Et bien entendu, plutôt que d'avoir un ou deux arguments bien fondés sur Faurisson, Baribeau n'a pas pu faire mieux que les détracteurs habituels du professeur, c'est à dire lancer des insultes pour cacher la faiblesse de sa position ("totale connerie", "bêtise").

Lorsque nous verrons d'autres sources sur cette affaire et que celles-ci ne sont pas issues des mondialistes Otan/Wall-Street/Sionisme, là nous pourrons faire un jugement éclairé sur cette situation à Hong-Kong. Autrement, c'est faire le jeu de la manipulation de ce Figaro qui, si je ne me trompe pas, est une propriété de Rothschild. Quoiqu'il en soit, une publication farouchement atlantiste et sioniste.

Je ne dis pas ça parce que je suis contre la gratuité scolaire, au contraire; sauf que si les Québécois y étaient attachés, ils auraient voté en plus grand nombre pour le parti qui défend cette gratuité scolaire, c'est à dire QS.

Les résultats des élections montrent qu'une majorité des étudiants a voté pour un autre parti que QS; ainsi, même les étudiants n'ont pas voulu voter pour la gratuité scolaire.

Je réitère mon opinion: Il devient très important que nous sortions sur la place publique avec les avantages d’être souverains politiquement. Je dis politiquement, car aucun pays au monde ne peut se targuer d’être indépendant économiquement. Nous devons comme le disait le PQ « Sortir et convaincre ». Il devient essentiel de ne pas chercher à nous battre pour nos votes entre nous. Nos maigres ressources doivent servir à amener les Québécois, de toutes origines, races, langues et religions à retrouver la fierté d’appartenir à NOTRE grande Nation.

Les luttes intestines basées sur l'amertume et le ressentiment amènent directement tout le mouvement souverainiste vers un nouvel échec qui lui serait irrévocablement fatal. Il n'y a personne de parfait et tous doivent apprendre du passé. On doit bâtir sur nos erreurs et non pas s'y laisser détruire.

Faire les «coachs» de salon est facile, critiquer et attendre est facile, par contre, apporter sa pierre à la construction de notre Pays demande efforts et dévouement. Pourquoi ne pas s'unir et arrêter de se diviser sur des «mon père est plus fort que le tien». Nous savons tous que le Québec doit être politiquement indépendant. C'est le comment qui fait obstacle. Alignons nos forces de conviction, mettons nos épaules à la roue. SVP, cessons de penser que nous nous savons et que les autres devraient se rallier. Cessons de croire et de faire croire que nous n'y arrivons pas. C'est avec notre foi, nos paroles et nos gestes que nous pourrons y arriver.

Je pose la question: Comment pouvons-nous faire avancer la Cause sans s'en prendre à nos alliés? Que nous manquent-ils? Est-ce un partage de nos arguments? Pourquoi ne pas tenter encore et toujours de convaincre pacifiquement que Nous formerons sur le territoire du Québec un pays prospère, laïc et démocratique, politiquement autonome, ouvert sur le Monde où le français sera la langue commune d’unité.
Dans le respect de soi et d’autrui, nous, Québécois de toutes origines, demeurant conscients de notre environnement, poursuivrons dans une logique de développement durable et responsable, la quête d’équilibres entre, à la fois des impératifs économiques et des objectifs sociaux tout en respectant nos valeurs fondamentales : la liberté, l’autonomie, l’équité et la justice sociale, l’égalité, la réalisation individuelle et collective, la solidarité et l’affirmation nationale.

Après avoir accéder à la Souveraineté, les débats gauche-droite pourront reprendre mais aujourd'hui, maintenant, c'est à la Souveraineté que nous devons travailler. Le projet de Pays doit être l'objectif commun.

Nous ne connaissons que très peu l’islam. Nous n’en savons que ce que les médias nous rapportent, massacres et violences. Une petite question en passant et je crois que cela intéressera beaucoup de monde. Nous entendons parler de Chiites et de Sunnites. Nous entendons parler qu’ils s’entretuent. Pourriez-vous nous expliquer quelle en est la différence? Cela pourrait-il être comparé aux violences dans l’histoire entre catholiques et protestants, toutes deux relevant pourtant de quelqu’un qui a aussi prêché la paix?

Ivan Parent

(Si tu me permet)

Je ne me réclâme de votre culte...

Mais lorsque j'entend l'écho d'une voix d'homme dans cette vallée des cris et des peurs...

Je la salue.

Je me dois de souligner que l'indépendance tel que vous le dites n'est pas un mal en soit, vous y étiez déjà... c'est le bol dans lequel on désire nous mettre qui n'est pas flexible...

On ne contient pas du liquide comme on contient du solide... et encore moins ... quand c'est gazeux.

Pourtant chaque forme a son usage, son essence, sa raison d'être.

Établir les lignes à ne pas franchir à l'intérieur de tels regroupements est un "combat" intellectuel de longue haleine.

La francophonie d'Amérique vous comprend très bien à cet effet... mais se dissocie de votre mal, n'y voyant pas que nous partagons la base de la pyramide du marasme.

De plus, ces deux peuples devraient cesser de se regarder de bord en bord de la barricade...

Lorsque vous regardez dans notre direction, il est inscrit "Dieu" sur la pallisade...

Lorsque nous regardons dans votre direction, il est inscrit "Allah" sur la pallisade...

Je m'indigne quand je constate que vous regardez tous...

La même pallisade.

Chacun de votre coté.

Encore une fois...

Vous ne m'estomaquez pas...

Vous me faites plaisir ce matin.

Bonjour chez-vous...

Et que les hommes se relève de cette fumée au raz du sol.

Pour se parler, dans la quiétude des hautes altitudes.

Les hommes étant les hommes, sans ce genre de suite, nous cesserons sinon ces cris...

Que lorsqu'il ne restera que toi et moi...

Salut Mr. Lofti!

Vendredi soir, TV5 diffusait un reportage sur la dernière traversée du Normandie entre Le Havre et NY. On y voyait St-Exupéry en train de tirer au pigeon d'argile sur le pont du célèbre paquebot en 1938. Est-ce lors de ce voyage qu'il est venu à Québec où il a rencontré le jeune De Konick qui lui a inspiré le petit prince?

Stephen a travaillé pour les services de renseignements américains dans la traduction du japonais au lieu de servir sur le front. J'ignore à propos de la qualité de ses traductions ou si elles ont délivré du renseignement important.

Il a déjà qualifié de populisme les assemblées de nationalistes. Alors je comprend ses craintes.
Pour lui, la gouvernance doit se limiter à une élite.
Les autres sont faits pour le boulot et ne devraient pas se mêler de gouvernance.
Le populisme serait l'approbation du pouvoir des démagogues.
Et, bien sûr, les démagogues cherchent à se faire aimer.
Ce qui est leur talon d'Achille. Machiaveli disait bien qu'un Prince ne doit pas se faire aimer, mais se faire craindre.