L'anglicisation métastasique : le Pontiac, la ville de Gatineau... le reste du Québec
Les sacrifiés de la bonne entente
Gatineau se réduit à toute allure à une simple extension d’Ottawa. La vision de Trudeau père se réalise.
L'anglicisation métastasique : le Pontiac, la ville de Gatineau... le reste du Québec
Gatineau se réduit à toute allure à une simple extension d’Ottawa. La vision de Trudeau père se réalise.
La loi 96 est une passoire
Plusieurs villes et arrondissements voteront bientôt pour conserver leur statut bilingue, malgré une faible population de citoyens anglophones. La preuve, dit le PQ, que la réforme de la loi 101 manquait de dents.
Le français massacré par une Anglaise, une « généralissime » otanesque
Jusqu’à présent, nous savions que la novlangue woke se diffusait dans nos contrées à partir des campus américains et de leurs relais dans les milieux associatifs, médiatiques et politiques. Un acteur à première vue inattendu s’investit également dans ce combat culturel, comme le révèle l’officiel « Manuel de l’OTAN sur le langage inclusif ».
La langue française chasse l’obscurantisme
La survie de l’Acadie analysée durant la deuxième moitié de l’entrevue
Vidéo (28 min)
« À titre étranger, le prix a été décerné — également à l’unanimité — à Justin Trudeau »
Communiqué 2022 de l’académie de la Carpette anglaise
Le jury de la Carpette anglaise 2022 a décerné, son prix d’indignité linguistique, exceptionnellement, au président de la République, M. Emmanuel Macron, pour ses nombreuses entorses à la Constitution, dont l’article 2 dispose que « la langue de la République est le français », qui est aussi langue officielle de la plupart des Institutions internationales.
La dissolution des nations dans le globish
Chaque mois, Le Figaro accueille des écrivains, linguistes, amoureux de la langue française. Ils nous confient leurs habitudes d’écriture et leurs mots préférés du dictionnaire.
Appel à l’action
Le déclin du français au Québec, particulièrement dans la grande région métropolitaine de Montréal où seulement 48% de la population utilise le français comme langue d’usage, ne cesse de prendre de l’ampleur.
« La maîtrise de la langue nous tire tous vers le haut »
On s’inquiète avec raison de la maîtrise très approximative de la langue française par de trop nombreux cégépiens québécois.
L’ONU : au diable le français !
La COP15 sur la biodiversité a beau avoir lieu dans la plus grande métropole francophone des Amériques, Le Journal a constaté que la majorité de l’affichage y est... en anglais.
La solution à la crise linguistique ne peut être que géopolitique
Le français est en crise au Canada depuis les années 1960. Crise attribuable à Pierre Elliott Trudeau. Aveuglé par sa volonté d’abattre le nationalisme canadien-français devenu québécois, Trudeau a détourné le Canada de la seule politique susceptible d’assurer au français un avenir enviable en son sein, soit un bilinguisme territorial semblable à celui en vigueur en Suisse ou en Belgique.
Il faut contrer la défrancisation programmée de notre métropole
Vous avez probablement été choqué d’apprendre que des francophones unilingues de Montréal peinent à obtenir des services en français dans le réseau de santé publique. En effet, le Journal de Montréal dévoilait dernièrement une enquête sur le sujet. Sommes-nous en présence d’anecdotes? Ou bien sommes-nous face à une tendance lourde? Plus globalement, l’anglais risque-t-il de devenir la langue du travail à Montréal?
Le monstre mcgillesque nous anglicise avec nos deniers publics
Il y a de quoi sacrer, tellement c’est révoltant.
La rengaine de l’économie pour cacher la pleutrerie ?
François Legault est clair : il ne veut pas être le premier ministre qui aura assisté sans rien faire à la régression du français au Québec. Il sait que la situation est dramatique, il voit notre langue régresser à grande vitesse à Montréal. Il voit fondre le poids de la majorité historique francophone. Il sait que, bientôt, il sera trop tard, et que s’il ne fait rien, il n’aura finalement été que l’embaumeur du Québec, pire, son fossoyeur, lui qui voulait être considéré comme son défenseur.
Le verbiage inaugural n’est que… le CAQuetage continuel
Les discours inauguraux contiennent toujours poudre aux yeux et jeux de miroirs.
La capitale de l’anglicisation
Ainsi donc, sur plusieurs dizaines de gens à comparaître devant la Commission sur l’état d’urgence, officiellement bilingue, un seul l’a fait en français : soit un certain Steeve Charland, chef des Farfadaas. Tous les autres, y compris les francophones, l’ont fait complètement ou essentiellement en anglais.
