Le peuple prend le pouvoir et déclare unilatéralement l'indépendance du Québec en se donnant une constitution et en demandant une reconnaissance internationale auprès des Nations Unies Il faut provoquer des choses et cesser de tourner en rond sinon c'est la stagnation et notre disparition en tant que peuple rien de moins! Il faut provoquer des choses afin que ça bouge une fois pour toute.
André Gignac 25/10/12
25 octobre 2012
Merci pour votre texte.Cela nous aide à faire avancer
notre pensée.
25 octobre 2012
En voyant l’entrée triomphale réservée à Lino Zambito à TLMEP sous l'ovation à tout rompre du public en studio, de parfaits idiots en pâmoison devant “le champion de la construction devenu le champion de la commission” (Guy A Lepage), il m’est venu à l’esprit ce journaliste du magazine Maclean’s, Martin Patriquin, qui dans son article haineux sur “la province la plus corrompue” vomissait cette mention: “ il y a présence d’un gène de la corruption dans l’ADN des Québécois”.
Autres pensées en rafale m'étant passées à l'esprit: La réalité dépasse souvent la fiction. La victime se prosternant devant son bourreau. Une volée d’applaudissements de victimes groupies de leur arnaqueur. J'étais scié de honte.
25 octobre 2012
Marois va bientôt présenter un projet de loi contre la corruption qui va recevoir l'appui de la CAQ et qui va isoler les leberelles.Dans un an Marois sera majoritaire. Le dernier sondage paru dans le journal Le Soleil d'aujourd'hui montre que le PQ a gagné 2 points dans les intentions de vote en un mois ce qui veut dire qu'elle va avoir sa majorité aux élections générales de septembre 2013. Nous serons en référendum presqu'en même temps que les Écossais et les Catalans. Bravo Marois!
25 octobre 2012
Pas fort comme analyse. Pourtant facile à comprendre que, étant minoritaire, le PQ n'avait pas le choix.
Et même si vous aviez raison, faut-il encourager, encore une fois, nos éternelles subdivisions? Donner le pouvoir à la CAQ ou au PLQ en nous subdivisant? Comme Aussant dans Nicolet Bécancour!
Gilles Jean
25 octobre 2012
À ce cher Nestor,
Mon commentaire à Cloutier vout va comme un gant. Mais je rajoute : de la merde dans bas de soie.
André Vincent
25 octobre 2012
À Pierrer Cloutier,
Pitoyable commentaire! décidément, vous ne changerez jamais vous ; on pourrit dire que ce n'est ni la subtilité ni la hauteur de vue qui vous étouffe !
André Vincent
25 octobre 2012
Mon cher Vincent,
puisque tu te plains que personne sur Vigile n'a dénoncé ce que tu appelles "la trahison" sur l'abolition de la taxe santé de 2012, au lieu de sortir les grands mots, j'ai essayé de comprendre. Je t'invite à lire mon texte: "les limites d'un gouvernement minoritaire". Et peut-être aussi: "Avons-nous perdu la bataille de la rétroactivité?" Puis, dis-moi ce que tu en penses.
En 2012, pour un adulte qui n'a pas d'enfant à charge, le seuil d'exemption de la taxe santé est de 18,000$. Ma conjointe me dit (elle fait bénévolement des rapports d'impôt) que de nombreux aînés ne paieront pas 200$
Un adulte, un enfant à charge: seuil d'exemption: 24,360$
Un adulte, 2 enfants à charge ou plus, seuil: 27,620$
Pour deux adultes (sans enfant, un enfant ou deux enfants) le seuil d'exemption est de 36,000$.
Il y aura donc beaucoup plus de contribuables qu'en 2011 qui seront exemptés de la taxe santé de 200$ en 2012.
Salutations,
p.s. Je suis sûr que tu as remarqué le point d'interrogation que j'ai ajouté à côté du mot "trahison". Sans vouloir t'insulter, je pense que tes conclusions drastiques sont plus émotives que rationnelles. Il n'y a qu'à voir qui t'approuve. Que Bernard Frappier repose en paix.
robert barberis-gervais, 25 octobre 2012
25 octobre 2012
Ca fait près de 70 ans que les fédés nous empoisonnent la vie avec une cérémonie tendancieuse et récupérée à des fins de propagande monarchiste, militariste et pour faire la promotion de l'unité canadienne.
Y a-t-il des souverainistes, des péquistes, des QS qui trouvent intéressante notre démarche? Peuvent-ils se manifester sur VIGILE? Peuvent-ils nous dire s'ils nous donneront un coup de main par leur présence le 11 novembre?
C'est bien beau le placotting mais il y a aussi un temps pour l'action, vous ne croyez-pas?
25 octobre 2012
M. Fortin,
Un texte inspirant et, à mon sens, complémentaire de celui de M. Charbonneau sur la propagande.
J’ai suivi le lien menant à la Charte de l’ONU et là, j’ai cliqué sur l’onglet préambule. Où on y trouve notamment, suite à la liste des résolutions des membres fondateurs, parmi les engagements de ces derniers pour les réaliser : " à accepter des principes et instituer des méthodes garantissant qu'il ne sera pas fait usage de la force des armes, sauf dans l'intérêt commun ".
Là, le bât blesse.
En ce sens que toute bonne volonté exprimée en mots, est sujette à interprétation. Et l’interprétation que l’un puisse donner, s’avérant souvent un sophisme calculateur, mène à différentes dérives toutes, bien expliquées et fidèles à l’interprétation les ayant causées. Le " droit à l’ingérence " et sa correlation à l’intérêt commun et ses conséquences en est un bel exemple.
