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François A. Lachapelle

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    François A. Lachapelle154 articles

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Hydro Québec et ÉNERGIE NB

Braderie de l’électricité du QUÉBEC à 3 c/kWh

  • François A. Lachapelle
  • 6 mars 2010
  • 1290 visites
  • 5 commentaires

Hydro-Québec peut-elle jouer au bon samaritain envers la dette du Nouveau-Brunswick

  • François A. Lachapelle
  • 28 février 2010
  • 646 visites
  • 2 commentaires

Avec Énergie NB: pertes de 130 million de $ par année pour Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 18 février 2010
  • 526 visites
  • 2 commentaires

L'achat d'actifs d'énergie NB par Hydro-Québec: est-ce pertinent?

  • François A. Lachapelle
  • 14 février 2010
  • 394 visites
  • 2 commentaires

Privatiser Hydro-Québec? Le pactole!

  • François A. Lachapelle
  • 5 février 2010
  • 935 visites
  • 3 commentaires

Énergie NB et Jean CHAREST: duperie pour le Québec!

  • François A. Lachapelle
  • 2 février 2010
  • 364 visites
  • 1 commentaire

Et le doute persiste !

20 janvier 2010: 2e entente entre Énergie NB et Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 22 janvier 2010
  • 294 visites
  • 2 commentaires

Achat de Énergie NB par Hydro-Québec!?!

L'empressement de Jean Charest est-il de bon augure?

  • François A. Lachapelle
  • 16 décembre 2009
  • 429 visites
  • 3 commentaires

Réponse à Me Jean ALLAIRE

Vers une "démission" nationale

  • François A. Lachapelle
  • 15 octobre 2009
  • Signer la constitution de 1982 - la subordination dans l'effondrement national
  • 1 commentaire

Le nombril du Québec

  • François A. Lachapelle
  • 28 août 2009
  • 374 visites
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Commentaires de François A. Lachapelle

  • Saputo-Bouchard à la rescousse de Charest

    21 février 2010


    Madame ou monsieur Nosco,
    Nosco est sans doute un dérivé du mot latin "noscere" pour connaître.
    Les révélations que nous apprenons par votre texte permettent de faire des liens avec un intervenant que nous aimons, ou devrais-je dire que nous aimions et respections, monsieur Lucien Bouchard. Car, un leader n'a pas le droit de jouer avec la vérité qui touche au coeur de la société québécoise.
    D'une part, le Québec doit faire mieux, toujours mieux en éducation , en santé, en finances publiques et en productivité.
    D'autre part, les problèmes du Québec existent aussi dans les sociétés limitrophes du Québec et dans le monde: un constat pour éviter la panique.
    Cependant, là où Lucien Bouchard nous cache des choses, c'est là que sa lumière pâlit jusqu'à s'éteindre. Lucien Bouchard est-il un George-Étienne Cartier (george sans s à l'anglaise) des temps moderne? Un opportuniste, un grand seigneur?
    Je cite le commentaire de JC POMERLEAU: «Entre les intérêts supérieurs du Québec et ceux de son réseau d’affaire, Bouchard a fait son choix depuis longtemps.» George-Étienne Cartier, ses intérêts étaient dans sa clientèlre des cies de chemin de fer, LB ses intérêts sont ailleurs.
    En terminant, je reviens sur son silence, sa complicité tacite dans l'affaire des 40 milliards de la Caisse de dépôt et placement du Québec en 2008. Monsieur Bouchard veut qu'on soit allumé aussi en écnonomie. Il n'a pas dénoncé l'incurie des responsables de cette faillite de 40 milliards, peut-il aujourd'hui se prononcer avec explications sur la pertinence ou non du projet d'achat d'actifs d'Énergie NB par Hydro-Québec au coût de 3,2 milliards de $, marché à conclure au plus tard le 31 mars 2010?
    Oui, la société québécoise fait face à de sérieux problèmes, lesquels sont amplifiés par des causes externes (Ottawa) et internes (nos zélites qui se cachent derrière leurs intérêts personnels) qui se défilent devant leurs responsabilités. Monsieur Lucien Bouchard, allumer la mèche c'est beau, mais éclairer vos compatriotes avec des explications c'est agir en adulte responsable.
    François A. LACHAPELLE 21 février 2010

  • Qui doit décider de l'avenir d'Hydro-Québec?

