Équité, diversité, inclusion: des mots utilisés de façon trompeuse et abusive
30 juillet 2024
L'usage abusif du programme injuste et nuisible Équité, diversité, inclusion (EDI) amène la nomination de candidats moins qualifiés à la place de candidats plus méritants, compétents et expérimentés.
On peut se demander dans quelle mesure la nouvelle cheffe des Forces armées canadiennes, Jennie Carignan, a bénéficié d'un tel opportunisme, quelles que soient ses références. Cela en a toutes les apparences.
On peut supposer qu'elle aurait été nommée uniquement parce que:
1- elle est de sexe féminin dans des Forces armées très macho.
2- elle fait partie de la catégorie "québécoise" plutôt que "canadienne", considérée comme "racisée" par le Canada anglais
3- elle est francophone, donc considérée comme "minorisée" dans les Forces armées et souvent "dénigrée" et rabaissée (traitée de "frog")
4- elle est militante féministe active dans les cas d'inconduite sexuelle pour tenir tête aux méchants mâles, tous considérés à la base comme des agresseurs potentiels
Tous ces éléments font partie de ceux qui sont favorisés dans l'idéologie du programme EDI.
Tout porte à croire que c'est là une nomination qui a manifestement des visées de propagande idéologique d'abord et avant tout, et non un objectif d'excellence, de qualifications et de compétences, éléments qui passent au second rang.
Il est clair que le programme EDI doit être banni. Que les emplois soient accordés à ceux qui le méritent, un point c'est tout. Autrement, c'est toute la société qui va se médiocriser.
Source:
Une première femme cheffe des Forces armées
Une première femme cheffe des Forces armées