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François A. Lachapelle

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    François A. Lachapelle154 articles

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Hydro Québec et ÉNERGIE NB

Braderie de l’électricité du QUÉBEC à 3 c/kWh

  • François A. Lachapelle
  • 6 mars 2010
  • 1291 visites
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Hydro-Québec peut-elle jouer au bon samaritain envers la dette du Nouveau-Brunswick

  • François A. Lachapelle
  • 28 février 2010
  • 647 visites
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Avec Énergie NB: pertes de 130 million de $ par année pour Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 18 février 2010
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L'achat d'actifs d'énergie NB par Hydro-Québec: est-ce pertinent?

  • François A. Lachapelle
  • 14 février 2010
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  • 2 commentaires

Privatiser Hydro-Québec? Le pactole!

  • François A. Lachapelle
  • 5 février 2010
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Énergie NB et Jean CHAREST: duperie pour le Québec!

  • François A. Lachapelle
  • 2 février 2010
  • 365 visites
  • 1 commentaire

Et le doute persiste !

20 janvier 2010: 2e entente entre Énergie NB et Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 22 janvier 2010
  • 295 visites
  • 2 commentaires

Achat de Énergie NB par Hydro-Québec!?!

L'empressement de Jean Charest est-il de bon augure?

  • François A. Lachapelle
  • 16 décembre 2009
  • 430 visites
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Réponse à Me Jean ALLAIRE

Vers une "démission" nationale

  • François A. Lachapelle
  • 15 octobre 2009
  • Signer la constitution de 1982 - la subordination dans l'effondrement national
  • 1 commentaire

Le nombril du Québec

  • François A. Lachapelle
  • 28 août 2009
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Commentaires de François A. Lachapelle

  • Renommer les Québécois...Canadiens-français

    28 décembre 2010


    «O Laurentie, mon pays, mes amours!»
    Quel beau projet de nommer mon nouveau pays auquel j'ai travaillé et lequel j'ai espéré, nouvelle naissance sortie de mes douleurs et de mes attentes, de mes erreurs et de mes espoirs, en toute liberté et amour.
    Je crie ton nom "p a y s" sans comprendre le coeur de pierre de John James qui est mon PM sur le siège de Québec en notre Assemblée Nationale.
    Comprendra-t-il de partir maintenant ou sera-t-il défenestré? Je hais la violence qu'il nourrit par son arrogance perpétuelle.
    Comment le peuple a-t-il pu errer en ce 8 décembre 2008? Ah oui, c'est vrai, nous avons trompé le peuple "crédule-de-bonne-foi" en cachant la perte insouciante de 40 milliards de grains de sable nommés dollars, bien engrangés dans notre Caisse de dépôt à tout le monde.

    Un jour, nous aurons dans les mains le dollar québécois, $ QC pour mieux gérer nos économies et notre économie.

    Oui pays de la République de Laurentie avec un nouveau drapeau où j'y vois tout le territoire du Québec, incluant le Labrador québécois.
    Et les autochtones qui sont nés comme moi en 1943 et tous les autres nés chaque année de notre siècle et du siècle dernier n'étaient pas là avant moi. Moi aussi, j'ai des ancêtres. Mais par solidarité humaine, j'en ai plein les bras de vivre le moment présent.

    Nous avons tous besoin des uns, des autres et c'est pour cela que le salaire minimum devrait être augmenté substantiellement de 1$ par semestre jusqu'à ce qu'il génère un salaire annuel décent. De toute évidence, ce salaire revient immédiatement dans l'économie locale pour plus de prospérité et plus de partage.

  • Gaz de Shell

    17 décembre 2010


    Voici une belle occasion pour le gouvernement Charest de démontrer sa détermination pour protéger des emplois (ceux de la raffinerie de Shell à Montréal-Est) existants et pour porter bien haut le message que nous, québécois, pouvons transformer nous-mêmes nos richesses naturelles, mais pas au détriment de l'environnement et des économies d'énergie.