    15 février 2010


    Bonjour Pierre Gouin,
    Je viens de lire aujourd'hui, 15 février 2010 votre texte paru le 14 novembre 2009, soit il y a trois mois. Il est intéressant de voir comment l'actualité a évolué durant ces trois mois en regard de certains points que vous soulevez dans votre texte.
    Je rappelle que la 1ère entente d'achat d'actifs d'Énergie NB par Hydro-Québec a été conclue le 29 octobre 2009 et qu'elle a été modifiée par une 2e entente convenue le 20 janvier 2010.
    Primo, nous pouvons constater aujourd'hui que l'opposition chez les néo-brunswickois à cette vente surprise a grandi jusqu'à aujourd'hui.
    Le président d'Énergie NB, David Hay a démissionné. Le PM Shawn Graham a accepté la démission d'un de ses ministres qui demandait que cette transaction soit soumise aux citoyens du N.-Brunswick par référendum. Et vendredi dernier dans le journal Telegraph Journal, un éminent avocat de Moncton, Monsieur H. Reuben Cohen CC, QC s'est prononcé contre la 1ère et la 2e entente. Cet article qui est devant moi a été signalé par Richard Le Hir dans un de ses articles.
    Secundo, il existe d'autres moyens pour Hydro-Québec d'augmenter ses exportations d'électricité "hors Québec" incluant nos voisins du sud autrement que par un achat d'entreprise comme celle d'Énergie NB. Hydro-Québec en a fait la démonstration par l'inauguration d'une nouvelle interconnexion de 1250MW avec le réseau de l'Ontario le 25 septembre 2009. Actuellement, Hydro-Québec exploite 19 interconnexions avec les réseaux "hors Québec".
    Tertio, parlons sommairement de la rentabilité annoncée par Jean Charest la première année de 10% sur les capitaux nets investis.
    Puisque la 2e entente du 20 janvier 2010 est gardée secrète et que nous ne connaissons pas la part de capitaux nets fournis dans le prix de 3,2 milliards, nous ne pouvons pas estimer l'équivalent du 10% annoncé. Mais, en regardant les états financiers d'Énergie NB, malheureusement, on ne peut pas faire de merveilles. Il y a aussi la qualité des actifs comme les barrages sur le fleuve St-Jean qui est très douteuse et la rénovation de la centrale nucléaire Point Lepreau qui n'est pas terminée. Le profit de 2008 a été de 70 millions de $. Il serait intéressant d'analyser les chiffres sur 5 ans en bon comptable. Par exemple en 2003, j'ai vu un bénéfice net de 20 millions de $. Ici, je ne veux pas noircir le tableau, je ne fais que regarder les chiffres et il nous en manque. Ce qui nous manque le plus, c'est d'avoir accès au texte complet de la 2e entente.
    Le volet des tarifs d'électricité serait aussi très intéressant à approfondir, et l'aspect constitutionnel de ce projet de transaction.
    Ma réponse finale à votre question Monsieur Pierre Gouin, vous l'aurez deviné, ce sont les québécois qui doivent décider de l'avenir de leurs sources d'énergie et de l'avenir d'Hydro-Québec, une société d'État construite avec l'argent des québécois et le génie de milliers de québécois, nos prédécesseurs qui ont réussi à monter une grande société qui appartient aux québécois. Il faut dénoncer ceux qui veulent la ruiner.
    Amitiés. François A. LACHAPELLE, retraité d'Hydro-Québec

  • Les Chutes Churchill: Aménagement et Financement

    10 février 2010


    Bonjour Monsieur Vaillancourt,
    1. J'apprécie beaucoup les détails en chiffres que vous incorporez dans votre texte "Les chutes Churchill: aménagement et financement". Les rappels historiques que vous faites et les détails techniques et géographiques inclus nous permettent de mieux comprendre les dessous de la construction de la centrale sur le Haut-Chruchill.
    2. Le lien "Localisation de la centrale" que vous avez ajouté à la fin de votre article est tout aussi instructif. Il est très intéressant de placer en perspective tout débat autour des centrales hydroélectriques sur le fleuve Churchill avec le glissement des frontières entre le Québec et le Labrador entre 1912 et 1927. Aujourd'hui, il serait intéressant qu'un suivi soit assuré par le gouvernement du Québec quant à la contestation de la décision de 1927 du Conseil privé de Londres, sous l'angle des conflits d'intérêts entre les membres du Conseil privé et le territoire convoité du Labrador québécois par l'Angleterre alors propriétaire du Dominion de Newfoundland.
    3. Petit détail de géographie: est-il plus juste de parler de "fleuve Churchill" ou de rivière Churchill ? Pourquoi cette dualité d'usage entre les noms Churchill et Hamilton ?
    Merci de votre attention.
    François A. LACHAPELLE

