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François A. Lachapelle

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    François A. Lachapelle154 articles

    • 181 838







Hydro Québec et ÉNERGIE NB

Braderie de l’électricité du QUÉBEC à 3 c/kWh

  • François A. Lachapelle
  • 6 mars 2010
  • 1291 visites
  • 5 commentaires

Hydro-Québec peut-elle jouer au bon samaritain envers la dette du Nouveau-Brunswick

  • François A. Lachapelle
  • 28 février 2010
  • 647 visites
  • 2 commentaires

Avec Énergie NB: pertes de 130 million de $ par année pour Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 18 février 2010
  • 527 visites
  • 2 commentaires

L'achat d'actifs d'énergie NB par Hydro-Québec: est-ce pertinent?

  • François A. Lachapelle
  • 14 février 2010
  • 395 visites
  • 2 commentaires

Privatiser Hydro-Québec? Le pactole!

  • François A. Lachapelle
  • 5 février 2010
  • 936 visites
  • 3 commentaires

Énergie NB et Jean CHAREST: duperie pour le Québec!

  • François A. Lachapelle
  • 2 février 2010
  • 365 visites
  • 1 commentaire

Et le doute persiste !

20 janvier 2010: 2e entente entre Énergie NB et Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 22 janvier 2010
  • 295 visites
  • 2 commentaires

Achat de Énergie NB par Hydro-Québec!?!

L'empressement de Jean Charest est-il de bon augure?

  • François A. Lachapelle
  • 16 décembre 2009
  • 430 visites
  • 3 commentaires

Réponse à Me Jean ALLAIRE

Vers une "démission" nationale

  • François A. Lachapelle
  • 15 octobre 2009
  • Signer la constitution de 1982 - la subordination dans l'effondrement national
  • 1 commentaire

Le nombril du Québec

  • François A. Lachapelle
  • 28 août 2009
  • 374 visites
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Commentaires de François A. Lachapelle

  • Français : Mener les bons combats

    4 février 2013


    Félicitations Monsieur Le Gal de revenir sur le texte de Jean-François Lisée qu'il a envoyé aux Journaux durant son voyage en Inde.

    J'ai écrit à M. Lisée, mon député, et copie à notre Première ministre pour déplorer le faible raisonnement de M. Lisée, la mauvaise lecture qu'il fait de l'érosion du français à Montréal. Et les moyens d'intervention et les solutions qu'il propose à ce problème majeur sont d'une légèreté inadmissible.

    J'ai même demandé à M. Lisée de présenter des excuses publiques à l'endroit du travail bien fait par la STM.

    Cette bourde de M. Lisée ne doit pas rester lettre morte. L'érosion du français à Montréal, langue et culture québécoises, est un problème majeur qui nécessite un travail en profondeur, bien fait. Ce dossier mériterait un sommet comme le fait le Ministre Pierre Duchesne avec les frais de scolarité post-cescondaires.

    Un autre point, le sujet gauchement abordé par M. Lisée devrait être repris par la Min. De Courcy, qui je crois est responsable de l'application de la Charte de la langue française partout au Québec. J'ai d'ailleurs écrit à Madame De Courcy en ce sens.

    Il serait intéressant de retrouver le discours du Dr Camille LAURIN fait le 2 mai 1977 devant le Canadian Club de Montréal. J'intuitionne que le message du Dr. Laurin a toujours son actualité et pourrait servir de guide à tous les Montréalais préoccupés par ce dossier. Je crois que Monsieur Lisée pourrait facilement s'enliser et nous avec lui.

  • Québec-Terre-Neuve : Ne plus rester assis sur nos mains

    3 février 2013


    @ Marcel Haché et autres Québécois impatients.

    Monsieur Haché pose la question: qu’est-ce qui empêche un gouvernement souverainiste, s’il n’est pas chouverainiste, de s’engager sur la voie politique concernant le Labrador ?

