M. Duceppe est sans doute un choix logique parce qu'il est expérimenté et très connu. Bref, c'est une solution de rechange « clés en main «. Mais sans rien vouloir lui enlever, il n'a pas le calibre, le charisme et l'instinct des plus grands chefs péquistes.
La vraie question pour André Boisclair est de savoir s'il a les coudées franches et la confiance de son caucus et des militants pour imposer au PQ les changements de cap nécessaires, tout en relançant le mouvement souverainiste.
Charest - l'homme qui dit n'importe quoi (Vigile)