  • À Rome, fais comme les Romains

    2 février 2010


    Bonjour Éric Tremblay,
    Votre texte "À Rome, fais comme les romains" est rafraîchissant à lire. Je suis un québécois retraité vivant à Montréal depuis plus de 40 ans et j'aime bien votre description de la société québécoise actuelle. Nous lisons une description claire de la réalité au quotidien dans la foulée du rapport Bouchard-Taylor, du dernier jugement de la Cour Suprême du Canada sur la loi 104 et les écoles passerelles, du cour d'Éthique et de culture religieuse (ECR) et des accommodements dits raisonnables sur des sujets religieux et culturels des groupes d'immigrants.
    J'ai consulté le site internet du Parti indépendantiste pour la première fois aujourd'hui et j'y retournerai. À plusieurs reprises, j'ai écrit à différents députés du Parti québécois et la plupart du temps, ils ont négligé d'assurer un suivi. Ils me donnent l'impression de vivre dans une tour d'ivoire. Alors, dans le cas du PI, je souhaite que vous gardiez toujours un contact direct avec vos correspondants qui sont souvent des sympathisants et des semeurs. Aujourd'hui, je n'attends pas de réponse à mon opinion que je vous communique respectueusement.
    Je remercie Pierre Cloutier d'avoir écrit un article sur Éric Tremblay, président du PI.
    Amitiés. François A. Lachapelle, Montréal

  • Gloire aux conquérants anglais?

    21 janvier 2010


    Il est toujours pertinent comme le fait Réjean Labrie de dénoncer l'apathie des autorités à proposer des changements de nom de rues. Évidemment, les autorités n'aiment pas brouiller l'eau. Alors c'est aux citoyens de revenir à la charge.
    Habitant Montréal, il y a des artères où on aurait du plaisir à changer les noms, comme:
    la rue Amherst, le boul. Sherbrooke, la rue Dickson, le boul. Dorchester (ce qu'il en reste dans Westmount) et les noms anglais qui se traduisent facilement en français comme les rues City Councellors, Beaver Hall, Mill, Bridge et ainsi de suite.
    Ce qui est intriguant dans cet exercice, c'est l'émergence des défenseurs du statu quo. Pourtant, porter son nom avec respect et fierté n'est pas banal. Il est lié à son identité et à son histoire. Ceux qui ont choisi des noms anglais il y a de cela parfois plusieurs siècles ont eu le réflexe d'honorer la mémoire de personnes qu'ils admiraient. On doit en faire autant en 2010 pour mettre de côté d'illustres inconnus, ou d'illustres conquérants qui ont fait souffrir nos ancêtres, des travaillants. En terminant, je fais la suggestion suivante: renommer la rue Sherbrooke par, qui vous pensez . . . boul. Jacques Parizeau!
    Longue mémoire aux québécois de toutes origines qui ont travaillé très fort pour aider le Québec à se moderniser et à s'épanouir dans toutes les sphères de la vie.
    François A. LACHAPELLE, Montréal

  • Une arnaque?

