La dette publique et la bancocratie
24 janvier 2012
a Pierre Cloutier,
pour le Quebec je ne sais pas mais voici le systeme pour la France qui est facilement transposable au Quebec ...
http://2ccr.unblog.fr/2010/10/16/la-dette-de-la-france/
L’homme d’affaires était accusé de production de drogue avec les Hells Angels et de possession d’arme
24 janvier 2012
a Pierre Cloutier,
pour le Quebec je ne sais pas mais voici le systeme pour la France qui est facilement transposable au Quebec ...
http://2ccr.unblog.fr/2010/10/16/la-dette-de-la-france/
24 janvier 2012
@zootrope,
Aussant, les piranas se sont déjà essayés sur ses culottes: il a étudié en Angleterre, il risque de pencher du mauvais bord...
A-t-on déjà essayé ça sur Parizeau?
24 janvier 2012
Bravo monsieur Lessard. J'attendais ça, un texte comme le vôtre. Au Québec on a l'habitude d'abattre nos défenseurs. C'est comme si on avait le dégoût de l'honnêteté, de la détermination et de la sincérité. On a fait le coup à Honoré Mercier, on s'est acharné sur Yves Michaud, maintenant on s'en prend à Duceppe. Gageons que le prochain sera Aussant !
24 janvier 2012
Monsieur Bouchard
Excellent texte que j'ai fait parvenir à mon député péquiste en espérant que tous les Vigiliens feront de même. Depuis que j'écris des commentaires sur ce site, je n'arrête pas de répéter que le PQ n'a jamais été un vrai parti indépendantiste; il a toujours magouillé pour aller chercher le vote des vrais indépendantistes pour prendre le p'tit pouvoir provincial de merde (ça s'arrête là leur chouveraineté!) mais, maintenant, leurs tactiques d'attrape-nigaud ne fonctionnent plus. Aujourd'hui, nous voyons le vrai visage de ce parti.
De plus, le PQ est infiltré depuis longtemps par les fédéralistes qui contrôlent son agenda politique de connivence avec l'oligarchie économique du Québec; Marois n'est pas chef de ce parti pour rien. (Marois, Blanchet, vous connaissez?) Il n'y a plus rien à espérer de ce parti moribond sauf que 7 ou 8 députés de ce parti démissionnent, en fin de semaine, et qu'ils joignent les rangs d'Option Nationale qui doit prendre le relais pour l'indépendance.
André Gignac 24/1/12
24 janvier 2012
Bravo monsieur Turcotte,
Votre deuxième intervention, décrit en peu de mots le vrai visage du PQ, et ça depuis son existance.Quant à Bernard Landry, quel hypocrisie,«des militant attristés m'abordent dans la rue pour me demander mon avis ,dans certain cas leur détresse est émouvante» et bien entendu la «pression médiatique» étant devenu insoutenable, son devoir de grand patriote l'oblige a tenter de sauvé le parti de René Levesque. À une autre époque,Landry aurait été un candidat parfait pour pleurer derrière les corbillards, qelle farce!
24 janvier 2012
La réaction essentiellement partisane du NDP ne trompe pas, qui se range aux côtés des libéraux et des conservateurs pour jouer les vierges offensés. Duceppe aurait, paraît-il, transgressé une règle «tacite» du Parlement canadian en dépensant une partie de son enveloppe à des fins partisanes? Alors que la directive écrite des Communes le permet! Quelle hypocrisie. Je serais bien curieux de savoir comment ils dépensent leur enveloppe, eux, ces purs représentants du parlementarisme british. Du moins, si la preuve restait à faire sur le NDP, c'est fait. Ce sont effectivement des représentants d'Ottawa au Québec et non pas les représentants des Québécois.
24 janvier 2012
epuis très longtemps j'ai dénoncé le comportement non nationaliste, ni même souverainiste de Mme Marois. Ses péchés: le premier est survenu lorsqu'elle était ministre de la santé au PQ et qu'elle a associé l'Institut Armand Frappier avec la société Biochem Pharma qui fut vendue à Shire Pharmaceutical co. qui a fermé ses portes et mis à pied 700 employés. L'institut Armand Frappier fabriquait des vaccins et appartenait à l'État québécois. Léguée par le docteur Armand Frappier pour être le fer de lance de notre industrie pharmaceutique, il n'aurait jamais dû être vendu. Combien nous ont coûté les vaccins de la AHN1?
Règle no1 : on ne vend pas le bien du peuple sans lui demander sa permission.
Autre reproche que j'ai à lui faire, jamais elle dénonce le système bancaire, le système des hypothèques. Alors que Québec solidaire propose de nationaliser les banques, Mme Marois reste silencieuse. Prendre le pouvoir pour imiter le gouvernement Harper qui se fait vivre par les banques et rembourse leurs pertes, ce n'est pas un modèle à imiter. Je le dis et le répète, les hypothèques doivent être accordées par le gouvernemnt et non les banques. Comme les hypothèques ne coûtent même pas un sou aux banques, le gouvernement peut le faire à leur place et réinvestir les profits dans des programmes sociaux et/ou dans l'économie véritable. Le gouvernmnt Charest pourrait créer une Société d'Hypothèques et de Logements du Québec mais cela serait considéré comme un acte d'agression envers le gouvernement fédéral et nos 6 grandes banques qui sont une FED déguisée. La souveraineté commence sur le plan de la finance et se continue sur le plan de l'économie.
