M. Bock-Côté en Israël
5 juillet 2012
La mélodie si douce, pleine de compassion du hautbois venu des déserts, là où la dignité répudiée de l'homme erre et se meurt devant tous ces lâches ces menteurs, ces hypocrites opportunistes, qui jugent le monde comme des fonctionnaires sans âmes qui éteignent les soleils.
La pourriture sur le monde.
Homme lève-toi et dis ce que tu ressens car c'est moi la Vie qui te parle, et je ne te mentirai point.J'enlèverai le mur de séparation que le spoliateur a érigé entre toi et le sein de ta mère.
La créature bienveillante ne doute pas, elle ressent la Vie souveraine en tout et pour tous. Les voleurs, les menteurs, ne s'approchent pas des justes, ils les haïssent,ils leur jettent des miettes de peur de se faire foudroyer par le soleil qui se cache dans le regard de la brebis.Celle qui revient dans le coeur des bergers qui se souviennent!
Je me souviens de ma dignité perdue, la lumière sur le monde pour tous.
Jean
Jean