    5 janvier 2010


    Chers québécois, propriétaires d'Hydro-Québec, notre plus belle société d'état commerciale et industrielle, notre PM Jean CHAREST nous doit des comptes. Dans le projet d'achat d'Énergie NB par la Province de Québec via Hydro-Québec interposée, plusieurs ombres persistent et c'est malsain pour toutes les parties au dossier.
    Il y a le poids écologique de la centrale nucléaire Point Lepreau, il y a la faible qualité des actifs d'Énergie NB, le gonflement du béton des barrages sur le fleuve St-John, les centrales thermiques à fermer, les investissements pour la mise à niveau des équipements d'Énergie NB, le cadeau de 5 000 millions de $ aux clients d'Énergie NB en rabais ou en gelant les tarifs d'électricité.
    Le texte de l'entente projetée doit être rendu public parce que nous sommes en présence de 2 sociétés d'État qui appartiennent aux citoyens respectifs du Québec et du Nouveau-Brunswick. Ces populations sont aussi les clients qui font vivre ces sociétés et la satisfaction du client est une priorité actuelle pour ces 2 sociétés, lire les intentions d'entreprise dans les derniers états financiers respectifs prenant fin le 31 mars 2009. Si la fierté des néo-brunswickois fait en sorte qu'ils disent NON à cette vente, et si les risques transférés à Hydro-Québec par cet achat d'Énergie NB sont trop élevés ou disproportionnés par rapport aux avantages et pénalisent la rentabilité d'Hydro-Québec,
    les québécois aussi doivent dire NON à leurs députés et à leur PM. Jean CHAREST est suspect parce qu'il a pratiqué le déni envers les pertes titanesques de 40 000 millions de la Caisse de dépôt et placement en 2008.
    Pour qu'Hydro-Québec augmente ses ventes avec ses voisins, qu'il fasse comme il vient de faire avec l'Ontario: construire une inter-connexion de 1250 MW Gatineau-Ottawa et cela s'est fait sans contrat d'achat d'entreprise. Hydro-Québec peut aussi construire de nouvelles lignes d'inter-connexion en direction du Nouveau-Brunswick sans acheter Énergie NB. Déjà 30% de l'électricité consommée au NB est fournie par Hydro-Québec. Monsieur Charest, collaborez avec votre population. Ne nous enlevez pas Hydro-Québec de façon détournée.
    Amitiés. François A. LACHAPELLE

  • Jane Jacobs et l'indépendance du Québec

    28 décembre 2009


    Bonjour Sylvain Racine,
    Bravo pour votre article sur Jane Jacobs et l'indépendance du Québec. C'est l'auteur Robin Philpot dans son livre LE RÉFÉRENDUM VOLÉ, édité par Les Intouchables en 2005 qui m'a fait découvrir Jane Jacobs. Il consacre le chapitre 13 de son livre à Jane Jacobs.
    Cela m'a poussé à mettre la main sur le livre écrit en anglais par Jane Jacobs sous le titre "Quebec and the Struggle over Sovereignty, THE QUESTION OF SEPARATISM, ed. Vintage Books, a division of Random House, New York, 1980. Plusieurs faits entourant ce livre sont intéressants:
    1. ce livre reprend in extenso des émissions radiophoniques diffusées par CBC en 1979 sous le titre "Canadian Cities and Sovereignty-Association". Donc, ces émissions ont été diffusées avant le référendum du 20 mai 1980. Par contre, le livre a été édité en septembre 1980, soit après le référendum.
    2. au chapitre 7 de son livre, Jane Jacobs fait référence à la page 93 au livre My Quebec de René Lévesque, une traduction du livre français, sauf erreur, de René Lévesque intitulé LA PASSION DU QUÉBEC édité chez Stock en 1978. Jane Jacobs discute alors des 5 facteurs essentiels de la souveraineté-association selon René Lévesque. Elle est d'accord avec les 4 premiers. Je m'arrête au 5e facteur qui est de garder la monnaie canadienne dans un Québec souverain. Ici Jane Jacobs est en désaccord complet avec la position de René Lévesque et elle présente ses explications aux pages 97 à 102. Ce sujet est encore d'actualité.
    3. J'abonde dans le même sens que d'autres commentateurs avant moi à savoir qu'il est souhaitable en 2010 que ce livre soit réimprimé en anglais et traduit en français. Cela serait une lecture fortement suggérée pour au moins tous les députés souverainistes à Québec et à Ottawa.
    4. La clairvoyance et la pertinence des propos de Jane Jacobs sont d'une criante actualité au Québec. Nous vivons des années d'hésitation envers la souveraineté du Québec. Nous sommes confrontés à d'importants dossiers tels que: le déclin de Montréal, le projet "farfelu" de l'achat d'Énergie NB par Hydro-Québec, aventure semblable au 13 000 M$ d'achat de papier commercial adossé à des actifs "non bancaire" par la Caisse de dépôt et placement du Québec. la réfection de Gentilly-2 pour 2 000 M$ alors qu'une centrale au gaz neuve construite à moins sde 2 km de Gentilly-2 coûte en pénalité contractuelle autour de 150M$ par année pour ne pas produire.
    Et ce spectacle macabre se déroule sous la haute responsabilité de fantômes non-imputables à la Henri-Paul ROUSSEAU, Thierry VANDAL (prédestiné ?) et les Jean CHAREST de ce monde. Comme s'exclame ma petite-fille "Mon Dieu, grand-maman...!" Les québécois doivent se ressaisir, il y a trop de gaspillage des deniers publics.
    François A. LACHAPELLE retraité Montréal

  • Le Québec, floué de plus 10 milliards par Toronto !

