Les syndicats en appel à la défense du peuple
6 avril 2012
Je veux ajouter mon nom à ce collectif : Daniel Roy, C.A., Pierrefonds.
Au président Valois
Évaluation de la Proposition principale
"Le projet de loi 103 est déposé"
Une révolution est nécessaire
23 mars 2010 à midi
6 avril 2012
Je veux ajouter mon nom à ce collectif : Daniel Roy, C.A., Pierrefonds.
6 avril 2012
Vous aurez une version à jour des données présentées dans l'Action nationale de 2004, avec la parution du livre « Apartheid universitaire » de Louis Préfontaine. Il est possible de commander un exemplaire à l'adresse suivante : http://www.amazon.ca/Apartheid-universitaire-Louis-Pr%C3%A9fontaine/dp/2892393450
J'attends impatiemment mon exemplaire. Ce surfinancement est une injustice et il faudra bien que quelqu'un quelque part fasse quelque chose à un moment donné.
Daniel Roy, C.A.
30 mars 2012
Nos élites et nos gouvernements, quelle lâcheté!
“Et pendant ce temps, le gouvernement regarde dans l’autre direction sous la supervision complice d’un Parti Québécois s’improvisant comme défenseur du français mais ayant renié sa promesse de 1994 d’annuler la loi 86.”
Source: http://ledernierquebecois.com/2012/03/30/citoyens-de-seconde-classe?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+lelectronlibre+%28LouisPrefontaine.com%29
Reprenez le pouvoir. Renforcer de beaucoup la Charte proposée pour la langue française de M. Curzi. Reniez l’autorité d’Ottawa et de sa Cour suprême. Mobilisez-vous contre la hausse des frais de scolarité. Formez des alliances. Mobilisez-vous pour l’indépendance du Québec.
En attendant, voici de la lecture démontrant la lâcheté de nos élites et de nos gouvernements, comme la chef et les députés qui accordent des entrevues en anglais et qui veulent offrir l’immersion anglaise dans nos écoles plutôt que de franciser tous les milieux de travail, peu importe la taille des entreprises et de décréter le français comme étant la seule langue d’affichage. Cela pourra peut-être vous donner un certain sens de l’État.
Claude Hagège: "Imposer sa langue, c'est imposer sa pensée"
http://www.lexpress.fr/culture/livre/claude-hagege-imposer-sa-langue-c-est-imposer-sa-pensee_1098440.html
Daniel Roy, C.A.
29 mars 2012
La charte de M. Curzi ne va pas assez loin. Le français continuerait de reculer. L'ambiguïté quant aux deux langues officielles au Canada persisterait. La loi devrait s'appliquer à toutes les entreprises, incluant celles sans but lucratif, et ce pour toutes les tailles d'entreprises. Elle devrait s'appliquer aussi à l'université. Le financement public des Cégep, université et hôpitaux devrait être réduit afin de refléter la proportion des Anglophones de souche, soit de 3 à 5,6% tout dépendant des sources. L'affichage public devrait être unilingue français et le Québec devrait devenir un pays. Cette charte ferait bien rire M. Camile Laurin.
20 mars 2012
Très bon texte, cependant j'aurais préféré que vous mainteniez votre style polémique, car celui-ci m'endort, tellement il est conciliant. Les Anglophones de souches représentent 3% de la population et non pas 12% de la population. Le surfinancement des universités anglophones n'est pas de 25% mais de 35%. Louis Préfontaine, blogueur émérite, http://ledernierquebecois.wordpress.com/ a chiffré le coût des études offertes aux étrangers à plus de 500 000 $ à l'État québécois. Des étudiants étrangers qui anglicisent Montréal et qui retournent pour la plupart dans leurs pays d'origine ou dans les pays limitrophes anglo-saxons. Il est temps de sabrer les budgets injustes. Il est temps de franciser deux universités anglophones. Il est temps de renforcer la Loi 101 et de l'appliquer de la garderie jusqu'au cimetière. Il est temps de faire du français la véritable langue officielle, nationale et commune. Il est temps de mettre dehors les fédéralistes. Il est temps de secouer nos élites "canadiennisées" à l'os. Il est temps de faire du Québec un pays.
