Ravages du libéralisme sur la nature et les traditions
15 mai 2015
Merci pour ce texte qui va à l'essentiel, avec un exemple concret sur la véritable nature du néolibéralisme :
une dissolution du politique dans l'économique.
JCPomerleau
VIDÉO
L'incapacité des souverainistes à saisir les forces historiques en jeu sur la question du nationalisme
Analyse du sommet de l’OTAN à Vilnius les 11 et 12 juillet 2023
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
15 mai 2015
Merci pour ce texte qui va à l'essentiel, avec un exemple concret sur la véritable nature du néolibéralisme :
une dissolution du politique dans l'économique.
JCPomerleau
14 mai 2015
Quelques lignes pour la suite des choses :
Si PKP l'emporte. Le Parti Québécois, dans la culture et la mouture que l'on a connu depuis 40 ans, n'existera plus après cette course.
La mise à niveau du parti pour relever les défis qui se posent (existentiels) commencera dès le lendemain.
UN : former le noyau dur de l'équipe (une demi douzaine de personne). Mettre en place le plus vite possible, l'Institut de recherche scientifique et appliqué sur l'indépendance.
DEUX : faire le procès du régime libéral (l'ensemble de l’œuvre de dépossession du bien publique).
TROIS : élaborer une stratégie d'État d'envergure à proposer pour la prochaine élection (Constitution provisoire avec dévolution de pouvoir au régions).
QUATRE : reprendre le pouvoir et agir avec une stratégie d'État d'envergure qui vise le redressement national pour nourrir une dynamique de rupture (Révolution tranquille 2.0).
Le référendum ? Ce piège à con qui nous a conduit dans le cul-de-sac actuel, doit être écarter s'il nuis à la prise du pouvoir :
« C'est la souveraineté qui est essentiel, le référendum est accessoire ». (PKP)
La marche vers la souveraineté dans la vrais vie commence dès la victoire de PKP.
La réalité des lignes de forces, qui se dessinent depuis l'arrivé en politique de PKP, va se préciser clairement, le clash ultime : Péladeau c. desmarais
JCPomerleau
13 mai 2015
@ Denis Thériault.
Le Clan Desmarais souhaiterait l'élection de PKP, parce qu'il représenterait une
« proie facile ».
PKP met en cause la main mise sur l'État par le régime libéral, des intérêts immenses sont en jeux, entre autres ceux du Clan Desmarais.
PKP est le seul qui a le centre de gravité pour assumer les 3 rapports de forces que supposent la cause : politique, économique et médiatique.
Ces lignes de forces sont apparues clairement au moment de la nomination de PKP sur le CA d'Hydro-Québec :
http://service.vigile.quebec/Un-milliardaire-patriote
Avec PKP à la direction , le Parti Québécois, dans sa culture et mouture des 40 dernières années, n'existera plus.
Et c'est ce nouveau parti dirigé par PKP qui fait peur au Clan desmarais, et il ont raison d'avoir peur.
JCPomerleau
10 mai 2015
François : « En complément d’information au présent texte il est indispensable d’écouter l’émission "je me souviens" du 7 mai sur radioinfocite.com co animé par MM. Le Hir et Pomerleau.»
Le lien (à partir de 3 min. 50 sec.)
http://radioinfocite.com/emission/7-5-2015JMS.mp3
JCPomerleau
8 mai 2015
Complément d'info :
Un antécédent établi par Chypre
(...)
Au cours de ces 24 derniers mois, le Canada, Chypre, la Nouvelle-Zélande, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont mis en place une législation qui pourra leur permettre de geler puis de saisir les actifs bancaires si une nouvelle crise se présentait.
(...)
En gardant cela à l’esprit, j’aimerais revenir un instant sur les implications des bail-ins mis en place à Chypre. Le pays nous fournit un antécédent pour ce qui deviendra bientôt un phénomène global.
(suite)
http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-un-antecedent-etabli-par-chypre.aspx?article=6759308948H11690&redirect=false&contributor=Phoenix+Capital.
JCPomerleau
8 mai 2015
Le sujet apparaît complexe mais peut se résuumer simplement :
UN Le Parlement à Ottawa a voté une loi (Budget de 2013), qui permet aux banques de saisir l'argent des déposants (passifs) pour les transformer en fonds consolidés (actifs), dans le cas de crise financière majeur.