    Comment un gouvernement responsable ne peut-il pas surseoir à son projet de grossir les lettres des panneaux routiers et d'affecter ces centaines de millions à la nationalisation de la raffinerie Shell de Montréal-Est?

    Shell au Nigeria, Shell au Québec, c'est la même compagnie qui serait fière de se voir imposer par un état démocratique et propre, le Québec, une façon de faire sans perdre elle-même la face. En citoyen corporatif responsable et collaborateur, Shell pourrait même faciliter la nationalisation par une transaction de gré-à-gré. Et surtout, que la raffinerie Ultramar de St-Romuald ne se sente pas lésée par le sauvetage de la raffinerie de Montréal-Est.

    Merci Michel Tétrault d'éclairer notre lanterne dans l'ombre de Shell.

  • De la stigmatisation à la diffamation

    16 décembre 2010


    Bonjour Claude Morin,
    1. Stigmatisé du qualificatif de traître n'est pas confortable pour une personne publique comme vous. Vous me battez d'une année pour notre allégeance à la cause de la souveraineté du Québec et membre du PQ.
    2. Il y a bien longtemps que j'essaie de comprendre "l'affaire Morin" dans une démarche sans prétention. Sachant que vous êtes né en 1926 et connaissant vos états de service en faveur de l'accession du Québec au statut de pays souverain, je suis respectueux de votre précieuse contribution.
    3. Permettez que je touche à un point d'histoire, celui appelé "la nuit des longs couteaux" en ce 4 novembre 1981 un mercredi, sur les bords de la rivière Ottawa. Je crois que vous étiez présent aux côtés de René Lévesque.
    Ma question est la suivante: l'équipe de conseillers séniors dont vous, sauf erreur, aurait-elle pu sentir venir la désaffection des 6 provinces anglaises laissant seul le Québec devant le pouvoir fédéral en veillant au grain durant toute la nuit fatale?
    Cet épisode des relations Québec-Canada est empreint de naïveté comme dans le dossier plus récent de la place du Québec à l'UNESCO. Que le peuple soit naïf, soit. Mais pas des politiciens de haut rang?

    Joyeux Noël et Heureuse et saint Année 2011.

  • Les "vraies affaires" de JJC

    13 décembre 2010


    L'auteur, le Vieux sage, présente une liste de 55 points illustrant autant de dossiers chers aux québécois. Le fondateur de la firme National, Luc Beauregard, dans une opinion qui paraît aujourd'hui en page A22 de La Presse, admire le leadership de Jean Charest. Autrefois, il aurait sûrement admiré le leadership de Staline et de Hitler, des dirigeants obstinés.

    Probablement que ce monsieur Beauregard admire John James Charest pour son obstination à tenir tête au peuple sans égard à ses responsabilités de protéger et développer le bien public en tant que Premier ministre du Québec..

    L'obstination de JJ Charest est réelle, mais cela n'en fait pas un modèle dans son rôle de dirigeant d'un gouvernement en société démocratique.

    JJ Charest n'est pas un premier ministre intègre, capable d'un grand respect envers notre démocratie et ses citoyens. Monsieur Charest est un politicien habile qui pense leurrer les citoyens par ses manoeuvres pour gagner du temps, pour ne pas faire face à la population. Le mandat du BAPE dans les gaz de schiste illustre cette "fausse" habileté. Pour quels motifs joue-t-il ainsi avec nos institutions publiques, pourquoi pense-t-il être autorisé à tromper les citoyens?

    Réussira-t-il à endormir les électeurs du Québec comme il l'a fait avant l'élection du 8 décembre 2008, alors que la gestion de la Caisse de dépôt et placement du Québec allait terminer l'année avec une perte de 40 milliards$, soit l'équivalent de 25% de son actif. Encore une habitleté de sa part que de déclencher des élections avant la fin de l'année 2008 et l'annonce de la catastrophe des pertes astronomiques du bas de laine des québécois. Récemment, la Régie des rentes du Québec (RRQ) a établi sa perte 2008 à 9 milliards$.