19 mars 2012
J'entends souvent dire M. Dutrizac de boycotter les commerces qui ne nous servent pas en français et je trouve cela insuffisant. Alors, je lui ai envoyé le message suivant:
M. Dutrizac, j'étais à la manifestation organisée par les JPQ devant le dépanneur de Verdun. J'ai aussi écouté l'entrevue avec le représentant des dépanneurs asiatiques. C'est honteux qu'il ne sache pas parler le français. En passant, je crois que votre collaboratrice a joué le jeu des Anglais en accordant l'entrevue en anglais. Je vois que vous commencez à être de moins en moins objectif, et j'en suis ravi. Il ne faut plus se limiter à renseigner la population concernant les injustices, mais il faut aussi s'indigner. Une révolution est nécessaire. Les Québécois doivent se donner un pays pour avoir la fierté et les moyens de parler français. Il ne faut plus se soumettre à une Cour suprême étrangère. Il ne faut plus avoir des politiciens qui se dévouent à deux nations antagonistes. En réalité, le but de mon message est de vous demander de nuancer votre message quand vous nous suggérez de boycotter les commerces qui ne nous servent pas en français. C'est bien de boycotter, mais sachez que je vis dans l'Ouest-de-l'Île et je me fais régulièrement servir en anglais et je m'en offusque. Je me fais souvent dire de retourner en France ou de déménager plus à l'est. Alors là je dis que ce n'est pas à nous à boycotter presque tous les commerces et devoir se déplacer 10 KM pour aller à un dépanneur. Il faut une loi plus forte et il nous faut un pays.
Daniel Roy, C.A.
18 mars 2012
Tout à fait d'accord! Il est temps que les syndicats de professeurs et d'étudiants se politisent et forment des alliances avec les partis politiques contre la hausse de frais de scolarité et même la gratuité. Tous ces partis s'adonnent à être aussi pour que le Québec devienne indépendant. L'élimination d'un gouvernement, celui d'Ottawa, permettra de dégager des sommes pour l'éducation. Je suis tout à fait d'accord avec la grève. J'espère ridiculiser le gouvernement fédéraliste à la Charest ainsi que son successeur potentiel, Legault. Si les étudiants ne gagnent pas, j'espère que la grève contre la hausse des frais de scolarité se transformera en grève générale contre les partis fédéralistes à la solde de la finance et des intérêts Canadians. J'espère sincèrement que le Québec tout entier se réveillera d'ici les prochaines élections. En attendant, l'espoir est permis. Le P.Q. est en avance, et le désir d'un pays s'élève maintenant à 45 %. Je crois encore qu'une alliance entre les partis voulant faire du Québec un pays est nécessaire.
Daniel Roy, C.A.
16 mars 2012
Discours québécophobe dans un dépanneur de Verdun – Le RCI dénonce l’influence du Canada anglais
15 mars 2012, 11:16
Communiqué de presse publié le 15 mars 2012 – Le réseau Cap sur l’indépendance (RCI), qui réunit plus de 25 groupes indépendantistes citoyens, dénonce le phénomène du «Québec bashing» qui sévit au Canada anglais et ses effets néfastes sur la réputation du Québec auprès des nouveaux arrivants.
Dévoilés par Benoît Dutrizac lors de son émission du 8 mars au 98,5 FM, les propos québécophobes tenus par un commis de dépanneur d’origine asiatique à Verdun en ont choqué plus d’un. Lors d’une conversation téléphonique avec une recherchiste qui cherchait seulement à être répondue en français, celui-ci est devenu colérique, qualifiant notamment les Québécois de «bénéficiaires d’aide sociale», de «fumeurs», d’«alcooliques» et de gens qui n’apportent rien à la société, alors que lui est un «Canadian». Samedi dernier, les Jeunes Patriotes du Québec (JPQ), un groupe membre du RCI, ont organisé une manifestation pacifique et sarcastique devant ce commerce.
En début de semaine, la chroniqueuse Lysiane Gagnon et la juriste Cathy Wong ont reproché aux JPQ et à monsieur Dutrizac de s’en être pris aux «immigrants les plus pauvres» qui travaillent dans les dépanneurs. Or, Laurence Beauchemin, co-porte-parole des Jeunes Patriotes du Québec (JPQ) a tenu à répliquer à ces critiques en précisant que la manifestation ne visait aucunement à blâmer les nouveaux arrivants mais plutôt à dénoncer le racisme et les préjugés dénigrants envers les Québécois qui sont régulièrement véhiculés. Les propos du commis de dépanneur ne font selon elle que refléter ces préjugés.
Jean-Philippe Décarie-Mathieu, également porte-parole des JPQ, a renchéri : « L’histoire du Canada est remplie d’exemples où on a tenté de faire passer les canadiens-français pour des bons à rien ou des xénophobes. D’ailleurs, on remarque souvent que les médias comme le National Post ou The Gazette continuent à perpétuer certains des préjugés anti-québécois. Le Canada se dit ouvert et tolérant, mais quand on est francophone, le mépris et les préjugés sont acceptés et encouragés. »
Selon Maxime Laporte, le nouveau coordonnateur du réseau Cap sur l’indépendance, qui appuie les démarches des JPQ, l’épisode du dépanneur de Verdun démontre que l’intégration des immigrants est difficile dans le contexte canadien. «L’assimilation des nouveaux arrivants à l’anglais a forcément un impact sur l’image qu’ils se font de la société québécoise. En devenant consommateurs de médias anglophones, ils construisent en bonne partie leur vision des Québécois en fonction du point de vue canadien-anglais, historiquement hostile à la loi 101 et à la reconnaissance du Québec français.»
