La dissidence d'un absent
7 mars 2012
Merci, M. Côté, pour cette analyse très perspicace des joviales conclusions de ce groupe de sage. Nous avons notre propre groupe de sage au Québec et je suis certains que M. Jean-Martin Aussant ne fera qu’une bouché de ces conclusions. Si cet argumentaire sert de base à une éventuelle campagne de propagande fédéraliste, nous allons bien nous amuser. Harpeur, quant à lui à déclarer qu’il se contentera d’ignorer les demandes du PQ. L’objectif est de ne faire aucunes vagues susceptibles de réveiller la ferveur nationaliste endormie depuis 1995. Ils connaissent déjà la vieille tactique du PQ de jouer la victime et de se livrer à un quémandage dégradant, avilissant et honteux. Il nous annonce d'avance que cette attitude sera un échec.
En fait, je me tue à répéter que le Québec possède un rapport de force inouï sur la Canada parce qu’effectivement, M. Côté, le Canada n’est rien sans le Québec. Et oui, le Québec cessera d’être pauvre en s’affranchissant du carcan fédéraliste ! Il est certain que le Canada réagira fortement à une démarche comme celle que préconise O.N. Cependant, nous avons le rapport de force suffisant pour le mettre à sa place s’il osait aller trop loin dans l’ingérence de notre pays souverain, le Québec. Toutes actions illégales qui iraient à l’encontre de nos lois démocratiquement votées par notre assemblée législative sur notre territoire de la part de ce gouvernement étranger entraineront automatiquement des représailles économiques et politiques qui effectivement détruiront ce qui restera du Canada.
L’esprit de colonisé existe malheureusement encore au Québec. On le voit avec ces délégués québécois bien sélectionnés pour leur attitude de soumission et qui apparemment ne servaient que de potiches dans ce comité de sages pas très brillant. Les attitudes de ces nègres-blancs doivent à partir de maintenant être réprimées moralement par une dénonciation systématique. La peur doit changer de camps afin que la soumission de ces clercs aille envers le peuple du Québec d’abord et non pas envers une puissance hostile au Québec. Des élections sont imminentes. La guerre, c’est donc maintenant !