On disait le PQ difficile à comprendre, le voilà dirigé par des femmes. Il n'a certainement pas fini de nous décontenancer. Nous n'avions rien vu. Pour l'instant, il faut qu'il revienne sur terre et abandonne cette idée d'élections précipitées au début de juillet. Il pourrait en payer un prix très élevé.
Ce menu est très léger. Pas de vision de gouvernement, pas de politiques économiques ni de nouvelles politiques sociales. Le premier ministre a plutôt cherché à flatter des clientèles électorales réfractaires.
Seule la photo du fil d'arrivée permettra de déterminer le gagnant, tellement la course aura été serrée.