    On a l'impression que notre Premier ministre se réjouit en son fort intérieur de tous les malheurs économiques qui affaiblissent le Québec. S'il ne s'en réjouit pas, cela le laisse indifférent. Un tel comportement devrait être sanctionné par une immense honte que lui voue maintenant les québécois. À moins de sortir par centaines de milliers dans la rue pour réclamer son départ. Les québécois se demandent quoi faire pour qu'un prochain Premier ministre du Québec soit incapable de même penser "fourrer" le peuple?

    Dans la liste du Vieux sage, le point qui me heurte le plus est le supplément de salaire de 75 000$ versé à JJ Charest par le Parti libéral depuis qu'il est à la tête du Parti libéral du Québec en avril 1998. JJ Charest a-t-il payé ses impôts chaque année sur cette gratification? Il devrait faire une déclaration en ce sens pour servir d'exemple aux québécois honnêtes qui paient tous leurs impôts.

    JJ Charest a-t-il assez le sens de ses responsabilités comme homme d'État pour agir honnêtement? Il faut toujours attendre après quelqu'un qui n'a pas d'honneur et un fourbe qui se croit autorisé d'abuser des québécois. Combien de temps encore cela durera-t-il?

  • L’influence grandissante d’Israël - Il arrive un point où l’opportunisme devient de l’indécence

    11 décembre 2010


    Sujet délicat que de parler du peuple juif ici à Montréal et au Québec. Et en prolongement de la réalité juive internationale, nous arrivons à l'État d'Israêl.

    Merci à Richard Le Hir de nous brosser un large tableau du contexte qui peut être appliqué à la démarche du député libéral du comté Mont-Royal, Irwin COTLER, dans sa démarche de présentation d'un projet de loi privé, numéro C-412, Loi sur la responsabilité à l'égard de l'Iran.

    Pourquoi empêcher l'Iran de posséder l'arme nucléaire qu'Israèl possède déjà? Ce que l'État d'Israël devrait offrir à l'Iran est le marché suivant: en nous référant à un organisme international de non-prolifération nucléaire, nos deux pays s'engagent à ne pas posséder l'arme nucléaire.

    Depuis Hiroshima et Nagazaki et incluant ces deux bombes, l'arme nucléaire en bombes offensives comme en bombes dissuasives n'a fait que des catastrophes et des accidents à répercussions mondiales et historiques. Pourquoi atteindre un niveau de destruction "totale" pour avoir raison contre l'autre. Cette destruction est la mort de l'autre alors que l'humain seul s'ennuie.

    Je sais qu'actuellement, il existe des juifs qui aiment vraiment les palestiniens au point de leur accorder paix et tranquillité. Les juifs de l'État d'Israël devront faire autant envers les iraniens et vice-versa. Le député Irwin COTLER est-il de bonne foi dans sa démarche? À la lumière des éclaircissements de Monsieur Le Hir concernant les prérogatives de parti au pouvoir, je souhaite que le projet de loi C-412 soit retiré du feuilleton ou batu à l'aide du Bloc québécois.

  • En réponse à l'éditorial du 25 novembe 2010 de Francois Cardinal dans La Presse

    1 décembre 2010


    Bravo aux citoyens qui s'intéressent de près au dossier de l'exploration des gaz de schiste au Québec, dans de très belles régions comme la vallée du Richelieu et dans la vallée du Saint-Laurent.

    Des propos de la ministre Nathalie Normandeau, faisant appel à la bonne foi des citoyens, se retournent contre toute l'industrie des gaz de schiste et illustrent un mépris d'inspiration totalitaire.

    Nathalie Normandeau au début du débat public, devant un dossier assez nouveau pour les québécois, invite les citoyens à s'informer en écoutant ceux qui connaissent, ceux qui possèdent plus d'information dans le domaine. Ces gens ont pour nom André CAILLÉ de l'Association Pétrole et Gaz du Québec, Raymond SAVOIE, ex-ministre libéral et président de GASTEM, Jean-Yves LAVOIE, ex-employé de SOQUIP et président de JUNEX.

