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Bertrand Malenfant

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    Bertrand Malenfant1 article

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Il faudrait plus de têtes grises et blanches aux côtés des étudiants et étudiantes

  • Bertrand Malenfant
  • 3 mai 2012
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Commentaires de Bertrand Malenfant

  • Une loi à revoir

    17 juin 2014


    Bonjour M. Boily.
    Je vous remercie pour votre point de vue. Enfin quelqu'un qui ne tape pas sur les syndiqués et syndiquées. Vous avez raison de souligner que les déficits actuariels des caisses de retraite ne sont pas dus aux syndiqués, que tout le monde accuse d'être des profiteurs du système. Premièrement les conventions signées par les villes visaient à acheter la paix, comme ce fut souvent le cas (dans le passé) pour des augmentations de salaires, des bénéfices marginaux, etc. Et deuxièmement, les administrations de Montréal et de Québec ont par la suite obtenu des «congés de cotisations», par une loi spéciale de Québec, reniant dans les faits leur signature. Doublement floués par les deux niveaux de gouvernement, il n'est pas surprenant que ces employés et employées soient en colère, mais en plus on veut leur imposer une loi spéciale qui les prive de leurs droits et qui fait fi des obligations et engagement des administrations municipales. Je crois qu'on n'a encore rien vu: les pompiers ont sonné l'alarme, mais ce n'est pas eux qui ont mis le feu, et ils n'ont pas envie de l'éteindre ...

  • Où va le Bloc?

    16 juin 2014


    S'il en est encore temps, je souhaite prendre la défense de Mario Beaulieu, attaqué de toutes parts (!!) selon certains, et faussement accusé de démagogie par un autre. M. Beaulieu ce me semble, n'a pas livré d'autre message que Monsieur, qui n'a eu de cesse de répéter à qui voulait l'entendre, qu'il fallait parler d'indépendance avant, pendant et après les élections. Point à la ligne. On n'a jamais évoqué son côté 'démagogique', personne n'a jamais douté de sa sincérité: au contraire il a eu la confiance d'une grande majorité.
    Sans refaire toute l'histoire du PQ, c'est grâce à ses militants et militantes si le Bloc a été élu: celui-ci n'était rien entre les campagnes qu'un squelette habité par quelques députés à l'engagment bien timide. Par contre les succès du PQ ont été le fruit du dévouement de ses militants, animés d'un idéal, parce que c'était jadis un parti de militants, ce que les Libéraux n'ont jamais été.
    Malheureusement l'appareil du Bloc ou du PQ a oublié le rôle des militants et militantes, et dans plusieurs circonstances s'est servi de sa grande disponibilité et de son esprit de corps pour rabaisser le caquet de plusieurs qui voulaient faire bouger les choses. Les purs et durs, comme on les a appelés, n'avaient de dure que leur pureté, leur absence de compromis. Mener des combats du bout des lèvres, remettre à plus tard, toujours plus tard, la décision sur notre avenir, comme s'il n'y avait pas urgence, voilà qui peut tuer l'idéal chez plusieurs, et refroidir leur ardeur militante. Ces tactiques ont mené à la désaffection de plusieurs, même pas assez motivés pour aller voter: M. Beaulieu ne veut pas emprunter cette voie, et je le comprends.

  • Du Pastagate au Baingate

    6 juin 2013


    Je ne sais pas si on l'a noté, mais dès après l'incident, soit 30 secondes après qu'on eût identifié l'auteur, les policiers ont insisté pour dire qu'il ne s'agissait pas d'un attentat politique, mais d'un simple meurtre! Ils avaient déjà la réponse toute prête, l'enquête était close: il fallait qu'ils aient su à l'avance ce qui allait se produire. Si vous pouviez revoir l'enregistrement (à moins qu'il ait été trafiqué par la suite), vous verriez de quoi je parle. Vraiment étonnant.

