À Montréal, pour entendre moins d'anglais, ça va prendre moins d'anglos
23 décembre 2025
Il y a trop d'anglophones à Montréal, et trop d'allophones qui optent pour l'anglais. La seule solution pour la préservation du fait français: faire en sorte qu'ils quittent le Québec pour l'Ontario.
De bonnes nouvelles dans ce sens-là: une étude démontre que les anglos-Montréalais affichent le double du chômage des Québécois authentiques, et ont de plus bas salaires.
Selon les données du recensement de 2021, le taux de chômage chez les anglophones était de 10,9 pour cent, comparativement à 6,9 pour cent chez les francophones.
Même en tenant compte de l'âge, de l'éducation, de la région et du statut d'immigration, le taux d'emploi des anglophones est resté inférieur de 2,8 points et leurs salaires de près de 12 pour cent.
Source: Anglos de trop
Pour tirer avantage de cette conjoncture qui nous est favorable, il faut faire en sorte qu'ils prennent tous conscience qu'ils n'ont pas d'avenir ici et qu'ils seront beaucoup mieux dans les autres provinces. Alors, ce sera gagnant-gagnant pour tout le monde, eux autant que nous.
Il faut entreprendre des campagnes de déplacement vers les autres provinces s'adressant aux anglos et aux allos à jamais réfractaires au français:
"Doug Ford wants you"
"Doug Ford is waiting for you"
"Leave our Québec now, and move to your Canada"