    J'ai écrit à ses trois messieurs et aucune réponse n'est venue. Leur silence ne va pas dans le sens du souhait de Nathalie Normandeau. Mais le peuple note ces silences. Les québécois ne sont pas tous amnésiques.

    Une information intéressante pourrait être fournie par JUNEX et GASTEM: il s'agit de répondre PUBLIQUEMENT à la question des bénéfices économiques engendrés pour le Québec par l'exploration des gaz de schiste, avec les vrais chiffres, pour les années 2008, 2009 et bientôt pour 2010. Combien d'emplois ont été créés, combien de salaires ont été payés et combien d'impôts ces salaires ont générés dans les coffres du Québec? Et combien en loyers pour les baux et combien en redevances versées?

    Un reportage très intéressant de Radio-Canada montrait le travail exécuté dans une roulotte de chantier lors d'un forage d'exploration, lequel était monitoré en direct d'Alberta. En voyant l'importation de beaucoup d'équipement spécialisé et de personnel spécialisé, cela ne génère pas beaucoup de retombées directes pour l'économie locale. Lorsque vous voyez un fardier immatriculé en Alberta, ses frais d'immatriculation ne tombent pas dans les coffres du Québec, c'est clair.

    Devant l'indifférence et la mauvaise foi de l'industrie, j'attends toujours des réponses intelligentes à mes lettres, ou un regain d'honnêteté de l'industrie en fournissant de l'information des retombées économiques réelles et non virtuelles, il est normal que la solution proposée par les citoyens ne puisse être autre chose qu'un MORATOIRE TOTAL immédiat.

    Devant l'astuce de John James CHAREST de confier un mandat truqué au BAPE pour étouffer le débat public et offrir un paravent à l'industrie, le public est obligé d'attendre le rapport de ladite commission. Sortira-t-il tel qu'annoncé vers la fin de février 2011? Sera-t-il explosif pour démontrer la fausseté du mandat truqué au BAPE et finalement l'asservissement des commissaires? Beaucoup de doutes planent dans les esprits. On juge un arbre à ses fruits!

  • Corriger l'usurpation du nom "Terre-Neuve-Labrador"

    30 novembre 2010


    Merci aux lectrices et aux lecteurs de vigile d'apporter des suppléments d'information au sujet du changement du nom de la 10e province du Canada, changement de Terre-Neuve en Terre-Neuve-et-Labrador.

    Comme le précise le lecteur JPCD, c'est en 2001 que le Gouvernement du Canada a apporté un amendement constitutionnel à l'Acte constitutionnel de 1982 concernant le changement de nom de Terre-Neuve. Selon JPCD, le Québec n'a opposé aucune objection formelle parce que ce changement n'était que purement symbolique.

    Si JPCD rapporte véritablement ce qui s'est passé en 2001 dans ce dossier de changement de nom de Terre-Neuve, j'aimerais réfléchir aux dessous pluriels à comprendre aux mots "changement purement symbolique" tel qu'apprécié par JPCD lui-même. Ces trois mots, qu'on les prenne séparément, et encore plus quand on les prend ensemble, sont pleins de sens pluriels.

    Ici, je préfère mettre de côté la naïveté et le jovialisme.

    On parle d'un changement constitutionnel de nom s'appliquant à un grand territoire. Apparaissant en 2001, ce changement intervient 52 ans après l'entrée de Terre-Neuve dans l'Union avec le Canada en 1949. Pour faire un tel changement, il faut y tenir, il faut avoir de bonnes raisons. Pourquoi les deux mots "Terre-Neuve" n'étaient pas suffisants pour représenter cette 10e province? Pourquoi le Gouvernement du Canada n'a-t-il pas respecté la lettre de la décision du Conseil Privé de Londres du 1er mars 1927 qui a partagé le grand territoire de la Péninsule du Labrador entre deux colonies britanniques qui sont devenues deux provinces du même pays, le Québec et Terre-Neuve? Accoler le mot Labrador à Terre-Neuve crée l'impression que c'est tout le Labrador qui revient à Terre-Neuve.