  • Le nationalisme serait dangereux, selon un des fondateurs de QS

    6 mai 2013


    Je voudrais réagir à cette phrase de l'article: "Quand on se prétend un militant indépendantiste, on ne fait pas passer ces orientations politiques avant l’indépendance." J'imagine que le 'ces' aurait dû s'écrire 'ses'... Quant au fond du propos, c'est comme si l'indépendance (la lutte pour... probablement) était au-dessus de tout intérêt de classe. Une façon petite-bourgeoise de se croire au centre de l'échiquier politique. Est-ce à croire que PKP et un assisté-social attendent la même chose de la souveraineté? On sait très bien lequel des deux aurait le plus à gagner dans un Québec souverain dirigé par les Marois, Bouchard ou Landry... Renoncer à ces orientations politiques jusqu'à l'indépendance? Un suicide politique pour l'assisté social!!

  • Le plan Marois est un plan d’«affirmation nationale»

    28 octobre 2011


    La proposition de "gouvernance souverainiste" m'apparaît, à moi aussi, comme une concession au fait qu'il n'est plus réaliste de s'enligner sur un référendum gagnant - donc un projet de souveraineté. Le mot "référendum" auquel plusieurs semblent allergiques, et qui en fait sourire plusieurs autres, n'est qu'une des modalités du processus d'accession à la souveraineté. Y renoncer, parce qu'il est difficile de le gagner (à froid, comme maintenant, alors que rien n'est fait pour nous mener à la souveraineté), c'est aussi y renoncer, c'est renoncer au projet de pays, c'est renoncer à la bataille. Pas étonnant, puisque le PQ, au pouvoir durant 16 ans depuis sa création (1976-1985, puis 1994-2003), n'a pas réalisé l'article 1 de son programme. J'ai déjà dans une entrevue téléphonique avec Mme Marois bien avant qu'elle soit devenue la chef, proposé qu'on s'arrête à cette question pour essayer de comprendre ce qui a manqué... elle n'a pas su répondre. Les textes de M. Cloutier, et de M. Turcotte aujourd'hui, posent des questions tout aussi essentielles, directes, auxquelles les militants devraient pouvoir répondre pour aller sur le terrain convaincre d'autres Québécois de se mobiliser pour la souveraineté. Ceux et celles qui crient à la division du mouvement n'ont qu'un motif: rassembler derrière eux (!!) tous ceux et celles qui ne se posent pas de questions, et qui refusent d'adopter une perspective - RIN, Lévesque, Johnson,etc.

  • Dernier tour de piste

    7 novembre 2008


    Bonjour Mme Ferretti
    Je trouve que votre point de vue sur le rôle du Bloc comme empêcheur de tourner en rond face au Canada est tout à fait juste. Malheureusement j'aurais aimé qu'on exploite ce thème, qui aurait dû être le point de vue du PQ au lendemain du 14 octobre. On a manqué une belle occasion de dire que même pour le Canada, la souveraineté du Québec est la seule solution pour qu'ils se donnent un gouvernement fonctionnel(majoritaire) à leur image. J'avais déjà exprimé ce regret face aux commentaires très faibles du PQ ... et quelle belle transition entre les deux campagnes, et belle façon de faire porter la présente campagne sur la souveraineté. Ratée elle aussi.
    Un ami et admirateur de longue date.
    Bertrand Malenfant

  • Rapport Bouchard /Taylor!

    29 mai 2008


    M. Bergeron
    Si je vous ai bien compris, vous êtes en train de dire : à la prochaine commission. Car la prochaine aura pour mandat de cerner la menace réelle à la langue française et à la nation québécoise. Elle commencera ses audiences en Louisiane, où la culture francophone est définitivement éteinte à l'exception du grand Zachary. On constatera alors que ce n'est pas le chinois, le grec, l'arabe ou l'hébreu qui menacent le français, mais l'anglais. Que les privilèges des anglophones (privilège de ne pas s'être intégrés après 250 ans)ne se comparent à aucun autre groupe linguistique. Que ce groupe impose à la majorité francophone le respect intégral et sans conditions de ses institutions, religieuses, scolaires, etc Les membres des autres groupes finissent par s'intégrer, après deux ou trois générations, et oublient leur langue, leurs coutumes, comme dans tous les autres pays normaux. Sauf la minorité anglaise, qui a imposé la protection de ses privilèges dans la Constitution qui nous régit, elle-même héritée des privilèges imposés par les conquérants au peuple conquis que nous sommes. Ah si on avait formé dès 1867, dès 1792, ou mieux dès 1759 une commission sur les accommodements raisonnables, quelles recommandations on aurait pu formuler! Cibler la disparition du crucifix, le port du turban ou du voile comme des menaces à notre culture, quelle trouvaille pour soulager ceux qui craignent que le Québec ne devienne un pays (normal), où leurs privilèges linguistiques seraient remis en cause !
    Bertrand Malenfant

