Pour en finir avec l’indépendance
13 octobre 2012
La taxe santé...Le PQ n'a pas pensé à la crédibilité de ses promesses lors de la prochaine campagne électorale!!!Ses adversaires vont bien s'amuser...
Holding a two-month “open season” to hear from parties on delivery points in Montreal, Quebec City and Saint John, N.B.
Débat des Ipso
Les pays émergents s’entendent pour créer leur propre banque de développement
Le ministre fédéral du Commerce international refuse toutefois de dire à quel moment l’entente sera scellée
13 octobre 2012
La taxe santé...Le PQ n'a pas pensé à la crédibilité de ses promesses lors de la prochaine campagne électorale!!!Ses adversaires vont bien s'amuser...
13 octobre 2012
Je suppose que ce doit être une "habitude", cette façon d'être incapable de coopérer entre Parti sur des projets communs positifs. Paradoxalement, cette façon de réagir est tributaire du mode électoral actuel, c'est-à-dire un système qui encourage très peu la ccopération, la coalition, l'aide, mais plutôt l'opposition, la critique, la nuisance. Appuyer aveuglément son Parti, ou dénigrer systématiquement les autres Partis ne mène à rien.
Il faut que ça change.
M. Montmarquette, de QS, vous devriez prendre exemple sur Mme David lors du débat télévisé. Elle a appuyé les positions des autres partis lorsque ces positions lui semblaient bonnes - tout en mettant de l'avant les orientations de son propre parti. QS y a gagné plusieurs voix, pendant que les autres partis se tapaient sur la gueule indignement.
Le mode de scrutin doit être changé, et quiconque se met sur le chemin de ce changement se met sur le chemin d'une démocratie plus juste, mais surtout plus efficace.
Pour ceux que ça intéresse, je dirige une page d'informations et d'opinions dans laquelle j'encourage la marche vers l'indépendance et la révision du mode de scrutin (entre autre). Bienvenue à tous :
https://www.facebook.com/Vers.Le.Meilleur.Des.Mondes?ref=hl
13 octobre 2012
J’apprécie votre article, M. Landry. Au cours des dernières années, si je compte le nombre d'interventions publiques de votre part, j'en conclue que vous avez fait preuve.... de trop de retenue ! A tort. L'utilisation a outrance du qualificatif "belles-mères" , par certains médias, n'a pas sa place. C’était une simple stratégie pour diviser et museler.
Nous emploieront dorénavant l'expression BEAUX-PÈRES expérimentés qui ne travaillent pas pour des groupes de pression...mais dans l’intérêt supérieur du Québec !
Le discours réactionnaire de droite prend trop de place sur nos ondes. Je le dis clairement : nous retrouvons trop souvent sur nos ondes des pseudos-journaleux-objectifs-neutres-qui-declarent-pas-leurs-interets-pas-inscrit-au-registre-lobbyistes.
M. Landry, je souligne cette phrase de votre article :
" une grande portion du champ télévisuel du Québec est aux mains de Radio-Canada qui fait de son mieux mais toujours dans le cadre de sa mission canadienne. "
et aussi celle-ci de F. Ricard :
" Pourquoi le Québec n’a-t-il pas une radio et une télévision qui, comme Radio-Canada, pourraient intervenir dans le sens de sa mission ? ".
Et bien voila un projet qui peut se réaliser facilement. Radio-Québec existe déjà. Les infrastructures de diffusions existes déjà. Il suffirait d’émettre 24 heures par jour. Laissons RDI et LCN faire le travail de base sur le terrain.
Occupons plutôt la case débats avec invites OU politiciens OU journalistes OU lobbyistes. Je crois que 50 % des heures de diffusions pourraient copier le concept - de RDI - 24 heures en 60 minutes. Ce serait donc 24 heures....en 12 heures. Les frais seront minimes. Deux studios, quelques animateurs et animatrices PERMANENTS. La lecture des questions et commentaires du public via internet. Abordons tout les sujets. La vérité nous libérera.
Radio-Québec est déjà diffusée via les ondes hertziennes , par satellite et aussi par câblodistribution. La chaine pourrait continuer a émettre sa programmation actuelle aux
heures pairs...et sa nouvelles programmation d'affaires
publiques aux heures impaires. Comme ce concept d’émission
d'affaires publiques se diffuse aussi bien a la radio, les
émissions pourront faire l'objet de reventes sur plusieurs
chaines...de radio. Cela, en direct et en différé. Les stations de radio pourront réaliser un profit en vendant
leurs publicités . Radio-Québec le fait déjà en diffusant
certains spectacles en direct sur ses ondes et sur les ondes de radio diverses. Les technologies sont déjà en place. Une diffusion en direct de Radio-Québec via INTERNET est technologiquement possible. Pour des raisons
économiques et environnementales, une légère réduction de la puissance d’émission hertzienne - DE NUIT - sera probablement souhaitable.
Des problèmes avec Stephan Harper et son CRTC ? Encore mieux ! Bienvenue dans le débat, Stephan !
