C’est pour bientôt
4 août 2012
Cette image m'avais déjà frappé.
Accolade: triple embrassade avec toucher de la main sur l'épaule.
http://www.lexpress.fr/informations/la-franc-maconnerie-decryptee_651468.html
Accolade - Coup porté sur l’épaule du plat de la main. Elle se pratique sous la forme d'une triple accolade accompagnée du baiser de paix et de fraternité.
http://www.ledifice.net/3181-9.html
THE FIVE POINTS OF FELLOWSHIP
During initiation into the Master Mason Degree, the candidate first receives the Real Grip of a Master Mason, along with instructions in how it is properly communicated, as he is "raised", or resurrected, at the conclusion of the Hiramic Legend. The Worshipful Master, or a lawful designee, reaches down and grasps the hand of the candidate by this grip and "raises" him from the dead to the position known as the Five Points of Fellowship.
The Five Points of Fellowship is demonstrated as the Worshipful Master and candidate embrace one another thusly: foot to foot; knee to knee; breast to breast; hand to back; and cheek to cheek, or mouth to ear. While in this position, and at low breath, the Worshipful Master then whispers "Mah-Ha-Bone" into the ear of the candidate. "Mah-Ha-Bone" is the substitute for the Master's Word. It means, "What, the Builder!". This proper means for an exchange of the substitute for the Master's Word is alluded to in the Obligation of a Master Mason: "Furthermore, I do promise and swear that I will not give the substitute for the Master's Word in any other way or manner than that in which I receive it, which will be on the Five Points of Fellowship, and at low breath."
http://www.usatoday.com/sports/olympics/beijing/2008-08-08-leaders_N.htm
Ce sera passionnant de voir l'actualité du 12 décembre 2012, en particulier si c'est un Mormon qui devient le Président des États-Unis d'Amérique.
http://www.wheatandtares.org/2012/04/04/the-sacred-embrace-as-five-points-of-fellowship/
Excusez ma digression par rapport au sujet de monsieur Le Hir.
Même si Obama fut élu grâce principalement aux dons des grandes banques américaines sionistes comme Goldman-Sachs, il a refusé de s'empêtrer dans une guerre contre l'Iran. Il a cherché à temporiser. On se souviendra de l'évocation d'un complot du Mossad pour liquider l'obstacle Obama dans le Atlanta Jewish Times en janvier dernier.
Obama ne s'est pas engagé contre Khadaffi. Il a laissé la France de Sarkozy mener l'assaut pour s'en laver les mains.
Les forces politiques poussent à l'invasion de la Syrie, puis de l'Iran. Si Obama se dégage, il pourrait finir comme JFK ou Robert Kennedy. Il le sait et il cherche à manœuvrer pour finir son mandat en vie sans toutefois devenir le tyran fou muni d'un prix Nobel de la Paix pour démarrer la Troisième Guerre Mondiale.
Je donne ce point à Obama. Stephen Harper est plus empressé de faire cette guerre que ne l'est Obama. Sans doute parce que l'Alberta est bien loin des champs de batailles à venir et que le prix du pétrole monterait à la stratosphère tandis que les Américains compteront seulement sur le Canada et le Mexique pour s'approvisionner.
On comprend dès lors beaucoup mieux comment Nicolas Sarkozy, que les Américains contrôlaient entièrement, y compris par des liens familiaux , a pu servir leurs intérêts au point même de leur permettre de se cacher derrière lui (et derrière le Canada de Harper) à certains moments, comme dans l’opération contre la Libye.
----Richard Le Hir dans son texte
L'erreur est d'écrire que les Américains contrôlaient Sarkozy. Il y a généralisation au peuple américain.
Ce sont les banquiers américains qui contrôlaient Sarkozy via les faveurs accordés à son demi-frère Olivier Sarkozy travaillant à NY pour UBS, et qui est devenu en 2008 co-directeur des services financiers internationaux du Groupe Carlyle.
http://www.lefigaro.fr/societes-etrangeres/2008/03/04/04011-20080304ARTFIG00328-oliver-sarkozy-banquier-d-affaires-vedette-d-ubs-recrute-par-carlyle-.php
Et les banquiers ne sont pas si américains, mais plutôt des cosmopolites.
Un processus semblable pour le frère de John Charest, qui a reçu beaucoup de contrats du gouvernement fédéral après le passage de JC à Québec.