    Je pointe deux éléments d'information au sujet du Labrador.

    1. Qu'est-ce que le Labrador ? J'ai devant moi une carte de 1774 montrant les différentes entités politiques et administratives mises en place par le conquérant anglais. La Province of Québec, en plus d'inclure le bassin des grands lacs et la Gaspésie, s'étend à l'est jusqu'à la Mer du Labrador et inclut la pointe est de la Baie d'Ungava. Pourtant, le Dominion of Newfoundland existe mais n'inclut pas à ce moment le Labrador.

    Il existe une autre expression: la péninsule du Labrador qui semble inclure une partie de la Côte Nord. Je me risque à décrire partiellement les bornes de la péninsule du Labrador. Limitée au sud par le Golfe Saint-Laurent, à l'est par la Mer du Labrador, au nord, partie par la Baie d'Ungava et d'autres parties par la Terre de Rupert. La limite ouest est la Terre de Rupert.

    Dit autrement, il faut être capable de penser le Labrador différemment de l'hypothétique frontière contenue dans l'Avis de 1927 du Conseil Privé de Londres. Selon les historiens Lacoursière, Provencher et Vaugeois, c'est l'attribution de l'Ungava au Québec qui a provoqué la question de la frontière entre le Québec et Terre-Neuve. On peut donc dire qu'il existe un Labrador qui serait québécois et un Labrador qui serait terre-neuvien après la décision de 1927.

    2. Le 2e point d'information concerne la composition du banc des 5 Juges-Lords qui ont approuvé la décision d'arbitrage de 1927 au sujet de la frontière du Labrador, entre le Québec, partie à ce moment du Dominion du Canada, frontière avec son voisin à l'est. le Dominion of Newfoundland. Selon les mêmes historiens cités ci-haut, deux des cinq Juges-Lords étaient en conflit d'intérêt.

    Cette information est la suivante: «... le trésor britannique a prêté 15 millions de dollars à une société chargée de construire une usine de pâtes et papier dans le Labrador. Comme l'entreprise est acculée à la faillite, le gouvernement anglais s'en remet au Conseil privé. Il se trouve que deux des 5 lords-juges sont requérants dans cette faillite. Ils octroient donc le Labrador à Terre-Neuve...»

    Cette information est-elle suffisante pour déclarer nulle la recommandation de 1927 du Conseil Privé de Londres et de reprendre cette cause devant un tribunal international ?

  • Québec- Terre-Neuve : Le contrat maudit (1)

    31 janvier 2013


    À Marcel Haché. Je vous remercie pour votre appréciation.

    Votre sous-titre est probablement plus important que votre titre, je cite: questions pour sortir le Québec d'un isolement politique. Vous auriez avantage à bien diagnostiquer l'isolement politique du Québec que vous dénoncez. Contrairement à votre approche qui est englobante, devant un problème complexe, je cherche à distinguer, à décomposer le problème en plus petits ensembles.

    Et prioritairement, je cherche à définir les éléments qui composent le tout. Malheureusement, par votre approche, vous embrassez tellement large: le bon voisinage entre Québec et Terre-Neuve, la frontière établie sur recommandation du Conseil privé de Londres en 1927, qu'a fait le Québec en 1949 lors de l'entrée de Terre-Neuve dans la Confédération, les misérables astuces contenus dans un contrat commercial signé le 12 mai 1969 et j'en passe. Dans le contentieux de frontière entre Québec et Terre-Neuve, je me permets d'ajouter à votre liste le puissant litige autour du gisement pétrolier Old Harry dans le golfe Saint-Laurent. Selon le vigilien Claude DION, le gisement serait complètement situé au Québec. Alors, pourquoi Terre-Neuve s'autoriserait d'émettre des permis d'exploration (affirmation non vérifiée par le soussigné) pour ce gisement qui serait entièrement situé au Québec? Que fait actuellement le gouvernement du Québec pour clarifier publiquement ce dossier ?

