HUGO CHAVEZ
7 mars 2013
Réplique à Monsieur Charbonneau,
Les socialo-communistes écrivent et parlent de «fascisme néolibéral». C’est une pure contradiction puisque le LIBÉRALISME laisse le plus grand espace possible à l’initiative privée et à la liberté individuelle, allant ainsi contre le pouvoir absolu de l'État. Tout le contraire du fascisme et du communisme qui, pour monopoliser le POUVOIR détenu par une clique (la nomenklatura), vont imposer par la coaction, la violence et la répression la puissance politique, économique, juridique et socioculturelle de l'État : « Tout dans l'État, tout pour l'État, rien en dehors de l'État, rien contre l'État ». Qui a dit ça ? ... Mussolini, et c'est la même philosophie dont le communisme base son POUVOIR. Le fascisme et le communisme ne diffèrent que par l'intensité avec laquelle ils suppriment la liberté. Dans ces deux régimes l'État n’est pas constitué pour les personnes, mais les gens sont assujettis à l'État. Ceci est l'essence du totalitarisme.
JLPM