Comme les États-Unis, le Canada doit entreprendre la déportation immédiate du surplus de migrants
3 juin 2025
Bonne nouvelle pour les nationalistes:
Ottawa veut se donner le droit de refuser les demandes d’asile en masse
En matière d'immigration massive non désirée, le gouvernement fédéral cède enfin aux pressions de toutes parts, et adopte une série de mesures pour se débarrasser de ce fléau humain décivilisateur. Mais pour y arriver, il a d'abord fallu se débarrasser de l'immigrationniste noyeur de nation en chef, Justin Trudeau.
Comme mes fidèles lecteurs le savent, c'est la position que je défends depuis des années, comme vous le verrez ici. Je suis ravi de voir qu'on a finalement réussi à leur faire entendre raison.
Voir mes articles sur le sujet ici.
Le gouvernement Carney propose de faire un grand ménage dans le système d’immigration et de sécuriser la frontière avec une loi qui lui donnerait d’énormes pouvoirs d’enquête et forcerait des centaines de milliers de personnes à quitter le pays. Il faut évacuer au plus tôt ce surplus illégal et nocif.
Ottawa veut, entre autres, se donner le droit de refuser des demandes d’asile d’un certain type d’un seul coup au lieu d’avoir à les évaluer individuellement. Ce sera une expulsion de masse expéditive. Bravo!
Autre changement majeur: les immigrants auront au maximum un an pour demander l’asile. Au-delà de cette date, toute demande serait refusée de facto. Cette politique serait rétroactive pour les demandes remontant jusqu’au 24 juin 2020. Bravo, les expulsions d'indésirés doivent être rétroactives pour les renvoyer tous au plus tôt.
Cette nouvelle façon de faire aurait le potentiel de rendre inadmissibles un grand nombre d’étudiants étrangers qui utilisent ce statut pour demander l’asile après leurs études ainsi que des travailleurs dont le contrat arrive à échéance. C'était des arnaques bien connues des multiethniques prêts à toutes les irrégularités pour rester ici.
Prenant la mesure de l’annonce, le ministre québécois de l’Immigration, Jean-François Roberge, n’a pas caché son optimisme.
«Ce que je vois, c’est qu’enfin, Ottawa bouge, le fédéral bouge sur les demandeurs d’asile. Il y a eu, je vous dirais, plusieurs années où ils étaient dans le déni», a lancé M. Roberge mardi. «On va évaluer le sérieux de leur démarche et l’efficacité éventuellement, mais je trouve ça intéressant qu’ils fassent un pas dans la bonne direction.»
Il a rapidement ajouté que la priorité pour le Québec, à l’heure actuelle, était qu’Ottawa réduise de moitié le nombre d’immigrants temporaires sous sa houlette.
Source: Ottawa veut se donner le droit de refuser les demandes d’asile en masse
Ces mesures sont un bon point de départ. Continuons nos pressions pour que le gouvernement fédéral resserre encore plus la vis. Le tiers-monde miséreux et surpeupleur ne peut apporter que misère et miséreux. Qu'ils restent chez eux.
L'Occident doit demeurer occidental.