    Il est écrit et connu par les initiés que le territoire couvert par le nom LABRADOR ou PÉNINSULE DU LABRADOR a évolué dans l'histoire et présente des limites floues encore aujourd'hui. La décision du 1er mars 1927 du Conseil Privé de Londres n'a pas établi les limites du Labrador, mais plutôt une frontière politique entre deux colonies. La recommandation du Conseil Privé de Londres est inconstante sur les principes qu'il retient, changeant selon que vous longez au sud le 52e parallèle, ou la limite sud-nord qui utilise la ligne de partage des eaux. De plus, les probabilités sont fortes que la décision rendue, avantageant largement la Colonie de Terre-Neuve, le fut en situation de conflits d'intérêts de la part des cinq Lords qui ont signé cette recommandation. Avec le Conseil Privé, rappelons que nous sommes au coeur du coeur de l'Empire britannique.

    Maintenant, que dire des mots "purement symbolique", une expression qui prête à confusion. Comme si c'était secondaire, accessoire, pas important, alors que les motifs de ceux qui ont exigé ce changement est probablement à l'opposé. Pour eux, disons les terres-neuviens intéressés, ce changement était primordial, essentiel et important. Mais pourquoi ce changement était-il si important? Je crois qu'il est faux d'envoyer un problème réel et important à la trappe sous le prétexte de "purement symbolique". Les récits allégoriques, la poésie du monde entier, les pictogrammes routiers, Freud et les psycholoques, les effigies sur les monnaies du monde ont très souvent sinon uniquement recours aux symboles. Les symboles touchent au coeur. Le langage des fleurs, les signes du zodiaque, les constellations dans le ciel, tout est symbolique.

    Dans le cas présent, je crois que les québécois auraient avantage à s'inspirer des terres-neuviens intéressés et instruits de l'importance des symboles. Alors, le Québec pourrait aussi demander un changement de nom en Québec-Labrador.

  • Sur Vigile: pas de donateurs allophones, pourquoi?

    13 novembre 2010


    Si nous ne pouvons pas intégrer 55 000 immigrants arrivant chaque année au Québec, pouvons-nous raisonnablement réduire ce flot? En 10 ans à cette vitesse de croisière, c'est 550 000 personnes qui viennent grossir plusieurs programmes sociaux d'assistance à ces nouveaux arrivants. Cela représente 1/16 de 8 millions de québécois, soit 6,25%. Retraité maintenant, la principale manifestation de l'immigration courante que je constate se trouve dans les immigrants dit je crois "investisseurs", ceux qui achètent leur droit d'entrée en achetant un petit dépanneur du coin.

    Ils sont tellement sympathiques (sic) ces nouveaux arrivants déguisés en commerçants qui parlent rarement le français et souvent peu d'anglais. Vous les observez servir leur clientèle: sourires: pas. Ils sont méfiants, figure neutre ou dure; toute leur énergie est requise pour comprendre la différence entre un 2 litres de 2% du reste. Et combien parmi ces itinérants seront reconnaissants envers leur société d'accueil française du Québec, alors qu'ils ne pensent qu'immigrer encore ailleurs, hors du Québec.

    En vue du prochain référendum, faisons un petit calcul pour quantifier les besoins en oui qui doivent venir des québécois francophones en prenant exemple sur les comtés anglophones qui votent facilement au-dessus du 90% pour le non. Nous faisons les hypothèses suivantes pour arriver à écrire une équation à un inconnu. Les chiffres ci-dessous sont arrondis.
    a: nous partageons la population du Québec ainsi: 80% de francophones et 20% d'anglos et allos.
    b: Question: combien faut-il de votes francophones pour atteindre un résultat significatif en faveur du oui, disons un résultat de 60%
    c: autre hypothèse: nous retenons que 5% d'anglos et allos votent pour le oui: (5% X 20%)
    d: nous cherchons le "x" notre inconnu du nombre de francos qui doivent voter OUI, soit le calcul suivant; ( "x" X 80%)
    e: voici l'équation: (5% X 20%) + ( "x" X 80%) = 60%
    f: la réponse: "x" = 74%, soit 3 québécois francophones sur 4 doivent voter pour le OUI partout au Québec.
    conclusion: comment arriver à cela comté par comté, rue par rue ?