    22 décembre 2009


    Bonjour M. Pomerleau,
    Bravo pour l'excellent résumé du désastre des 13 milliards de PCAA achetés par des investisseurs du Québec, institutionnels et privés confondus. La perte de 40 milliards en 2008 de la CDPQ est révoltante parce que Henri-Paul Rousseau, le grand timonier de la CDPQ à ce moment s'en est lavé les mains, est parti avec une prime de près de 400 000$ et est allé travaillé pour Power, un concurrent de la CDPQ. Le gouvernement de Jean Charest qui a été réélu en décembre 2008 est aussi responsable des déboires de la Caisse à cause de l'appui sur la pédale aux rendements avec primes très généreuses pour les gestionnaires concernés.
    Maintenant, c'est le même Jean Charest qui nous présente l'achat de Énergie NB par Hydro-Québec comme étant une transaction merveilleuse. Mais, où sont les chiffres vérifiés des actifs de Énergie NB, on parle d'un problème de gonflement du béton (RAG) des barrages sur le fleuve St-Jean, on annonce un gel des tarifs résidentiels pour 5 ans et une baisse de 30% des tarifs industriels en même temps qu'une hausse du bénéfice de 70M$ à 100M$ la première année. Déjà, Énergie NB achète 33% de son énergie auprès de Hydro-Québec. S'il faut augmenter ce 33%, il me semble que cela peut se faire sans acheter Énergie NB.
    J'aime bien mes voisins du Nouveau-Brunswick, mais il me semble que cette intégration verticale risque de ressembler à l'achat de Téléglobe par Bell: une mauvaise transaction après quelques années.
    François A. LACHAPELLE, Montréal

  • Inacceptable vous-même!

    22 octobre 2009


    Bonsoir Jean-Roch VILLEMAIRE,
    Effectivement qu'il faut du courage aux québécois pour défendre et promouvoir le fait français au Québec.
    Vous semblez habiter l'ouest du Québec dans la région de Gatineau. Le mépris des fédéralistes est palpable lorsque nous circulons dans votre région. Lors d'une campagne électorale provinciale, les pancartes des candidats du Parti québécois ne résistent pas longtemps aux assauts des fédérastes. Leur démocratie ressemble plus à une dictature. Imaginez: la sécession du Québec provoquera la "brisure du Canada". Si nous étions en Suisse, ce serait de casser le Canada en brisures de chocolat ... non-mangeables.
    Par votre courage, vous dénoncez l'immobilisme des CHAREST et compagnie qui disent de belles paroles...
    vides. Comme avant la dernière élection du Québec,
    le 8 décembre 2008 en plein scandal de la Caisse de dépôts et placements, les québécois sont gênés de demander des comptes. C'est pitoyable.
    Amitiés. François A. LACHAPELLE, Montréal

  • J’aimerais être le premier italo-québécois à recevoir une carte de citoyenneté québécoise

    8 novembre 2008


    Monsieur Nicodème Camarda,
    En tant que québécois de souche depuis 1653, ceci dit dans un sens historique, et à titre de montréalais qui fréquente les italos-québécois depuis plus de 30 ans, je vous trouve bien courageux de vous compromettre de la sorte.
    J'essaie de comprendre le mystère italo-québécois montréalais que je décrirais ainsi: comment se fait-il que la majorité et non la totalité des nos concitoyens d'origine italienne nés là-bas ou ici au Québec soient aussi réfractaire à la souveraineté du Québec ? Est-ce que leurs succès économiques (ex.: Saputo) les rendent conservateurs et indifférents aux aspirations des québécois exprimés depuis la naissance du PQ?
    Je doute que la réponse soit plus complexe que cela.
    François A. Lachapelle

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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