Vous allez vous ennuyer avec votre ami
16 janvier 2012
À M.Serge Charboneau.:« Quelle désolation et quelle perte d’énergie toutes ses chamailleries que l’on peut lire sur ce site, Vigile. Il y a de quoi repousser tout nouveau venu. Je trouve cela d’une tristesse!»
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Votre citation est très pertinente. Au contraire, c'est à se parler respectueusement que l'on peut trouver une solution, et surtout, cerner le problème. Les grandes réussites passent presque toujours par des échecs. Cependant, il faut être capable d'analyser, où en sont, nos erreurs.
Ainsi, Le PQ est brûlé par ses chicanes internes qui le divise et morcellent les forces indépendantistes par d'autres parties. Ce n'est pas en créant 10 autres parties indépendantistes que l'on va solutionner le problème. De plus, cela cause un perte de crédibilité vis-à-vis l'électorat, qui ne voit plus, que la chicane, au PQ, au lieu de voir, un gouvernement libérale au prise avec une corruption qui mine son intégrité.
Et ainsi, M.Charest est mort de rire, car malgré toutes les conditions gagnantes que les souverainistes auraient pour prendre le pouvoir. Ceux-ci, les gaspillent en ne proffitant pas, de cette chance, pour l'attaquer de plein front sur les derniers scandales économiques.
Pendant ce temps, M.Charest sait ce qui attire l'attention du peuple. Et comme, le peuple, marche à la vitesse du SON des médias, il parle d'économie et du PLAN NORD. Et EN PLUS, on le voit se promener avec M.le maire Régis Labeaume, l'homme politique le plus populaire du Québec. Il fait petter les milliards avec les projets du nord. Le monde ne voit plus que ça, et de l'autre côté, on ne voit que Madame Marrois qui est au prise avec une nouvelle crise politique se son partie, tout un contraste néfaste.
Donc, les conditions gagnantes pour Charest ne sont plus très loin, et quand, il déclenchera les élections, on sera encore à se battre à coup d'analyses afin de savoir, à qui, on doit faire confiance pour remettre la souveraineté sur les rails. Sûrement que le PQ aura mangé toute une dégelé.
Et le pus lamentable, c'est que nous avons tout pour gagner, et pourquoi, ne sommes-nous pas capables de s'entendre sur un vrai plan de match? Est-ce à cause de luttes de pouvoirs internes? Sommes-nous, plus à droite que le partie libérale???
Voilà là, de bonnes questions à se poser. Et encore, n'oublions pas que nous avions le pouvoir, il n'y a pas si longtemps, et qu'avons-nous fait pour le conserver? Ce qui m'attriste, c'est de voir que tout ce que l'on avait batti dans le passé, comme nos sociétés d'États; c'est de voir, que leurs fondements idéologiques sont en voie de disparition. C'est à dire, que le sentiment d'appartenance au peuple, semble bien plus celui d'un outil, du pouvoir, servant à une clique qui se l'approprie.
M.Parizeau, a raison de se fâcher et de remettre, de temps en temps, les pendules à l'heure de la raison. Mais, il se fait, de plus en plus tard, et si personne ne se réveille à temps, se beau rêvve, n'aura servi qu'à des élites politiques, pour se remplir les poches, parmis tant d'autres.