DEUX : La Banque du Canada a pris des dispositions pour inclure les dépôts des caisses populaires du Québec dans la manœuvre (mai 20015).
Ce qui nous amène à la question : les banques canadiennes sont elles à l'abri d'une crise systémique des institutions financières à l'échelle de la planète. La réponse à cette question est NON. Tous les conditions sont réunis pour l'effondrement du système financier se produise, la seule question qui se pose est QUAND.
D'où l'autre question : la Banque du Canada peut elle faire face à une telle crise. La réponse est NON.
Démonstration :
La Banque du Canada est au bord de la faillite !
« La banque centrale la plus lamentablement sous-capitalisée en Occident »
http://vigile.net/La-Banque-du-Canada-est-au-bord-de-64261
Vigile est le seul média qui a abordé cette question au Québec. Où sont les autres ...
Et L'opposition ?
JCPomerleau
29 avril 2015
La souveraineté n'est pas un souhait, mais bien une somme.
Pour s'en convaincre il suffit d'évoquer le cas de la Norvège (1). Une nation qui est parti de très loin pour mener sa marche vers son indépendance. La première étape fut d'abord de se doter d'une langue nationale : « On habite le pays de sa langue » Emil Michel Cioran
Pour le Québec, l'erreur historique fut d'abandonner la poursuite résolue de la Révolution tranquille : « L'État devenait ce qu'il faisait » et se « dressait contre l'État canadien » (G Bergeron) (2), pour partir à la quête d'un pays fantasmé.
PKP est le seul qui a ramené le projet dans le cadre de la realpolitik : la souveraineté n’est pas un souhait mais bien une sommes : « la souveraineté est un processus le référendum une formalité. »
Son Plan économique suppose le déclenchement de la deuxième Révolution tranquille. Comprendre la première pour apprécier la porté de la deuxième :
http://qc3.ca/plan-PKP.mp3
Un retour à une doctrine politique qui prends comme point d'ancrage, l’État du Québec : seul capable d'agir avec envergure pour entreprendre un redressement nationale ; préalable pour bâtir ce rapport de force favorable, condition première pour obtenir le changement de de statut de notre État, de province à État souverain. (géopolitique 101)
Il s’agit d’un changement de paradigme qui confond les référendistes datistes. Rien à voir avec les « débats d'idées.».
JCPomerleau
P.s Message à Frédéric.
Faut pas s'attendre à ce que Québecor Média joue le rôle de propagandiste de la cause. La game se joue autrement à ce niveau : défendre l'intégrité des institutions, documenter l'ensemble de l’œuvre de dépossession du régime libéral, va faire plus pour la cause que de magnifier le pays dans le verbe. La souveraineté il ne s'agit plus d'en parler, il s'agit de la faire.
....
(1) « La question du séparatisme : Le Québec et la lutte pour la souveraineté » (Jane Jacobs) Texte intégral en PDF
CHAPITRE 3, LA SÉCESSION DE LA NORVÈGE
http://vigile.net/La-question-du-separatisme-Le?a=18
(2) L'État du Québec en devenir. (1980)
(Gratis, en ligne)
http://classiques.uqac.ca/contemporains/bergeron_gerard/Etat_Qc_en_devenir/Etat_Qc_en_devenir.html
29 avril 2015
@Jean Jacques :
« Votre refus du référendum provient du fait qu’à cause de l’immigration massive,...»
Il ne s'agit pas d'écarter définitivement le référendum mais bien de le placer dans l'ordre des choses :
Ce n'est pas le référendum qui mène à la souveraineté, c'est le contraire, la souveraineté qui mène au référendum.
Depuis 40 ans le projet souverainiste marche sur la tête, le défi du changement de paradigme est de le rétablir sur ses pieds. Et, PKP est le seul qui l'a compris et qui a les moyens de sa politique.
Tout le reste n'est que confusion d'idéalistes déconnectés de la réalité élémentaire de ce qu'est la politique : intérêt, rapport de force et effectivité
JCPomerleau
28 avril 2015
@ Luc Bertrand
Le déclin, et comment l'arrêter.
Il tient en un mot : référendum.