Ainsi, ce même préambule stipule que les membres fondateurs sont résolus : " à proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité de droits des hommes et des femmes, ainsi que des nations, grandes et petites ".
Lors de son allocution devant l’Assemblée Générale de l’ONU en septembre 2009, Mouammar Kadhafi, mentionnait que si tous les pays approuvaient la notion du préambule stipulant l’égalité de toutes les Nations, grandes et petites, beaucoup, par contre étaient plus que mal à l’aise avec la contradiction flagrante dresssée face à celle-ci que représentait le veto des cinq membres permanents du Conseil de Sécurité.
Il faut comprendre, comme nous l’explique Samir Amin dans son texte : Géopolitique de l’impérialisme américain, que : " C’est parce que le conflit des impérialismes et le mépris du droit international par les puissances fascistes avaient produit les horreurs de la seconde guerre mondiale que l’ONU a été fondée sur un principe nouveau proclamant le caractère illégitime de la guerre. Les Etats Unis, dira-t-on, non seulement ont fait leur ce principe, mais de surcroît en ont été largement les initiateurs précoces. Au lendemain de la première guerre mondiale Wilson préconisait de refonder la politique internationale précisément sur des principes autres que ceux qui, depuis le traité de Westphalie (1648) ont donné à la souveraineté des Etats monarchiques puis des Nations plus ou moins démocratiques ce caractère absolu remis en cause par le désastre auquel il a conduit la civilisation moderne. (...) F. Roosevelt, et même son successeur H. Truman, ont bien joué un rôle décisif dans le concept nouveau de multilatérialisme et la condamnation de la guerre qui l’accompagne, qui est à la base de la Charte des Nations Unies ".
Kadhafi rappelant qu’une des cause de la fondation de l’ONU stipulée dans ce préambule servait : " à préserver les générations futures du fléau de la guerre qui deux fois en l'espace d'une vie humaine a infligé à l'humanité d'indicibles souffrances " nota qu’à cette date, 65 guerres, causant des millions de morts et de victimes avaient sévi depuis.
Ce sophisme qu’est le droit d’ingérence auto-proclamé, Samir Amin y voit la volonté étatsunienne : " d’étendre à toute la Planète la doctrine Monroe, qui effectivement donne aux Etats Unis le « droit » exclusif de gérer l’ensemble du Nouveau Monde conformément à ce qu’ils définissent comme leurs « intérêts nationaux " puis de l’étendre jusqu’à : " disposer des moyens faisant de Washington le maître en dernier ressort de toutes les régions de la planète ".
Nous devons nous rappeler ce mot de George W. : " Ou vous êtes avec nous, ou vous êtes contre nous ". Les états qui sont partisans du droit, ne doivent jamais sous-estimer le pouvoir concret des partisans des armes et la menace qu’ils représentent.
Ici au Canada et au Québec, on a choisi notre camp et ce choix nous a été imposés comme allant de soi. Primo vivere sans doute.
Mais ce choix comporte des obligations. Celle, entre autres, de devoir constamment et par tous les moyens en montrer le bien-fondé. Tant pour les médias qui appartiennent à des intérêts privés participants de plus ou moins près selon les fortunes, au pouvoir, ou encore , pour les autres, qui sont gérés au gré de l’évolution des volontés de gouvernements se succédant, il en découle l’obligation du " faire-valoir ".
Voilà où l’on en est, tant ici que partout dans le monde où sévissent des " intérêts ".
Et si vraiment, le journalisme s’est transformé en popagandisme du faire-valoir, il nous faut absolument toujours questionner quelque nouvelle que se soit.
Ainsi, lorsque Radio-Cadna " apprend " qu’Hydro-Québec a dépensé des sommes importantes en achat d’équipements en prévision de la réfection de la centrale Gentilly2, on doit se demander ce que ce scoop veut faire valoir. À qui le crime dénoncé et l’emphase que l’on y met, profit-t-il?
Ça n’est, bien sûr qu’une supposition, une ébauche de piste. Sachant que notre média "national" est très très près du groupe Gesca, et sachant que Michel Plessis-Bélair a ses entrées tant chez Gesca qu’à Hydro, il m’est venu à l’idée qu’il pourrait s’avérer être plus que près de la source du journaliste Hugo Lavallée chargé de rendre cette nouvelle, tous les Marisal et autres Le Cours de Gesca étant, par défénition, trop susceptibles d’être liés facilement à M. Plessis-Bélair.
Deux conséquences menant au même résultat peuvent être inférées de mon interprétation.
Primo, si tant d’argent a déjà été dépensé et que, des pertes sont à envisagées quant à leur revente, pourquoi alors le PQ s’entêterait-il à en poursuivre le démantellement : PQ, mauvais gestionnaires.
Deuzio, Hydro est géré à la petite semaine et l’entreprise privée serait beaucoup plus prudente.
Dans un cas comme dans l’autre, il n’y a qu'un pas vers sa privatisation que nos propagandeux, pour citer Lucien Bouchard, ne se priveront pas de nous seriner à la grande joie de leurs patrons qui déjà, salivent à la belle possibilité d’appropriation que cela représente pour eux.
Heureusement qu’existent des médias tel Vigile qui,dans un Web pas encore trop contrôlé, peuvent servir à l’émancipation de notre compréhension de ce que ce monde dirrigé par des schizophrènes nous impose.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!