13 octobre 2012
Je ne comprends pas la pensée de la Ministre en ce qui touche les écoles privées. Le système public lui-même fait de la sélection:sports-études, programme international, voie enrichie en maths...etc...
Le problème de fond: le financement!
13 octobre 2012
L'ex directeur de la SQ, M. Deschenes, sera affecté a des mandats spéciaux jusqu’à la fin de son mandat en Juin 2013.
Plusieurs facteurs expliquent cela. Les raisons présentées
par M. Richard Le Hir sont suffisantes pour démettre un directeur. Nous ne sommes pas autour de la table du conseil
des ministres donc nous ne pouvons que spéculer.
Cet article, de Kathleen Lévesque, alimente ma réflexion.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/361335/l-upac-ou-les-affres-d-une-escouade-specialisee
Les premières décisions de M. Mario Laprise devraient
nous apporter un éclairage supplémentaire.
12 octobre 2012
Monsieur Rancourt,
À la fin des années 1980, le directeur de la revue "Relations", monsieur Guy Paiement écrivait qu'au Québec, selon les statistiques qu'il détenait à ce moment-là, c'était dans les classes socio-économiques les plus défavorisées qu'il y avait le plus de solitude et le moins d'enfants.
Même si je n'ai pas les statistiques sur la situation présente, je ne crois pas que les choses aient beaucoup changé depuis les vingt dernières années.
Le PQ a-t-il vraiment fait quelque chose pour régler ce problème du "Québec cassé en deux" comme l'appelait monsieur Paiement à l'époque?
Déjà à la fin des années 1980, le PQ avait détenu le pouvoir quelques années. Ceci dit, le PLQ n'a pas fait mieux, c'est évident.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi certains ont quitté le PQ pour QS?
Le PQ n'a pas, à ce que je sache, instauré ce que le regretté Michel Chartrand appelait le revenu de citoyenneté universel afin que tous puissent vivre décemment et heureux au Québec et il ne parle pas de l'instaurer non plus.
Pourtant, il y a toujours bien des vies brisées au Québec.
Voici un résumé de la pensée de monsieur Guy Paiement et de monsieur Julien Harvey à ce sujet:
"LE QUÉBEC CASSÉ EN DEUX"
"En novembre 1988, Relations publie un
dossier intitulé : « Un Québec cassé en deux ». S’ap -
puyant sur plusieurs rapports de recherches faites
pour des institutions gouvernementales, Julien
Harvey, en collaboration avec Guy Paiement, produit
une synthèse originale des conclusions qui
présentent une nouvelle perception des inégalités
sociales au Québec, ainsi qu’une critique systématique
des politiques sociales du gouvernement.
Tandis que la gauche traditionnelle analyse le
conflit entre la classe capitaliste et la classe
ouvrière, Julien Harvey découvre que le Québec
est profondément divisé entre des zones en désintégration
− représentant le territoire occupé
par 46 % de la population − et des zones en
croissance − où vivent 54 % des Québécois. Le
gouvernement affirme que le Québec s’est développé
économiquement et est devenu plus riche après
la Révolution tranquille. Il refuse cependant d’admettre
que la distribution de la richesse est très
inégalitaire – ce qui produit la désintégration
sociale de plusieurs régions du Québec. Consé -
quence : il y a maintenant deux Québec en un.
Une première analyse distingue trois régions
territoriales différentes : le centre-ville où la pauvreté
se cache, les banlieues où habitent les gens
à revenu moyen et, enfin, les périphéries rurales
où la pauvreté prédomine. Les grandes institutions,
les établissements gouvernementaux, les
hôpitaux, les banques, les universités se trouvent
au centre-ville, là ou la pauvreté est discrète.
La plupart des gens qui travaillent dans ces ins
titutions habitent en banlieue. Et c’est vraiment
dans les régions rurales que la pauvreté confine
à la misère.
Les recherches sociographiques révèlent
que le sous-développement économique d’une zone
produit, à la longue, une désintégration sociale.
Les magasins et les petites entreprises ferment
leurs portes, les emplois deviennent rares, les
services sociaux déménagent, les jeunes quittent
pour s’installer en ville; y restent en bon nombre
les aînés, les personnes faibles et dépendantes.
La pauvreté s’y transforme en misère humaine.
Cette analyse préliminaire ne suffit pas
à faire saisir complètement ce qui se passe au
Québec. Les rapports scientifiques présentent
des analyses plus fines : études de petites zones
en ville, en banlieue et dans les régions rurales.
Dans ce dossier de la revue, Claude Barriault
présente une micro-analyse des zones en Gaspésie
et en Outaouais, comparant leur pourcentage de
personnes « dépendantes » – c’est-à-dire incapables
de se nourrir et de se loger de manière autonome,
à cause de leur âge ou de leur condition. Une carte
géographique indique, pour chaque municipalité, le
pourcentage des « dépendants ». Dans ces régions
rurales pauvres, il y a aussi des différences d’un
endroit à l’autre; une information précieuse pour
articuler une saine politique de développement
économique et social.
