In memoriam
« Les patriotes se reconnaissaient entre eux en se saluant avec un “ bonjour Jean-Baptiste ” »
La traditionnelle clarté logique du français n’a pas à être remise en cause
Pire, à Montréal et Gatineau, c’est le bilinguisme qui prime
« L’avenir de la culture québécoise ne se décide pas à Ottawa, il se décide au Québec »
La liberté de pensée demeure irréductible
Le bouclier : la constitution stipule que « la langue de la République est le français »
La destruction programmée des peuples par le progressisme allié au libéralisme
Ce fieffé lord Durham ne serait-il pas le véritable inspirateur de la « théorie » du « grand remplacement » ?
Le Québec doit rapatrier tous les pouvoirs en immigration
L’Église a porté la montée en force de la nation de 1840 à 1960. Depuis, c’est la pente descendante...
Il a même contribué au rayonnement et au dynamisme du Canada français et du Québec.
Penser le Québec comme un État plutôt qu’une province, et donner au français le statut d’une langue d’État
« Un peuple, une nation, un État national se définit et se constitue politiquement par une constitution »
Les mécanismes constitutionnels existants : « le plus prometteur de ces mécanismes est sans doute celui qui permet au Québec de se doter de sa propre constitution »
« On ne saura jamais ce que la peur de ne pas paraître suffisamment à gauche aura fait commettre de lâchetés », disait Péguy
Sans l’Église, l’institution politique qui nous a portés de 1840 à 1960, le Québec serait devenu la Louisiane du Nord
« Ce qui a été le plus sous-estimé depuis dix ans, quand je parle avec mes pairs, c’est le risque géopolitique »
« L’extrémisme islamique violent est la principale menace pour la sécurité nationale du Canada »
La dissolution de l’identification au territoire
« Je me sens plus respectée au Québec que je ne l’étais dans mon pays d’origine »