Explications pour Louis Champagne, R. Barberis-Gervais, Andrée Ferretti, …
28 novembre 2012
M. Bouchard.
Je suis surpris que vous ne voyiez pas maintenant la démarche nécessaire et tout à fait possible en faveur de l’Indépendance.
Le simple retrait, l’abandon d’une démarche inutile, le sabordement souhaitable d’O.N., son ralliement dans l’honneur au P.Q., sinon sa conversion, tout ça au vu et au su des résultats du 4 septembre, cet échec électoral total d’O.N., autant pour le P.Q. que pour l’Indépendance, tout cet immense électorat parmi Nous, détaché enfin, mais ENFIN, du P.L.Q., pour le mieux et pour longtemps, mais immobile cet électorat, et en attente dans le stationnement de la C.A.Q. Ne pouvez-vous pas voir les possibilités qui s’offrent ?
Ah oui, l’historique du P.Q. serait problématique ! Mais alors, avez-vous cru un seul instant qu’un référendum gagné de peu plutôt que volé en 1995 aurait suffi à désarmer l’autre camp ?
L’Indépendance sera d’abord une conquête sur Nous d’abord. Les partis sont secondaires. Même les canadiens-français avaient compris cela.
Salutations.