Le Québec est cassé en deux. Les zones en
désintégration se trouvent dans les deux corridors,
orientés d’Ouest en Est, au nord et au sud du Saint
Laurent; quant aux zones de croissance, elles se
trouvent sur les trois axes nord-sud, de Québec
à la Beauce, de Trois-Rivières à l’Estrie, et de
Montréal à Saint-Jean-sur-Richelieu.
Après cette analyse déstabilisante, le dossier
présente les mouvements de résistance présents
dans les régions et dans les villes. Julien Harvey
souligne que ces acteurs font preuve d’une sagesse
pratique qui peut aider le gouvernement à formuler
de nouvelles politiques sociales aptes à appuyer
les zones de désintégration. Selon son habitude,
Julien fait des propositions très concrètes. Selon
lui, les comités gouvernementaux responsables
devraient inclure des représentants des régions,
choisis parmi les acteurs expérimentés. Pour que
le milieu des puissants reconnaisse que le Québec
est cassé en deux, il faut une conversion de l’esprit,
une volonté de regarder la réalité sociale avec
les yeux et la perspective des groupes défavorisés.
Explorant cette dimension herméneutique,
Guy Paiement montre, dans le même dossier, que
la perspective des puissants produit la culture
dominante, partagée par les biens nantis qui ap -
puient la société telle qu’elle est, rendant ainsi
« invisibles » les appauvris et les exclus. Pour
reconnaître la réalité, il faut la regarder dans
une autre perspective, une perspective acquise par
la solidarité avec les démunis. Dans la théologie
catholique, on appelle ce principe herméneutique
« l’option préférentielle pour les pauvres ». On analyse
le monde dans la perspective de Jésus crucifié
et de toutes les victimes de l’histoire. L’article
de Guy Paiement révèle donc que le numéro « Le
Québec cassé en deux » est ultimement inspiré
par l’Évangile.
Ce numéro a influencé l’orientation de la
revue Relations. Fier de ce dossier, Julien Harvey
l’a même qualifié de scoop – étant donné qu’aucun
commentateur n’avait remarqué auparavant ces
rapports sociographiques ni n’en avait présenté
une synthèse. Relations a repris le même thème
dans trois autres numéros (avril 1990, avril 1992
et octobre 1992), ciblant d’autres aspects de la
même cassure. Julien Harvey et le comité de
rédaction ont continué à se solidariser avec les
groupes de défavorisés et à appuyer les efforts
pour transformer les conditions de vie de ces derniers.
Cette même attitude évangélique a influencé
– nous le verrons plus tard – le nationalisme de
Julien Harvey. Il a combiné de façon exceptionnelle
son appui passionné pour la souveraineté du
Québec avec son souci tout aussi passionné pour
l’accueil des immigrants et des réfugiés."
http://www.cjf.qc.ca/upload/cjf_autres/10_Brochure_Conf_GBaum.pdf
12 octobre 2012
@ Francis Déry:
Voici ce dont il est question dans le titre: "Attentat du Métropolis – les suites
Le directeur de la SQ démis de ses fonctions"
Il y est donc bel et bien question du Métropolis.
Par ailleurs, si Laprise a été nommé, c'est que Deschênes a été démis de ses fonctions.
Vous aimez gosser les poils de grenouille?
12 octobre 2012
B5hlZy mojvudnnfhku, [url=http://prqyypbjnhga.com/]prqyypbjnhga[/url], [link=http://zaomovnfhabc.com/]zaomovnfhabc[/link], http://bbrizanqpien.com/
12 octobre 2012
Je me demande bien pourquoi le PQ inquiète les classes aisées à ce point. Lorsqu'il a détenu le pouvoir antérieurement, le PQ n'a pourtant jamais amélioré le niveau de vie des pauvres. Donc, rien d'inquiétant pour les bonnes dames et les bons messieurs.
Et les gens à l'aise le savent bien, eux qui sont beaucoup plus politisés en général que ceux des classes socio-économiques inférieures.
Comme vous dites, les riches ont des raisons idéologiques de ne pas vouloir de hausse d'impôts et ce sont les raisons que vous invoquez dans votre article.
12 octobre 2012
Je crois que nous nous sommes égarés dans un vieux débat stérile. La proposition de M. Crevier porte sur l'opportunité de construire un front commun entre QS et ON dans le but de parrainer un RIP sur la question du système électoral. Je crois que cette idée est originale et tout à fait porteuse. Elle représente probablement la seule avenue permettant de bonifier la qualité de notre démocratie. Selon mon évaluation, ce thème pourrait recueillir aisément plus de 800,000 signatures en près de trois mois de campagne avec, à la clef, 80,000 nouveau membres pour les deux formations de l'alliance.
12 octobre 2012
J'écoutais Chris Hedges hier soir lorsque ce dernier citait:
The revolutionary nature of ufeathered capitalism without strict government control always descents in to a mafia political and a mafia economic system
Carl Pouluyani
(Je ne connais pas ce penseur du début du siècle, soyez undulgent pour l'épellation de son nom)
12 octobre 2012
Mme Marois aurait du prendre une leçon de Harper..même minoritaire il faisait ce qu' il avait dit qu' il ferait et tout ce qu' il voulait faire. Ex..les points de TPS.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!