Merci M. LeHire d'avoir synthétisé le fonctionnement fourbe et vaniteux de Jean Charest et le machiavélisme du premier ministre et ses conseillers J'aimerais ajouter qu'après avoir contaminé son cabinet de ministres et députés il a peut être réussi à stigmatiser une trop grande partie de notre peuple. J'aimerais que votre opinion se retrouve dans les médias populistes qui semblent être la seule référence que se donnent un trop grand nombre d'entre nous.

Nous avons d'un bord la voie (voix) du peuple québécois, et de l'autre la voie néo-libérale entretenue par une minorité.

J'ai déjà entendu ça quelque part: Ou bien tout le monde vit décemment et heureux ou personne ne vit décemment et heureux...

Je suis passablement d'accord avec vous. N'empêche que Charest semble gagner des points dans les sondages avec cette crise. On ne parle plus que des actes violents de la grève et cela occulte complètement les activités louches de financement du parti Libéral. Serait-il plus efficace pour le mouvement contestataire étudiant de mener une lutte plus sous-terraine mais à la fois plus efficace contre le gouvernement Charest? Par exemple, résauter leurs idées et aussi inciter les étudiants de voter en masse la prochaine fois.

Le problème monsieur Vaillancourt, c'est que cette grève étudiante a fait monter la popularité de Charest auprès de tous les Elvis Gratton du Québec et que les libéraux ont maintenant de belles chances d'y aller pour un quatrième mandat.

L’homme est blessé et dangeureux, acculé au pied du mur, il fait flèche de tout bois.
Deux chroniqueurs fédéralistes se sont prononcés dernièrement sur le départ éventuel de Charest que je ne nomme plus messieur depuis belle lurette.
On lui reproche entre autre de s’être laisser emporter maladroitement à l’Assemblée nationale insinuant que Pauline Marois possédait une colonne vertébrale de Jell-o et ses plaisanteries sur les étudiants expatriés dans le nord lors de l’émeute au Centre des congrès a été la goutte qui a fait déborder le vase.
Nous faisons les frais de cette lente agonie jusqu’à ce qu’un successeur potentiel se pointe mais hélas, ils démissionnent tous…
Avec cette loi matraque, Charest rassure ses fidels disciples que dorénavant, la paix règnera lors des congrès libéraux et c'est nous tous qui payerons la note du service d'ordre.

La classe dominante québécoise, en lutte contre ses compatriotes des classes socio-économiques inférieures, a fait entrer des immigrants au Québec pour ne pas avoir à employer ses propres compatriotes québécois et leur permettre ainsi d'avoir un salaire.

Monsieur Goyette,

Vous aviez raison M.Michaud, il faut bien connaître le passé pour choisir nos amis. À voir les récents développements avec la crise des étudiants, la CAC ce n'est pas fort. Mais pour qui, devrions-nous voter pour battre Charest? PQ, ON, ou QS.

Selon le sondage "douteux" Crop La Presse paru ce matin, une majotité de répondants triés sur Internet serait en faveur de la ligne dure, cela même avant l'issue du débat sur l'adoption de cette loi matraque.
Ce qu'il faut se demander c'est précisément quelle tranche de la population manifste et où se situe t'elle?
Pas de quoi pavoiser si parmi ceux qui s'opposent à cette loi matraque sont des étudiants concentrés dans les centres urbains, loin de la paisibilité campagnarde.

Premièrement je tien à dire que je suis pour une refonte du système électoral pour que nous passions a une sytème proportionnel à deux tours. Parler d'une dictature parlementaire serais selon moi une grossière erreur. Car depuis 50 ans aucun gouvernement ne s'est rendu à 10 ans consécutive. Le 24% que vous invoquer tien en compte que 40 % de la population n'est pas allé voter et même si nous allons en système proportionelle à deux tours n'irons surement pas plus voter.

Et malgré tout, les Québécois éliront un gouvernement libéral majoritaire aux prochaines élections. Parce qu'il est plus sage - c'est le principe de la cohésion et de l'ordre social - pour la psyché de l'ensemble de la population d'être manipulé et guidé sans penser. C'est un fait indéniable. Le pouvoir des médias de masse et la manipulation psychologique sont des réalités que nie la majorité.