    Il y a des peuples qui y sont parvenus avant nous. Oui, c'est possible!

  • À qui appartient le Labrador ?

    5 novembre 2010


    À titre de suivi aux réflexions de Lucien Beauregard, je suggère de regarder cette carte./Users/francoisalachapelle/Desktop/clip_image002_067.jpg

    Il est intéressant de constater une opération de fait accompli à l'anglaise lorsque Terre-Neuve a changé officiellement de nom en Terre-Neuve et Labrador, je crois en 1949 lors de son accession au Dominion du Canada. Qu'arriverait-il si le Québec changeait de nom en Québec et Labrador? Ce n'est pas important, dirions-nous, ce n'est que symbolique.

    En relisant un texte d'Henri Dorion daté du 18 septembre 2006 et intitulé "Comprendre la frontière du Québec et du Labrador", il rappelle certaines réalités comme: a) il y a une différence à faire entre «la côte du Labrador» et le «territoire du Labrador» et b) le «territoire du Labrador» n'a pas de frontière reconnue, le Labrador est une entité géographique aux limites indéfinies, écrit-il, il ajoute: "que de nombreux atlas associent à l'ensemble de la «péninsule du Labrador» ou à la «péninsule Québec-Labrador».

    Selon ce texte d'Henri Dorion, il est peu évident de pouvoir invalider sur des bases légales la décision de 1927 du Privy Council de Londres. Qu'en penserait un tribunal international?

    La Basse Côte Nord fait-elle partie de la péninsule du Labrador ou si la péninsule du Labrador s'arrête à une frontière sud correspondant à la ligne de partage des eaux qui se dirigent vers le fleuve Saint-Laurent?

    Pour revenir à l'ingénieur Lucien Beauregard, je lui suggère de relire le livre de Clarence HOGUE édité chez Libre Expression en 1979 et intitulé Québec: un siècle d'électricité. Le chapitre 20 porte sur Churchill Falls.

    Je termine sur une petite anecdote. Les terre-neuviens pensent aujourd'hui qu'ils ont construit la centrale de Churchill Falls et ils en sont fiers. Cela est une légende urbaine.

    Voici ce qui est écrit dans le livre de Clarence Hogue, page 302, je cite: "Le Québec fournit une large proportion des cadres ainsi que nombre d'ouvriers car le recrutement à Terre-Neuve ne connaît pas le succès espéré par le Premier Ministre Smallwood." Un de mes amis, décédé, plombier haute pression de son métier, a travaillé à Churchill Falls et m'a confirmé personnellement que les ouvriers terre-neuviens n'offraient pas la compétence requise pour combler les postes sur le chantier. Une analyse détaillée des listes de paies et des adresses des ouvriers travaillant pour les différentes compagnies à l'oeuvre sur le chantier de Churchill Falls pourrait confirmer ce fait.

    Conclusion: l'aménagement de la centrale Chruchill Falls dans son ensemble est plus québécois que terre-neuvien, et de beaucoup!

  • À qui appartient le Labrador ?

