Vous avez tout mon respect et mon grand merci, monsieur Frappier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Poursuite_strat%C3%A9gique_contre_la_mobilisation_publique

On se souvient de tout ça, en tout cas, moi, je me souviens!

Je me souviens aussi d'un allumé faisant un discours enflammé à l'UQÀM et disant qu'il fallait écraser le mouvement souverainiste.

Je me souviens d'un résultat trop serré avoisinant les chiffres d'une assermentation accélérée de nouveaux Canadiens au Québec.

Je me souviens de toutes ces magouilles pour "ÉCRASER" les souverainistes.
Je me souviens que les souverainistes ont tout de même accepté cette défaite, l'ont assumée.
Un peuple entier a assumé une défaite qui n'était pas sienne.

Alors, M. Garcia, lui aussi, devrait assumer, ces paroles sont sorties de ... sa bouche! Ces paroles raisonneront à jamais, dans les archives, sur la Toile, dans la tête de ceux qui, comme moi, ont dû vouloir lui enlever ce soir-là!

Il trouvait le Québec trop petit peut-être à l'époque. C'est peut-être parce qu'il y avait, et il y a encore, trop de petits, comme lui!

M. Garcia, au nom de la grandeur, de l'honneur, qui ont été les grands absents de votre campagne, ravalez vos paroles et votre orgueil et brûlez donc la copie de cette lettre risible que vos mains sèches aux doigts croches tiennent fébrilement.
Et calmez vos chiens, lâches sur nous ... le "é" étant facultatif.

C'est à se demander pourquoi elle (Marois) a refusé de faire alliance avec l'ADQ pour un gouvernement de coalition lors des dernières élections...

« Après des études à l'Université Laval et au London School of Economics and Political Science, Monsieur Garcia s'est joint au ministère des Affaires sociales en 1969 qu'il a quitté en 1978 alors qu'il était sous-ministre adjoint à la planification. Il a été associé chez Hébert, LeHouillier et associés, actuaires-conseils de 1978 à 1982. Il s'est joint à la compagnie d'assurance Standard Life à titre de vice-président principal et actuaire en 1983 et en a été le président des opérations canadiennes de juin 1993 à décembre 2004. Il a été membre du conseil d'administration de la Standard Life de janvier 2000 à décembre 2004. Il est maintenant administrateur de sociétés.

Monsieur Garcia agit comme administrateur de Cogeco, Cogeco Cable, Goodfellow, de la fiducie immobilière BTB et de l'Excellence, compagnie d'assurance-vie. Il est également administrateur de l'Institut de recherches cliniques de Montréal et du Service de conciliation des assurances de personnes du Canada.»

Extrait du site Argent (où travaille M. Garcia)

Nous ne devons plus jamais nous mettre à genoux. Nous devons avoir la tête haute et combattre jusqu'à la victoire, les armes à la main s'il le faut!

Garcia est un ennemi du Québec. Nous devons être sans pitié envers nos ennemis et nous vaincrons!

Bravo Vigile!!

iI n' y a plus de doute, Vigile dérange l'ordre établi dit "libéral" et c'est tant mieux.

Camarades qui écrivez et commentez arrêtez de vous sous-estimer : vous jouez un rôle essentiel.

Ça va peut-être se reproduire. Si ce n'est déjà fait, je veux que le Conseil de presse du Québec soit informé.

Attention, ce monsieur n'est pas du menu fretin. Lisez plutôt :

« Administrateur de sociétés

Au cours de sa carrière, M. Garcia a présidé les activités canadiennes de la société d'assurance Standard Life entre 1993 et 2004. Pendant son mandat, il s'est fait remarquer pour une déclaration publique controversée durant la campagne du référendum de 1995. Devant des partisans fédéralistes, le 24 septembre 1995, M. Garcia déclare de ses adversaires souverainistes : « il ne faut pas gagner, le 30 octobre, il faut les écraser ». Les propos de M. Garcia suscitent une vive polémique dans la classe politique et une manifestation à l'Université du Québec à Montréal, où il siège au conseil d'administration...

Il a ensuite occupé un poste de membre du conseil d'administration de la Caisse de dépôt et placement du Québec entre 2004 et 2009. Il était le président du comité de vérification de la caisse, en 2008, alors que l'organisme responsable de la gestion des fonds de retraite publics québécois a enregistré la plus importante perte financière de son histoire. Il a démissionné de son poste en mars 2009 après avoir été informé que son mandat ne serait pas renouvelé par la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget...

Privatisation d'Hydro-Québec

M. Garcia est, avec l'économiste Marcel Boyer, l'un des principaux promoteurs de l'idée de privatiser la société d'État d'Hydro-Québec. Il a rédigé plusieurs articles et rapports prônant les mérites de cette idée dans les journaux. En 2007 et 2009 il a rédigé deux rapports, publiés par l'Institut économique de Montréal, un think tank néo-libéral, où il dénonce le manque de rigueur de gestion de l'entreprise publique et l'attrait que représente la privatisation, faisant valoir que la vente de capital-action dans l'entreprise permettrait au gouvernement du Québec de payer une partie de sa dette...»

Extrait de Wikipédia

http://www.vigile.net/ADQ-Novembre-le-mois-des-morts

JCPomerleau

André Meloche

Un mur, vous dites! Des trous, seraient plus appropriés dans les circonstances.
En forme de nids de poule, de déficits dans les budgets de nos gouvernements ou celui de la Caisse de dépôt, semblable à un cratère sur la lune. En prime, on se retrouve aujourd'hui avec la psychose des piqûres de la grippe A(H1N1). Des trous, vous dis-je.

Pourquoi s'étonner de voir les politiciens comme Stephen Harper, Josée Verner, Jean Charest délaissés le Bonhomme Carnaval, préférant les Kodaks en compagnie de Régis Labeaume depuis son écrasante majorité à la Mairie Québec.
Le nivellement par le bas ou plutôt la munipalisation du Québec; jeux, spectacles, amphithéatres, voiries... comme à Rome à l'époque de Jules César.

Rénald Paré , le gérant de Caisse Populaire de la Petite vie, ferait tout aussi bien l'affaire comme grand visionnaire, quand à sombrer dans le burlesque.

Comment se fait-il alors que le suicide chez les jeunes fait des ravages malgré toutes les opporunités ? Comment se fait-il que les personnes âgés ne voudraient pas avoir 15 ans en 2009 ?. Bref, je pourrais continuer comme ça longtemps...

50 ans après la fameuse Révolution Tranquille, on peut maintenant parler de la Disparition Tranquille. En effet, les jeunes ne voient plus d'avenir au Québec, car le Québec est sur une pente descendente. Le seul avenir prommetteur pour les jeunes sont de travailler dans les hôpitaux ou sinon les salons funéraires...

De plus, le PQ et le Bloc comptent sur les immigrants pour protéger le français, faire des enfants, aller s'établir en région, pour se faire soigner, pour voter oui au prochain référemdum, etc...

Non à force de cracher sur notre passé catholique et francophone, pas étonnant que la déprime nous gagne...

Jean-François Beauchamp, Laval