  • L'honneur de Michaëlle Jean

    29 mai 2008


    Bonjour à tous les détracteurs de VLB
    Aurait-on oublié que le texte de notre grand écrivain, très au fait du sens des mots, tout comme des épisodes de l'histoire universelle auxquels il se réfère, vise à appliquer un concept parfaitement adéquat à la situation. Où étaient donc tous ces grands offusqués, où avaient-ils la tête, quand la petite figurante de la grande reine d'Angleterre est allée dans les Europes les "représenter" ?? Même les Noirs doivent connaître un peu l'histoire du Québec et de Québec... N'ont-ils pas été insultés de voir la pionne royale commémorer l'histoire de Québec au nom de tous les figurants qui l'ont précédée et qui n'ont eu de cesse depuis la conquête de bafouer toute fierté chez notre peuple, pour asseoir le pouvoir de la Couronne britannique ? À coups d'incendies, de pillages, de viols et d'assassinats, pour lesquels ils n'ont jamais présenté d'excuses. Je l'ai été, M. Charest aurait dû l'être, tous ceux que nous appelons Québécois, de souche ou autre, l'ont été. Le fait de remettre poliment à sa place(comme l'a fait VLB) celle qui a ainsi déshonoré notre histoire ne devrait insulter personne. Ce n'est que juste. La Couronne ne s'arrête plus au Québec, seule son double constitutionnel daigne la rappeler à notre souvenir, et sa petitesse n'a de cesse de nous convier à faire en choeur l'éloge du beau et grand pays qui doit tout à ce bienveillant souverain qui n'a même plus besoin de s'imposer par la force. Ses efforts de pacification et de gentillesse, ne visent qu'à démontrer à quel point nous sommes désormais soumis. La couleur de sa peau fait partie de la masquarade, comme son sourire plaqué et ses toilettes. Aurait-elle réussi à faire oublier l'essentiel ?

  • Québec, la destruction d’une nation

    29 mai 2008


    Bonjour M. Perez
    Voilà une brillante analyse du rapport de force entre les ethnies face au rôle polarisant de la minorité anglophone dans le contexte du multiculturalisme, beaucoup moins innocent et généreux qu'il n'y paraît à première vue. Cette analyse oublie cependant que cette polarisation ne saurait à elle seule expliquer les résultats du référendum de 1995, volé comme vous le dites. La plupart des commentateurs oublient un autre facteur, comme dans la région de Québec. Il aurait suffi d'un petit changement dans très peu de comtés à 98% francophones qui ont voté oui à moins de 50%, pour que cela efface la différence entre le 49.5% et le 50.5% du résultat global. Ne croyez-vous pas qu'on doive un jour se tourner vers les chiffres réels du vote francophone (analyse plus pointue de certaines régions)pour expliquer un échec qu'on attribue autrement à des allophones polarisés par des anglophones, dans une analyse un peu courte ? Cela peut en rebuter certains, mais finalement on ne saurait avancer sans tenir compte de la réalité et de tous les chiffres. D'autant plus que même aujourd'hui le Bloc et le PQ affrontent la même difficulté dans lesdits comtés, sans qu'on sache - ou qu'on refuse de voir - pourquoi. D'autres chiffres révèlent aussi que là où les francophones n'étaient que 30% ou 40%, leur vote aurait subi une sorte d'osmose, se réduisant à 10 ou 15% de oui. De telles analyses (chercher des explications)sont à la portée de presque n'importe qui, elles devraient nous fournir des balises dans notre action militante et elles seraient susceptibles de produire des changements positifs dans notre façon de convaincre une majorité d'opter pour la souveraineté.
    Bertrand Malenfant

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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