    Vu sous l'angle des rapports "politiques" entre le Québec et Terre-Neuve, vous écrivez: "... à se ménager expressément l'amitié, à tout le moins le bon voisinage avec Terre-Neuve...". Vous connaissez le proverbe: on peut mener le cheval à l'abreuvoir, mais on ne peut l'obliger à boire".

    En défonçant une porte ouverte, l'aspiration du Québec à l'indépendance suscitera toujours une hostilité "politique" de la part de nos voisins "canadians" que vous appelez un "isolement politique". Il faut vivre avec cette réalité toute naturelle. Notre désir de bon voisinage peut se manifester, mais pas au détriment de notre estime et respect de soi. Notre désir d'accéder au Pays du Québec ne se fait pas sans des affirmations douloureuses pour ceux qui veulent garder le Québec comme "Province of Quebec".

    Pour ce qui est de l'opinion des terre-neuviens envers le contrat du 12 mai 1969, plusieurs PM de Terre-Neuve ont cassé du sucre sur le dos des Québécois en déformant la vérité, pour des fins électoralistes. Cela n'a rien à voir avec le fait que Terre-Neuve est maintenant une province riche avec les redevances du pétroles en mer. Comme dirait l'autre, il faut en revenir.

    En passant, vous parlez des misérables astuces cachés dans le contrat du 12 mai 1969, comme étant une vengeance pour les frontières de 1927. Deux choses que j'apprécierais que vous nous écriviez: a) de quels astuces vous parlez ? et b) quels liens faites-vous entre ces astuces et une vengeance découlant de la décision de 1927 ?

    Je vous remercie de votre attention.

  • 12 mai 1969, Hydro-Québec achète l’électricité de Churchill Falls, T-N

    26 janvier 2013


    Les commentaires des vigiliens concernant le contrat du 12 mai 1969 pour l'achat de la presque totalité de la production de l'hydroélectricité de la centrale Churchill Falls ouvrent plusieurs horizons.

    Il est sûrement inhabituel pour le commun des mortels de se pencher en 2013 sur un contrat d'une durée de 65 ans, partagé en deux tranches: 40 ans de 1976 à 2016 plus un 25 ans de 2016 à 2041.

    Je reviens au témoignage de Joseph BOURBEAU, ancien président du CA d'H.-Q. qui a été témoin des événements conduisants à la signature du 12 mai 1969. Sans les trois avantages d'H.-Q. ( 1. avantage géographique 2. avantage financier, et 3. avantage technique), la centrale de CF n'aurait jamais été construite.

    Même le projet du Bas-Churchill d'environ 3000 mégawatts avec les deux centrales de Muskrat Falls (800 MW) et de Gull Island (2200 MW) à construire pose les mêmes défis de financement et de rentabilité aujourd'hui qu'il y a 40 ans. Techniquement, tout ce projet est réalisable, incluant les traversées marines de 15 km du détroit de Belle-Isle et le 150 km du détroit de Cabot.

    Mais quel sera le prix de détail demandé aux consommateurs de Terre-Neuve, de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick pour consommer l'hydroélectricité du Labrador ? Quels rôles joueront le prix du baril de pétrole à 150 $ et le prix du droit de produire la tonne de carbone sur la future bourse du carbone ?

    Un vigilien pose la question: " Est-il moral ou immoral que Hydro-Québec puisse extensionner le contrat de Churchill Falls pour une période additionnelle de 25 ans, sans qu’elle ait à en demander la permission à Terre-Neuve..." C'est bien mal comprendre la réalité contractuelle d'une tacite reconduction. La tacite reconduction dans le cas présent est morale et légitime parce qu'elle a été convenue librement entre des parties jouissant de toutes les qualités et de tous les conseils juridiques s'y appliquant.