Sur le plan de l'économie, on doit mettre fin au Libre-échange qui n'est pas un échange, on doit protéger nos outils de production,les compagnies. Rien ne doit être vendu à des compagnies étrangères sans la permission du gouvernement. Silence aussi sur l'AECG,Accord Économique Commercial Global entre le Canada et l'Europe. Depuis quand un pays doit-il donner le contrôle de ses infrastructures aux étrangers?
Il faut se réveiller, Mme Marois est un capitaine aveugle qui nous amènerait à la même place que Harper, c'est-à-dire vers la faillite.
24 janvier 2012
Cher Nestor Turcotte
Le monde ne s'est pas arrêté en 2003. Vous en avez oublié un petit bout et ce n'est pas juste envers Bernard Landry.
Après la Saison des idées lancée par M. Landry en 2005, le Congrès de 2005, avec son approbation, a accouché du "projet de pays" qui devait être préparé et présenté à l'électorat avec un budget d'un Québec souverain + le thème de l'élection suivi d'un référendum rapide.
Tout cela a été mis aux poubelles par le PQBoisclair et le PQMarois.
Bernard Landry est le seul leader péquiste avec Parizeau à parler ouvertement d'indépendance tout le temps et sur toutes les tribunes.
Trouvez une autre tête de turc, je vous en prie et lâchez-lui la grappe avec sa déclaration d'il y a quelques années sur le statut du Québec comparé à la France à l'intérieur de l'UE.
Pierre Cloutier
24 janvier 2012
On a écrit:"Une seule grimace de Paul Desmarais..."
Mon commentaire:
Si vous avez lu La Presse d'aujourd'hui, les sources d'information viennent du Bloc. Cela signifie que d'ex-députés ou d'ex-employés du Bloc avaient, déjà, passé "les tuyaux" à un ou des journalistes de La Presse. On ne peut diriger un parti d'une main de fer, pendant plusieurs années sans se faire "d'ennemis"! Je suis convaincu que Desmarais n'a rien à faire là-dedans!
J'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour Duceppe. Mais je n'endosse pas votre point de vue qui le voyait déjà premier ministre: administrer le Bloc pis administrer le PQ, c'est le jour et la nuit.
Quant au "vaudeville", il fait partie, malheureusement, du pattern du mouvement souverainiste!!! Pour moi, actuellement, le "vaudeville", c'est PQ + QS + PI + ON. Il y a 4 "vrais chemins indépendantistes! Tout à chacun se présente comme un "vrai" indépendantiste!
Pendant ce temps-là, aucun député libéral n'a fait défection.
Ah oui, j'oubliais! Pour réaliser la souveraineté du Québec, ça veut dire prendre le pouvoir!!!
24 janvier 2012
On a écrit:" les élus, il n’y a toujours que Jean-Martin Aussant qui porte le flambeau indépendantiste."
Mon commentaire:
Donc, dans cette logique, les Drainville, Hivon, Bédard...bref tous les députés péquistes ne veulent pas la souveraineté du Québec?
Quant à ce Aussant, grand bien lui fasse !!!
24 janvier 2012
J'ai repris le projet. Je voulais, dans un document 4-C,donner les grandes lignes de l'événementiel ayant conduit à la débâcle de 2008-09, pour ensuite réfléchir sur les théories keynésiennes et les théories...perconomistes. Mais, à bien y penser, cette déflagration financière doit un peu ses origines à la déréglementation entreprise durant les années 70. Alors, puisqu'il faudrait remonter si loin, pourquoi ne pas poursuivre le voyage jusqu'à Eisenhower,probablement le seul vrai perconomiste de l'ère moderne. D'ailleurs, les déficits ont véritablement commencé à exploser avec l'administration Johnson, à l'époque de la Grande société. Et, tant qu'à y être, pourquoi ne pas y aller également d'un bref survol des crises financières ayant eu lieu depuis le début des années 50. En somme, je vous prépare du deux pour un, la politique fiscale néolibérale et un survol des crises financières récentes. De là, le long délai à produire un nouveau texte. Je serais surpris de pouvoir livrer quoique ce soit avant avril. Et, c'est un peu à regret. Les étudiants nous promettent un hiver chaud et j'aurais bien aimé publier le chapitre concernant le système d'éducation néolibéral un temps opportun. C'est quelque chose, vous savez, le système d'éducation néolibéral. À tout événement, je ne m'engage pas à terminer le projet, même si je vais essayer de le faire. De même, je réserve mes droits si je décidais éventuellement de faire un livre de ce projet. On pourra alors discuter de droits avec VIGILE. Cette possibilité ne tient cependant que pour le projet Friedman et n'inclut pas les crises financières et autres sujets sur lesquels je pourrais décider de rédiger quelque chose.Encore une fois, je ne m'engage pas à terminer.
L. Côté.
24 janvier 2012
Merci, monsieur Gendron pour ce texte engagé, c'est-à-dire qui prend intellectuellement parti, inspiré non par des intérêts particuliers mais par des convictions honnêtes sur la nature du bien général.
Il suffit aujourd'hui, ici comme partout au monde, d'être probe pour être révolutionnaire.
Pauline Marois l'est. Vous l'êtes, monsieur Gendron.
En toute solidarité,
Andrée Ferretti.
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