Le piège des langues officielles
Le projet de loi fédéral s’attaque effectivement à une mesure phare du gouvernement du Québec : l’application de la Charte de la langue française (loi 101) aux entreprises privées de compétence fédérale.
La Francophonie manque de dirigeants visionnaires et volontaristes
Le sommet de la francophonie se déroule cette fin de semaine en Tunisie. Le président Emmanuel Macron, et les premiers ministres Justin Trudeau et François Legault seront présents.
Les fédéraux, des sépulcres blanchis
Cela fait maintenant un demi-siècle qu’au lieu d’appuyer le caractère français du Québec, le Canada prétend fortifier le français par des interventions qui se limitent pour l’essentiel aux autres provinces. Ottawa fait preuve de tant d’obstination à cet égard que force est de conclure qu’il préfère compromettre la viabilité du français au Canada plutôt que de permettre à une société distincte, de langue française, de s’épanouir en son sein.
C’est incontournable : la compétence et le mérite sont le résultat de l’effort
On permettra au professeur que je suis de revenir sur les complaintes des étudiants qui échouent au test de français exigé pour devenir enseignant.
L’acharnement idéologique fédéral contre le français
Le gouvernement fédéral vient de publier ses recommandations pour l’écriture inclusive en français. Comme on pouvait s’y attendre, étant donné la forte teneur idéologique du gouvernement Trudeau, Ottawa recommande, entre autres, d’utiliser des pronoms neutres en « iels » et d’ajouter aux mots masculins leurs terminaisons féminines.
La folie linguistique universitaire contamine le fédéral
C’est une catastrophe intellectuelle
Audio (14 min)
Pour empêcher le subterfuge, la loi devrait imposer un spécifique français
Tout le monde parle de francisation en pensant au service offert ou à la langue de communication, mais qui s’inquiète des raisons sociales ou des noms de festivals ou d’événements qui défigurent Montréal en particulier et le Québec en général ?
La langue commune selon QS est le « bilingue »
Alors que le déclin du français au Québec retient une fois de plus l’attention lors de la campagne électorale, la candidate de Québec solidaire dans Notre-Dame-de-Grâce suscite la controverse avec des publications bilingues.
La fausse solution de l’immigration pour sauver l’Ontario français, préfiguration d’un Québec agonisant : « La première génération parlera français, la seconde parlera bilingue, et la troisième sera anglaise... »
L'ethnocide des Canadiens français de la Basse-Ville d'Ottawa a été largement fouillé dans le livre Ottawa, lieu de vie français* mais la disparition de TOUS les autres milieux urbains francophones de l'Ontario fait rarement partie des discussions ou des conférences.
« Je subodore la mauvaise foi parce que le recul d’une langue n’est pas une fatalité, c’est un choix politique »
En début de campagne, les chefs des partis ont beaucoup parlé de l’état du français au Québec, mais très peu de sa situation au Canada. Le sujet aurait mérité plus d’attention, car, là aussi, le français va mal. Très mal.
« De 1995 à 2022, le secteur anglais a doublé son poids par rapport à celui de la communauté anglophone (8,8 %), pour atteindre près de 19 % de la clientèle du réseau »
Le 8 septembre dernier, les délégués de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), réunis à Trois-Rivières en conseil extraordinaire, ont voté pour l’assujettissement du réseau collégial à la loi 101.
« Le dualisme institutionnel […] permet aux unilingues anglos ou à ceux qui choisissent de s’angliciser de le faire en tout confort et en toute impunité »
Éditorial de septembre 2022
La folklorisation est en marche, elle avance au pas de l’assimilation qui gruge le rapport démographique.
« Le taux d’anglicisation des jeunes adultes de langue maternelle française est de nouveau nettement plus élevé que celui de leurs aînés »
LANGUE
Le long déclin
Les données du recensement de 2021 sont sans appel. Tous les indicateurs sont au rouge. Au point de discréditer totalement les politiques préconisées par les gouvernements Legault et Trudeau. Loin d’assurer l’avenir du français, elles garantiront, au contraire, l’anglicisation du Québec comme du Canada.
Des mesures efficaces réclamées aux partis politiques
Élections Québec 2022
Mesdames, Messieurs, des partis politiques québécois : À l’approche des élections québécoises 2022, Impératif français vous pose les questions suivantes de grand intérêt public.
« Cette “ ouverture à l’autre ” n’est en fait qu’une soumission au rouleau compresseur “ globish ” »
N’oublions pas la dévalorisation systémique (pour reprendre un mot à la mode) de notre langue officielle depuis de nombreuses années au Québec.