    Si la question de la moralité est soulevée, c'est que quelqu'un est d'avis qu'il faille remédier à une faute causant préjudice à autre que soit. Comment apprécier la faute qui peut s'énoncer comme suit: le prix payé de 1/5 de cent le kWh est injuste. Injuste en vertu de quels critères ?

    Même si Hydro-Québec ne détient que 34 % des titres de propriété de la centrale de CF, je crois qu'on peut considérer le différentiel entre le prix payé et un prix plus élevé équivaut à des bénéfices découlant de tous les risques auxquels Hydro-Québec a consenti par contrat et desquels risques elle s'est acquittée.

    Plus est: si la compagnie propriétaire du barrage devenait déficitaire, ce déficit reviendrait sur les épaules d'H.-Q. dans une proportion de 34%. Et si la partie détenant le 66% était incapable de supporter sa part du déficit, l'actionnaire minoritaire devrait être autorisé de racheter les 66% du partenaire financièrement incapable, à moins que l'opération n'en vaille pas l'investissement pour H.-Q.. Dans ce cas, cette centrale cesserait de produire et deviendrait un fantôme dans le fond du Labrador. Qui s'en soucierait ?

  • Gaspé protège son eau potable contre Pétrolia, pollueur potentiel.

    17 janvier 2013


    Voici quelques références pour continuer le dialogue avec des vigiliens.

    Pour GV, il est facile d'étayer le dossier de nouveau règlement municipal de la Ville de Gaspé en allant sur le site de la ville de Gaspé. Lorsque j'ai écrit mon texte, le site de la ville était hors service, ce qui n'est plus le cas. J'ai pu lire le nouveau règlement qui apporte des limitations raisonnable aux immenses droits accordés au claims miniers, consultation faite hier. Le site réfère aussi à une page facebook.

    Pour Francis Déry au sujet de la croix plantée par Cartier à Gaspé. Puisque je n'étais pas là du temps de Cartier, j'accueille votre point de vue. Ma référence au sujet de la croix est tirée du livre intitulé Noms et lieux du Québec, Dictionnaire illustré, Les Publications du Québec au mot Gaspé. Qu'il y ait eu du baratin raconté par Cartier aux autochtones cela n'est pas exclu.

  • Old Harry et Mme Marois ; un mariage fait pour durer.

    10 décembre 2012


    Monsieur Dion,
    1. Merci pour nous fournir autant d'informations sur le gisement pétrolier Old Harry situé dans le Golfe Saint-Laurent.

    2. Votre conclusion est à prendre au sérieux, je cite: « Ma conclusion : il y a urgence d’agir ; Mme Marois doit dénoncer la situation publiquement . L’entente signée entre le Québec et le Canada est claire (entente Normandeau-Paradis) »

    3. De manière impérieuse, Mme Marois doit intervenir publiquement et informer les Québécois de cette réalité: dénoncer l'interférence de Terre-Neuve en tout premier lieu et faire respecter nos frontières.

    Les Québécois doivent sensibiliser leur député respectif sur ce litige.

  • Développement du Bas-Churchill : Garantie de prêt du Fédéral

    7 décembre 2012


    Chers lecteurs de vigile,
    1. mon opinion concernant l'absence de "concurrence déloyale" de la part de la future hydro-électricité du Bas-Churchill subventionnée par une aide du Fédéral est principalement basée sur l'absence de vrais chiffres pour mesurer cette future "concurrence déloyale". Incapable de mesurer en dollars d'aujourd'hui des dommages futurs, même lointains, ne perdons pas notre salive et notre matière grise sur 'rien ou presque". Il y a tant à faire maintenant en éducation, en santé, en sécurité pour nos enfants et nos familles.

    2. D'ici 10 à 20 ans, les conditions des marchés de l'électricité au Québec et dans l'est du continent de l'Amérique du Nord seront méconnaissables. Pensons juste au niveau des transports électrifiés et des économies d'énergie "s'y on s'y mettait, les fameux néga-watts, l'éclairage aux diodes électro-luminescentes (DEL) et autres découvertes prochaines.