Monsieur Laporte a conclu en affirmant : «Il va sans dire, seule l’indépendance permettrait au Peuple québécois de décider librement de toutes ses politiques en matière de langue et d’intégration des immigrants. Cela nous confèrerait par ailleurs un véritable élan de fierté et de dignité, dont nous prive actuellement notre statut de province et de nation annexée au Canada anglais. Il serait alors possible d’inclure tous les citoyens et de former une société québécoise véritablement inclusive et solidaire.»
Maxime Laporte
Source: http://www.capsurlindependance.org/2012/03/15/discours-quebecophobe-dans-un-depanneur-de-verdun-le-rci-denonce-linfluence-du-canada-anglais/
Je dis bravo!
Daniel Roy, C.A.
15 mars 2012
Monsieur Pelletier, oh que vous avez raison!
Voici la séquence des événements dont j’ai été témoin.
La manifestation était prévue pour 1 h 30. J’étais parmi les trois ou quatre premiers manifestants devant le dépanneur vers 1 h 15. Vers 1 h 30 le gros des manifestants était arrivé. La minifourgonnette de la station CTV s’est stationnée de l’autre côté de la rue. Cela s’annonçait bien!
Ensuite, la police s’arrêta devant le dépanneur et nous somma de ne rien coller sur la vitrine et de ne pas déborder dans la rue. Nous acquiescions tout surpris que l’on pût encore se faire servir en français par la police à Verdun (en blaguant).
Plus tard, le gros véhicule de TVA avec sa caméra montée sur fourche télescopique se stationna à une prudente distance, question de jauger le niveau de violence de la manifestation. Un troisième véhicule médiatique arriva. Enfin, le conducteur de la minifourgonnette CTV s’approcha avec une caméra et commença à nous filmer. Il nous dit dans un français impeccable, je suis seul, sans journaliste, mais vous pouvez parler, j’ai un micro. On s’est alors demandé où se trouvaient les représentants des Jeunes Patriotes du Québec. Un manifestant nous dit qu’ils n'étaient pas encore arrivés.
Une journaliste indépendante, je crois, pour un média anglophone, se pointa et commença à nous interviewer en français. Tout d'un coup, un photographe indépendant, je crois, arriva avec sa caméra et demanda en anglais à la journaliste de faire une entrevue en anglais. Je dis alors, il n’est pas question que nous accordions une entrevue en anglais. La langue officielle du Québec est le français. Le photographe m’adressa la parole avec un air menaçant. Il me dit en anglais : «I’m not talking to you! », c.-à-d. Je ne vous parle pas! C’est alors qu’un des manifestants, celui à la belle parure, cheveux en queue de cheval, superbe barbe et portant une veste ancienne, dit au journaliste : « Pour des raisons politiques, nous ne pouvons vous accorder une entrevue en anglais. »
C’est alors que je criai fort à la vingtaine de manifestants présents: « Il ne faut pas accorder d’entrevue en anglais.» J'avoue que je ne suis pas un des dirigeants des Jeunes Patriotes du Québec, mais je suis un membre et je me suis exprimé. Personne n'a riposté.
Là, un passant commença à nous insulter. Il prenait la défense de l’employé du dépanneur qui refusa de servir une cliente en français. C’est alors que le ton de la manifestation commença à monter. Il y eut de vives discussions et la police a même dû intervenir pour tenir ce passant à l’écart.
Quelques minutes après, le journaliste du TVA sortit enfin de son camion et est venu nous filmer et environ au même moment, le porte-parole des JPQ arriva. Nous dirigeâmes le journaliste vers le porte-parole qui accorda une entrevue en français évidemment. Il écouta aussi mon commentaire à titre personnel qui faisant référence à la nécessaire indépendance du Québec. Malheureusement, TVA décida de ne présenter aucune entrevue.
Une heure plus tard, les journalistes commençaient à ne plus avoir rien à faire et se préparaient à partir. Je fis de même en saluant les manifestants et je leur lançai un vive l'indépendance et à la prochaine.
J’imagine que le journaliste de The Gazette arriva peu de temps après mon départ, et c’est alors que le porte-parole des JPQ commit le méfait.
