Le Québec n'a jamais appartenu aux Amérindiens
13 novembre 2023
Et en ce qui a trait aux soi-disant territoires ancestraux, la même logique prévaut. Ces terres ne leur ont jamais appartenu en premier lieu. Elles n'appartenaient à personne. En conséquence, aucune revendication ne peut être accordée pour quelque raison que ce soit, aucune cessation de terrain. Elles sont toutes nulles et non avenues. Ce n’est pas parce qu’un itinérant plante sa tente sous un viaduc à Montréal qu’il peut en réclamer l’emplacement pour son usage personnel à vie.
Au problème des itinérants malades mentaux errants s'ajoutent celui des itinérants autochtones errants, qui s'agglutinent au pied du Mont-Royal à Milton Parc (ou Ghetto McGill), comme si c'était pour y établir un campement, y planter leur tipi et en se mettre à chasser et à pêcher comme si de rien n'était.
Il faut changer les lois pour que les autochtones sans domicile fixe soient assignés à leur réserve et cessent d'en sortir pour déranger l'ordre public. Qu'on fasse respecter les règlements municipaux interdisant mendiance, flânage et vagabondage.
Leur niveau de désorganisation mentale et communautaire ne cesse d'empirer:
Rappellons que 12 % des personnes itinérantes à Montréal sont autochtones, alors qu’ils ne représentent que 0,6 % de la population.
Le quart des sans-abri autochtones sont inuits, alors qu’ils ne constituent que 5 % de la population autochtone.
Dans une ligne ouverte, un Montréalais déplorait de voir des épaves dopées au fentanyl avançant comme des zombies dans les rues du secteur.
Il n'y pas du tout de crise humanitaire. Que des autochtones et inuits qui ne sont pas à la bonne place, c'est-à-dire dans leur réserve avec les leurs, où ils pourront ingérer tout ce qui bon leur semble.
Photo ci-dessus: image classique d'autochtones avec leurs bouteilles de bagosse
Peut-on envisager qu'ils s'incrustent dans nos quartiers jusqu'à la fin des temps et accepter tout bonnement la chose en baissant les bras? Que le gouvernement se réveille et agisse au nom des citoyens qui en ont ras-le-bol.