C'est Jean Chrétien qui nous le dit :
« Avec le recul, le référendum apparaît comme la plus grande erreur du Parti québécois. Jusque-là, sa stratégie avait été extrêmement efficace pour le Québec et extrêmement dangereuse pour le Canada. Claude Morin me l'avait décrite il y a longtemps : "Nous nous séparerons du Canada de la même manière que le Canada s'est séparé de l'Angleterre. Nous couperons les liens un par un, nous obtiendrons une petite concession ici, une petite concession là et, finalement, il ne restera plus rien." Dans un premier temps, c'est exactement ce que fit le gouvernement du Parti québécois. Il exigea de nouveaux pouvoirs, imposa sa présence internationale et, comme chaque demande paraissait raisonnable en elle-même et dans l'intérêt de la province, la population suivit. Avec le temps, le Québec serait devenu indépendant dans les faits et son indépendance juridique serait allée de soi. Mais le référendum cristallisa le débat et, en dépit de l'ambiguïté extrême de la question posée (le mot "indépendance" en avait été exclu), la population fut forcée de faire un choix. Elle dit Non à l'indépendance. » - Jean Chrétien, Dans la fosse aux lions, 1985
De ce constat résulte la stratégie de Chrétien-Trudeau, d'envoyer des mandarins fédéraux vendre l'idée du référendum à Claude Morin. L'erreur historique, le cul-de-sac actuel en résulte.
Le choix est donc de sortir de la fixation référendaire, le piège à con qui a mené au déclin de la nation. À tel point que, ce n'est plus tant le projet souverainiste qui est en péril mais, bien la nation qui porte le projet.
En sortir est donc un défi existentiel.
Ce qui veut dire sortir le projet politique du registre de l'idéal (la Canada est un pays démocratique, on gagne un concours d'art oratoire, on compte des bouts de papier et on a un pays). pour le ramener dans le champs du réel, celui de la realpolitik (seul un rapport de force favorable mène à un changement de statut d'un État).
Il y a 2 camps dans cette course à la chefferie : les référendistes datistes et PKP, maintenant rejoint par Bernard Drainville.
PKP est le seul candidat qui a le centre de gravité pour assumer les 3 rapports de forces que supposent la cause (politique, économique et médiatique ) (*)
Le seul candidat qui peut arrêter le déclin de la nation. Et son redressement, un préalable pour la suite des choses...
JCPomerleau
(*) Ces lignes de forces sont apparues dès la nomination de PKP au CA d'Hydro Québec :
http://service.vigile.quebec/Un-milliardaire-patriote
22 avril 2015
Un rappel (2009) :
Le Devoir et le « Roi nègre »
http://vigile.net/Le-Devoir-et-le-Roi-negre
JCPomerleau
20 avril 2015
Géopolitique 101 :
Entre l'indépendance et la souveraineté.
Il ne suffit pas de déclarer son indépendance (1776) ; il faut surtout rendre effective cette décision sur son territoire.
Cette effectivité résulte d'abord et avant tout d'un rapport de force favorable (Yorktown ,1781).
C'est cette condition première qui mène au changement de statut reconnu (Traité de Paris, 1783) :
« Le traité de Paris de 1783, signé le 3 septembre, met un terme à la guerre d'indépendance des États-Unis. Il est signé entre les représentants des treize colonies américaines et les représentants britanniques. La Grande-Bretagne reconnaît l'indépendance des États-Unis d'Amérique. Le traité de Versailles fut signé en 1783 entre la France, l'Espagne et la Grande-Bretagne et complète le Traité de Paris. Le Canada est maintenu en possession britannique.»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Paris_%281783%29
...
Une leçon de l'histoire sur ce que suppose un changement de statut d'un État : un rapport de force favorable.
Rappelons que Nelson a déclaré notre indépendance en 1838, ce changement de statut n'a pas eu lieu parce que le rapport de force n'était pas favorable.
Une leçon toujours actuelle pour ceux qui pensent qu'il suffit de prendre une décision (Référendum) pour qu'elle devienne automatiquement effective.
JCPomerleau
6 avril 2015
La Grande Alliance date de 1602
Éric Thierry (La France d'Henry 1V en Amérique du Nord)
Henry IV et sa rencontre avec les amérindiens.
À partir de 13 min 40 ;
http://www.canalacademie.com/emissions/pag464.mp3
...
JCPomerleau