L’anglomanie est présente au Québec depuis belle lurette et elle s’impose dangereusement en 2011. Plusieurs ont dénoncé l’anglomanie: Édouard Montpetit, Richard Arès, Esdras Minville, Burton Ledoux http://books.google.ca/books?id=NapPTdcVgzkC&pg=PA263&lpg=PA263&dq=Anglomanie+%C3%A0+anglicisation&source=bl&ots=zNce-p3YWA&sig=jRUnqZOCvQkveq6M1N_ViQNWlpE&hl=fr&sa=X&ei=JHxiT7uaIoTh0QGj7LySCA&ved=0CCYQ6AEwAQ#v=onepage&q=Anglomanie%20%C3%A0%20anglicisation&f=false et plus récemment, Louis Préfontaine, blogueur formidable, a écrit beaucoup concernant l’anglomanie http://ledernierquebecois.com/category/enjeux-sociaux/integration-des-immigrants-enjeux-sociaux/page/2
Parler anglais au Québec veut dire disparaître un peu plus. Parler anglais avec ses enfants, et c’est très fréquents dans les mariages mixes de l’Ouest-de-l’Île de Montréal, est une honte. Parler anglais avec un commerçant ou un collègue de travail est aussi une honte. Parler à un journaliste anglophone est la même chose. Toute cette anglomanie tuera notre nation à plus ou moins brève échéance.
Daniel Roy, C.A.
13 mars 2012
Cher Jean-Philippe,
Ce qui me fait honte, c’est l’anglicisation du Québec par les francophones. Les clients francophones qui acceptent de se faire servir en français. Les employés qui parlent en anglais au travail. Les élus qui répondent en anglais lors des conférences de presse. Les porte-paroles qui accordent des entrevues en anglais.
Je remarque que mes remarques t’ont blessé. Je suis navré. Mais je refuse d’embarquer dans un échange infantilisant, dans le genre, je suis meilleur que toi, tu es meilleur que moi.
Savais-tu que la plupart des événements sur Facelivre sont maintenant annoncés dans les deux langues? Je m’obstine souvent sur ces pages. Les gens ont la fausse impression qu’il faut s’adresser en anglais pour inclure les immigrants. Quelle grossière erreur!
Cela ne me surprendrait pas que les JPQ annoncent bientôt leurs événements dans les deux langues.
Tu dis que tu as plusieurs partisans. Ce n’est pas ce que je remarque ici. Tu sais qu’avoir plusieurs partisans ne justifie pas toujours ce qui est mal. La preuve, le maire d’Huntingdon, M. Gendron a plus de 4 000 amis sur Facelivre.
Enfin, j’espère que mon intervention aura au moins un impact sur les autres porte-paroles.
12 mars 2012
Cher Jean-Philippe Décarie-Mathieu,
Si un journal étranger, je dis bien étranger, t'avais posé des questions pour ensuite faire paraître la nouvelle dans leur journal, je n'y verrais aucun problème. D'ailleurs, la nouvelle est effectivement passée dans un journal quelconque de l'Amérique du Sud. Il y avait même une photo satellite du dépanneur dans l'article.
Ainsi cela serait correct de parler en portugais avec un journaliste du Brésil, en anglais avec une journaliste des États-Unis ou en italien à un journaliste de l'Italie, mais c'est angliciser le Québec et c'est honteux de parler à un journaliste du Québec dans une autre langue que la langue nationale. C'est la même chose avec un journaliste de Toronto, car le français est une des deux langues officielles au Canada hors Québec.
Tu parles de faire passer un message sans ambiguïté, et bien, malgré ton anglais excellent, tu fais tout de même des erreurs, et ainsi, ton message est ambigu. Prononce tes discours dans notre langue, ne nous fait pas honte et laisse les traducteurs professionnels des journaux anglophones du Québec faire le travail, s’ils le veulent.
Si j'étais un anglais et que j'avais écouté ton discours, je dirais, mais il parle tellement bien l'anglais (car oui ton anglais est pas mal bon) que fait-il avec ces énergumènes? Il parle tellement bien l'anglais, que je ne verrais pas pourquoi je me forcerais à parler le français au Québec.
S’adresser en anglais à la presse, anglicise tellement le Québec, que cela met de la pression inutilement sur nos élus pour qu’ils s’adressent à la population dans les deux langues. Cela force Madame Marois à se faire rire d’elle, ainsi que l’ancienne péquiste qui voulait être maire de Montréal. Tu parles bien l’anglais, mais n’impose pas un standard au Québec pour que les allocutions se fassent dans les deux langues, car encore une fois tu nous fais honte et tu empêches certain Québécois de faire carrière en politique au Québec. En d’autre mot, tu forces le Québec à être bilingue.
Daniel Roy, C.A.
2 mars 2012
Très beau message monsieur Parizeau. En espérant qu'il portera des fruits. Je répète depuis plusieurs années que les étudiants doivent voir plus grand. Ils doivent étendre leurs luttes au niveau de la question nationale. Cela prend une large coalition des forces vives pour empêcher la réélection des Libéraux et l'élection des Caquistes et bien sûr pour faire l'indépendance du Québec et rapatrier les fonds et les décisions.
Daniel Roy, C.A.
Personne ne suit Daniel Roy C.A.. Soyez le premier!