    4 novembre 2010


    Le point de vue de l'ingénieur Lucien Beauregard est trop simple pour ne pas dire simpliste. Je n'ai pas la prétention de régler ce dossier ce soir. Je pose simplement quelques questions.
    1 La décision du Comité judiciaire du Conseil Privé de Londres a été rendue par cinq membres dont voici les noms: Lord Chancellor (Lord Cave en 1927), Lord Haldane, Lord Finlay, Lord Sumner et Lord Warrington of Clyffe. Ces augustes Lords, avocats et hauts fonctionnaires britanniques, offraient-ils la neutralité requise pour décider en toute justice, ou étaient-ils liés à des intérêts financiers agissant à Terre-Neuve? Il faudrait pouvoir lire le cv de chacun de ces personnages.
    2. Ne trouvez-vous pas que la bouchée est grosse entre la définition de la côté du Labrador de un "mile" de profondeur pour les besoins des pêcheurs (s'approvisionner en eau potable, entreposer et traiter leurs prises) et d'autre part, la décision de 1927, retenant la ligne de partage des eaux qui part de la pointe septentrionale du Labrador, jusqu'au 52e parallèle, où la ligne est droite et ne suit plus la ligne de partage des eaux? Cela représente une amputation de 20% du territoire antérieur du Québec, soit environ 290 000 km ca..
    3. Toutes les lois constitutionnelles s'appliquant à ce dossier à partir de 1927 concernant les nouvelles frontières du Labrador, en 1949 et en 1982, ont été faites en l'absence de représentants et de l'assentiment du Québec.
    4. Puisqu'il y a apparences de malversations depuis la décision du Comité Judiciaire du 1er mars 1927, quelle décision rendrait une Cour internationale dans ce cas?
    5. Monsieur Beauregard s'élève contre des appréciations de vol de territoire. Perdre 20% de son territoire et applaudir serait quelque peu maso. D'autre part, une accusation de vol vient plus souvent de la bouche du PM actuel de Terre-Neuve, Danny Williams, au sujet du contrat de 1969 concernant l'électricité produite par la centrale de Churchill Falls. La Société d'État NALCOR qui a intenté une cause contre Hydro-Québec n'existe que depuis 2002 et détient 65,8% de CFLCo Ltd. L'autre 34,2% est détenu par Hydro-Québec. Le contrat signé à Montréal entre Hydro-Québec et Brinco n'a pas été signé avec une société d'État de Terre-Neuve. Brinco était une société privée incorporée à Londres avec des capitaux anglais. Sans la garantie de financement apportée par Hydro-Québec à Brinco, la centrale Churchill Falls n'aurait pas vu le jour et Danny Wiiliams ne pourrait pas casser du sucre sur le dos des québécois.

    Ce que le dossier des frontières du Labrador québécois peut réveiller!

  • L’actualisation des études de 1995 : une idée saugrenue

    4 novembre 2010


    Comme le dit Monsieur Le Hir, les questions qui se posent en 2010-2015 doivent être inventoriées selon nos besoins actuels. Je me permets de réfléchir tout haut dans le texte qui suit qui est très partiel.

    L'accession du Québec au statut de pays souverain doit être à l'avantage économique de tous ses citoyens, vérité contraire aux magouilles et aux avantages personnels que plusieurs politiciens pratiquent allègrement, autant à Ottawa, à Québec et dans nos municipalités. Est-ce que la malhonnêteté connue ou sous-entendue de plusieurs personnes publiques sera un obstacle majeur à la souveraineté du Québec? Pendant que nos yeux et oreilles sont rivés sur le secteur public, le secteur privé fait-il meilleur figure?

    Cet objectif, l'avantage économique pour tous, ne semble pas évident et possible pour tous. Au contraire, l'avantage économique est une notion trop abstraite ou trop corrompue et devient ainsi un motif de ne pas croire en la souveraineté et de s'y opposer. Plus ça change, plus c'est pareil. Vous ne ferez pas mieux que les autres qu'on peut entendre.

    Un catalogue assez élaboré pourrait être fait pour identifier les grandes catégories de citoyens contre la souveraineté du Québec pour des raisons économiques. Je pense ici à la catégorie qu'on appelle "les indécis pouvant se faire convaincre": ces citoyens sont de bonne foi et curieux d'écouter les arguments de leurs concitoyens en faveur de la souveraineté.

    Une opposition souvent invoquée est: notre niveau de vie baissera avec l'indépendance du Québec, ou plus direct: je perdrai mon emploi!
    Serons-nous exposés à un blocus commercial de la part de nos principaux partenaires? Serons-nous exposés à un blocus économique pouvant résulter en la faillite de notre gouvernement et à une baisse grave de notre pouvoir d'achat, confrontés à une inflation galopante?