    3. Quant au volet politico-juridique canadien, les subventions du Fédéral avec son pouvoir de dépenser font en sorte que ce pouvoir central peut faire ce qu'il veut, quand il veut. Cela ne nous empêche pas de dénoncer les ingérences du fédéral dans des champs de compétence provinciale.

    4. Surtout, le fait qu'H.-Q. n'ait jamais attendu les subsides du Fédéral pour financer ses projets est objet de fierté pour moi et je souhaite que cela continue à l'avenir sans les subsides d'Ottawa.

  • Contrat de mai 1969 d'achat d'électricité de la centrale Churchill Falls

    4 décembre 2012


    Je remercie les vigiliens pour le dialogue à la suite de mon texte. Des précisions précieuses apportées pour l'un complètent le portrait des événements qui ont suivi la signature du contrat le 12 mai 1969.

    Je désire tenter un début de réponse à la question de Monsieur Pomerleau qui met en concurrence, si on me prête l'expression, le projet de Churchill Falls avec celui de la Baie James.

    Je crois qu'il y a plusieurs facteurs dynamiques, en plus de la structure des coûts, qui caractérisent chaque projet qui expliquent que les deux projets ont été réalisés même si Churchill Falls a devancé le projet de la Baie James.

    Pour illustrer ces facteurs dynamiques, un chassé-croisé d'intérêts, je m'inspire d'extraits du livre intitulé QUÉBEC UN SIÈCLE D'ÉLECTRICITÉ aux Éditions Libre expression 1979 par les auteurs Clarence HOGUE, André Bolduc et Daniel Larouche.

    Premier extrait re le développement hydroélectrique de la Baie James, page 309: «L'aménagement des rivières de la Baie James dont on souhaitait faire le «projet du siècle» connaît des débuts orageux: manoeuvres politiques pour écarter Hydro-Québec du projet, éclatement de conflits syndicaux, longues négociations avec les autochtones de la Baie James, impacts du projet sur l'environnement, escalade des coûts, tout est prétexte à la remise en cause du complexe La Grande.»

    Le 2e extrait est tiré de la page 322 dudit livre et porte sur le projet de Churchill Falls: « Ainsi, au moment où l'activité débute à la Baie James, les travaux se poursuivent sans interruption à Churchill Falls.... Les facteurs de succès de Churchill Falls sont nombreux: le site est idéal, la planification a été soignée, le taux d'inflation est alors relativement bas et prévisible, les taux d'intérêts sont stables et, surtout, le régime de travail donne peu de prise à l'éclatement de conflits et à des retards coûteux.»

    Ainsi, des chantiers différents évoluent dans des contextes très variés ce qui peut avantager l'un par rapport à l'autre dans son exécution.

  • Après Daniel Breton, Pauline Marois elle-même ?

    2 décembre 2012


    Bonsoir Richard Le Hir,

    Quel texte, quelle démonstration probante de la hargne fédéraliste envers l'idée de la souveraineté du Québec. C'est comme une démence qui contamine tout le corps pro-fédéraliste. Je crois que c'est Charles Guité, haut fonctionnaire au Conseil privé près de Jean Chrétien, qui avait dit que les fédéralistes étaient en guerre contre l'idée de l'indépendance du Québec.

    Le fair play à l'anglaise au Canada est tout sauf "franc".

    Espérons que toutes les erreurs de jeunesse de Daneil Breton seront pardonnées par les électeurs de son comté lors de sa réélection au prochain scrutin.

    Dans le cas des risques courus par notre Première ministre Pauline Marois, à l'exemple de l'attentat armé perpétré contre elle le 4 septembre au soir, tout peut lui arriver: accident de voiture, polonium, prise d'otages familiales, etc.

    J'espère que les membres du caucus et ceux plus rapprochés du Conseil des ministres sont conscients de cette situation. Comment alors remplir leurs fonctions d'État dans une telle atmosphère minée ?

