Lorsque j’étais policier en Colombie!
25 mai 2012
Ce témoignage nous va droit au cœur. Vous nous décrivez une situation qui n’en est pas arrivé jusque là au Québec, cependant, comme vous le suggérez, il faut être aux aguets car ce qu’on voit ici avec la sauvagerie policière qui s’attaque à sa propre population, ça pourrait dégénérer en une guerre civile, meurtrière. J’ai comme l’impression que bandit Charest n’attend que ça pour faire intervenir l’armée. Vous faites appel à l’honneur des policiers. C’est un beau geste mais il faudrait d’abord qu’ils en aient un. La façon sauvage avec laquelle ils attaquent la population innocente, ne laisse pas présager un avenir reluisant. S’ils accompagnaient la population pour déloger les vrais criminels à Québec, ça règlerait au moins les violences immédiates. Il est évident qu’il existe dans toute manifestation des éléments perturbateurs mais si les policiers n’envoyaient pas leurs propres agents infiltrés, les provocateurs, ça se passerait beaucoup mieux. L’hypocrisie de Charest est révoltante quand on le voit exhorter les manifestants à la non violence et au calme. Il devrait dire ça à ses propres hommes de main en uniforme.
On tape sur la tête de John James Charest, c’est la partie visible du monstre corrupteur. Les oligarques comme Paul Desmarais et consorts l’ont choisi parce que c’est un personnage véreux, un magouilleur de première expulsé du cabinet Mulroney (pourtant un magouilleur lui-même) pour conspiration et tentative d’influencer un juge. C’est bizarre personne ne semble se rappeler ces antécédents de Charest-la-matraque.
M. Herrera, nous sommes fier de vous compter parmi les nôtres et, à l’instar de Donald Patriote, ‘’Pablo Mi amigo tu seras toujours un frère pour nous tous ici au Québec toi et ta belle petite famille. ‘’
Ivan Parent