UNE de Vigile

La stratégie du chaos social - une politique criminelle !

Vigile


La RUE, bouclier contre la pensée tragique, tortueuse et antidémocratique du mercenaire Charest qui, à l'avantage de ses maîtres, veut rentrer dans la gorge des Québécois, contre leur volonté, le principe néolibéral de l'utilisateur-payeur. Après le secteur de l'Éducation, viendra celui de la Santé, etc. Comme c'est une politique contre le peuple, il ne peut la proposer électoralement. Il va contourner le problème en créant de toutes pièces un chaos social qui appelle la répression-pacification, au terme de laquelle il pourra tranquillement l'introduire comme élément de normalisation d'une situation de désordre créée par une jeunesse inexpérimentée et mal informée..., enfin mise au pas, selon les voeux de la majorité silencieuse et à l'avantage d'une oligarchie insatisfaite des cadeaux fiscaux reçus depuis 10 ans de la part de ce même JJC! L'utilisateur-payeur est un principe démagogique qui a pour fonction d'oblitérer les rapines de la corruption (mafia retient 30% des factures d'infrastructures), les dilapidations fédérales (militarisme outrancier), le sur-investissement étatique dans le développement du Nord et les accaparements des banksters parasitaires. - Vigile
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"Le problème de Charest et de bien d’autres sur la planète est le suivant : il est orienté sur une approche néolibérale sauvage de l’économie et de la politique, une approche fondée davantage sur une croyance que sur des arguments solides et étoffés, appelée par Joseph E. Stiglitz, le fondamentalisme du libre marché dérégulé. C’est le problème central des gouvernements partageant cette pensée unique, et lorsqu’elle n’est pas respectée, on brandit la menace et on multiplie les abus d’autoritarisme, où les gouvernements deviennent presque autocratiques étant donné les faibles taux de participation aux élections. Charest est les autres gouvernements se sont isolés dans une tour de Babel idéologique ! Ils regardent le monde d’en bas comme s’il s’agissait d’une sous-classe." - Pierre Bellefeuille, 3 juin 2012, Commentaire.

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