    Pour se donner tous les pouvoirs économiques nécessaires à la gestion d'un pays comme le contrôle de ses taux d'intérêts et ses répercussions sur les taux pratiqués par les banques, le contrôle de sa devise, le contrôle du compte économique export-import et le contrôle de sa masse monétaire en circulation, il est inévitable que le Québec, via la Banque centrale du Québec possède sa propre devise. Cet outil indéniable de la devise propre au Québec, comparable aux devises de la Suisse, de l'Égypte et des pays scandinaves, est un gros morceau de la souveraineté à vendre aux québécois. Il faut relire Jane Jacobs dans son livre The Question of Separatism (Vintage Books, Random House), et le traduire pour le bénéfice de plusieurs, livre écrit dans le contexte du référendum québécois du 20 mai 1980.

  • 15 ans depuis le 30 octobre 1995: continuer d'étoffer la vérité historique

    31 octobre 2010


    Une coïncidence vient de se produire: je viens de lire le texte fictif de Richard Le Hir intitulé "Chapitre 4: panique au Canada anglais" simulant la réaction des différentes provinces canadiennes le lendemain d'un vote référendaire gagnant par 6% de majorité.
    Ignorant ce texte, j'ai écrit hier soir ceci: «Le Canada est un pays qui a beaucoup à perdre avec la sécession du Québec. Il perdrait beaucoup de prestige international : plus de G-8, plus de G-20, une baisse de 20% de sa population et de son PIB.»
    15 ans après le 30 octobre 1995, des faits nouveaux, historiques, vérifiables tombent sur la table de notre réflexion. Je sens le besoin de relire le livre de Robin Philpot, Le référendum volé.

    En lisant un texte sur vigile.net dont j'oublie la référence, cet auteur apporte une réflexion de base à savoir: Monsieur Parizeau avec des résultats aussi serrés n'avait pas à démissionner dans les 48 heures. Après coup, il est évident qu'il a été mal conseillé. Ici, je ne lance pas la pierre. Au contraire, je sens que le présent exercice est nécessaire.
    Et l'actualité générale de la société québécoise contient une multitude de dossiers qu'il faut traiter au jour le jour.

    J'énumère quelques sujets très importants: le financement à augmenter dans les deux principaux réseaux sociaux du Québec: nos écoles et nos hopitaux. Parenthèse: c'est possible d'augmenter les revenus de l'État avec plus d'honnêteté, moins de privé qui spolie nos richesses au profit d'une minorité, ex: le dossier des gaz de schiste, et en diminuant de 20% les plus hauts salariés de nos fonctionnaires et de nos sociétés d'État et moins de malversations avec des réseaux criminels qui s'abreuvent aux contrats de l'État; je disais plus d'honnêteté et l'honnêteté est plus exigeante que la justice.
    Sortir un projet de constitution du Québec, le statut laïc de l'État, établir une hiérarchie dans notre charte des droits et libertés en donnant préséance aux droits collectifs et en mettant à sa place le droit à la liberté religieuse comme subordonnée à l'égalité des sexes. Les droits des autochtones doivent progressivement se conformer aux mêmes lois que les blancs: les privilèges dont ils jouissent sont souvent instrumentés par une poignée d'exploitants: les chefs de bande et leurs avocats.

    Le Québec est un pays riche de ses ressources naturelles et de ses ressources humaines. Lorsque le fédéral aura fini de percer notre chaloupe et que les québécois sauront se respecter et se faire respecter, les choses peuvent changer. Je dirais que le mot clé est: honnêteté et tirer tous les avantages de nos ressources pour le bien commun et l'égalité des chances. Le Canada est un cul de sac pour le Québec. Je ne souhaite pas que le Canada soit un cul de sac pour le Canada. Je lui souhaite bonne chance. Mais, pour moi, c'est le Québec d'abord en restant ouvert aux possibilités de partage avec le monde.

    Je sais qu'il y a beaucoup à faire, mais c'est possible parce que nous ne sommes pas un peuple d'impotents. Au contraire, nous pouvons compter sur des milliers de personnes courageuses et généreuses et ces personnes doivent intensifier leur travail même dans l'ombre et la discrétion. OUI, C'EST POSSIBLE! Et bonne chance à notre voisin Obama.

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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