  • Pour manifester votre indignation à la Légion canadienne

    7 novembre 2012


    Voici le commentaire que je viens de poster par courriel à la Légion royale canadienne:
    « À qui de droit, 1. Je trouve dommage la réaction épidermique de certains porte-parole de la Légion royale canadienne concernant l'affichage d'une fleur de lys au centre du coquelicot par notre Première ministre Pauline Marois. 2. À titre d'ancien officier-cadet (TD 53516), il faut reconnaître que la majorité des soldats volontaires sont attirés par l'aventure aux frais des contribuables. 3. On ne parlera pas des soldats enrolés par obligation de la loi: vive la liberté. 4. De plus, vous le savez autant que moi, le courage des soldats québécois a été proverbial sur les champs de bataille d'Europe au siècle dernier. Le Canada sans le Québec, autrefois comme maintenant, est un pays surréaliste . Le Canada sans le Québec est un appendice des États-Unis. 5. À l'avenir, laissons la Première ministre Pauline Marois arborer le coquelicot avec une fleur de lys en son centre en mémoire des soldats du Québec »

  • GND: un procès politique basé sur la propagande du PLQ ! Destitution du juge !

    2 novembre 2012


    J'intitule mon commentaire: Le demandeur Jean-François Morasse aurait dû profiter de la grève étudiante pour aller à l' "école de la vie".

    Une loi inique, la loi 12, ancien projet de loi 78, ne peut qu'engendrer des jugements surréalistes. Effectivement que le jugement condamnant Gabriel Nadeau-Dubois à un outrage au tribunal démontre à plus soif que la Justice rendue peut-être injuste mais légale.

    Comme vous le soulignez, l'arrivée de Pauline Marois et du PQ au pouvoir avec des engagements annulant la loi 12 et annulant les hausses des droits de scolarité, a ramené la paix sociale chez les associations étudiantes et dans la société québécoise qui est partie prenante à ses étudiants.

    Sous la gouverne du précédent PM, John James Charest, tout a été fait pour provoquer le conflit étudiant, pour légaliser les concours de matraque des policiers sur nos jeunes avec la loi 12. Charest ne voulait pas dialoguer avec nos jeunes étudiants, il en était incapable par dogmatisme néo-libéral. On ne dialogue pas avec de jeunes contestataires: on frappe. Et dire que la Ministre Courchesne a versé dans le mélodrame en rappelant que John James Charest était le père de trois enfants.

    Revenons au demandeur, l'étudiant Jean-François Morasse en arts plastique à l'Université Laval qui voulait absolument suivre ses cours. Quels dommages aurait-il subi s'il avait accepté les conséquences de la grève ? Le Juge les a estimé à des dommages "irréparables". Cela n'a pas été démontré sauf erreur. Si Monsieur Morasse subissait de réels dommages par la perte temporaire de ses cours, il n'avait qu'à inscrire une cause en dommages et intérêts contre l'Université. Nous croyons que ces dommages de nature temporaire pouvaient être remplacés par le demandeur lui-même en s'occupant, durant la grève, à du travail à temps partiel même possible dans sa discipline d'arts plastique ou par du travail bénévole dans des institutions où il aurait eu avantage à mettre en pratique ses talents. Le Juge aurait pu disposer facilement de cette cause par un non lieu en invitant le demandeur d'exercer son initiative, son système "D" pour débrouillardise. On appelle cela l'école de la vie".

    Les cours que Monsieur Morasse a pu suivre en vertu de l'injonction interlocutoire du Juge Émond, dans un contexte de conflit étudiant, sont-ils de qualité égale aux cours dispensés en contexte normal ? Le diplôme à recevoir ou reçu par Monsieur Morasse est-il si important ou de valeur au point que cela justifiait ses démarches judiciaires conduisant au Jugement condamnant le défendeur, Gabriel Nadeau-Dubois ?

    Il semble y avoir une disproportion évidente entre la cause (MARASSE) et l'effet (condamnation de défendeur) que le Juge aurait dû apprécier avant de condamner. Ce Jugement est une instrumentalisation politique réussie par un PM maintenant absent et battu, mais encore trop présent par ses squelettes laissés dans les placards.

    Une dernière question: le demandeur a-t-il été instrumentalisé directement ou indirectement par la dimension politique du conflit, même d'avoir accepté de l'argent du Parti libéral du Québec dans cette cause ? Exemple: le demandeur est-il membre du PLQ ?

    Puisque Gabriel Nadeau-Dubois porte le Jugement en appel, espérons que les Juges qui disposeront de cet appel auront assez de sens pratique pour voir le verre dans la pomme avant de mordre à belle dent dans les procédurites judiciaires. La justice de Québec saura-t-elle s'élever au-dessus d'une culture d'extrême droite incarnée par une vision néo-libérale ? À suivre.

  • La souveraineté du Québec : Utopie ou Instrumentalisation intellectuelle ? - 2 -

    6 octobre 2012


    Cher algérien de naissance,

    C'est ainsi que je vous comprends. Votre référence culturelle et nationale est primordialement algérienne et contient de grandes valeurs qui vont dans le sens de la primauté que les algériens ont accordé à leur accession à l'indépendance politique.

    Malgré votre entrée en matière poussive par le dialogue entre Gilles et Mélanie, vous faites ressortir la valse hésitation envers le projet de souveraineté du Québec chez les québécois de souche. Cette valse hésitation est réelle. Cependant, je ne suis pas certain que vous saisissez les méandres historiques qui expliquent cette "grande danse" dont la musique est "fédéraliste".

    Je m'arrête uniquement à deux faits qui contiennent des subterfuges de nature "impérialiste britannique", le fameux "fair-play" britannique. Ce fair play est à sens unique dans le fond. Les britanniques et les canadiens-anglais sont fair play tant qu'ils gagnent. Quand ils perdent, ils mettent deux gardiens dans leur but, mettent 6-7 joueurs sur la patinoire. Oui-oui, je vous entends dire: pourquoi les laissez-vous faire ? autre sujet.

    Je reviens au point du "fair play" à l'anglaise qui se transforme en injustice pour le petit. J'ai trois exemples.

    No uno: savez-vous que l'entrée de Terre-Neuve (ancienne colonie anglaise jusqu'en 1948) dans le Canada est probablement le résultat d'un subterfuge en inversant les résultats du 2e tour de leur référendum tenu en juillet 1948 alors que c'était l'option de l'indépendance qui avait obtenu 52% et non ce qui a été révélé au public ?

    No duo: le rapatriement de la Constitution en 1982 sans le consentement du Québec: pourquoi les provinces anglaise du Canada ont acceptée ce rapatriement sans le consentement du Québec ?

    No tres: le 2e référendum du 30 octobre 1995 n'a pas été perdu, il a été volé par des subterfuges des fédéralistes. Toujours au nom du fair play britannique.

    En Algérie, les algériens ont pris les armes. Ici, au Québec nous n'avons pas eu le "courage" de prendre les armes.

    Puisque vous vivez au Québec, vous comprenez sans doute pourquoi nous n'avons pas pris les armes. En tant que souverainiste, j'aspire à fondé le Pays du Québec par des moyens pacifiques. Vous auriez peut-être avantage à lire le livre de Jane JACOBS, La Question du séparatisme, qui vient d'être publié chez VLB, traduit de l'anglais. J'aimerais lire votre commentaire après une lecture attentive de ce livre.

    Le Général de Gaule avait raison de nous réveiller en disant le 24 juillet 1967: Vive le Québec libre ! Cela est possible par des moyens pacifiques comme l'ont réalisé les habitants de la Tchéquie et de la Slovaquie.

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

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