Je voudrais simplement demander à l'auteur de cet article s'il parle du projet de constitution élaboré par Deaniel Turp?
Portrait robot d'un chef
28 avril 2007
Je m'étonne qu'après tout ce qui se passe on ramène avec une superficialité déconcertante le problème du PQ à la question du chef. Ce type de bricolage, destiné d'abord à faire remonter les scores électoraux, est la garantie que le PQ ne sortira pas de sitôt du marasme dans lequel il semble durablement plongé. L'ambiguïté historique du PQ sur la question nationale est à la base de ses déboires. La croyance naïve que la souveraineté peut advenir sans s'engager dans un combat opiniâtre de tous les instants est le propre du nationalisme qui demeure prisonnier de la gangue fédéraliste. Ce fut le cas de l'Union nationale, du PQ (qui a renouvelé pour un temps le discours nationaleux)et aujourd'hui de l'Action démocratique(la nouvelle mouture). Si aujourd'hui, Monsieur Guillaume, votre ambition est de battre l'ADQ sur ce terrain, je vous souhaite bonne chance. En ce qui concerne la fibre nationaliste, l'ADQ a une longueur d'avance et plus de crédibilité que le PQ. Mais peu importe, cela ne fera que continuer à nous faire tourner en rond. Du bricolage politicien.
Portrait robot d'un chef
27 avril 2007
Monsieur Facal, chef?
Du Nouveau PQ?
Facal est un confédéraliste comme Lucien Bouchard et Landry.
Quelqu'un d'autre? Impossible à trouver. Ils ont tous la même maladie. La maladie du pouvoir.
Nestor Turcotte
Matane
Poison mortel
27 avril 2007
Chère Madame,
JE viens d'entendre Boisclair en point de presse. Si cet homme n'est pas imbu de lui-même, je ne sais pas qui il est. Que de mots. Que de coup d'encensoir pour son «je»...
Des fois, je me mets à penser que c'est l'homme des fédéralistes.
Nestor Turcotte
Matane
Biopsie de la campagne post-électorale
27 avril 2007
Bonjour à M. Maltais,
Je vous trouve très arrogant de nous avoir décortiqué dans les moindres détails les résultats du vote du 26 mars 2007. RAISON: vous avez manqué à votre principal devoir de citoyen en n'allant même pas voter. Comment pouvoir expérer un pays un jour? Franchement vous repasserez...
La Palestine
27 avril 2007
Le Canadien anglais a tendance à favoriser le côté d'Israël à cause de la proximité des juifs et de la finance. Le Québecois francophone a tendance à favoriser le côté de la Palestine à cause de sa son empathie pour ceux qui se font envahir, voler et coloniser comme ses ancêtres.
Avoir un préjugé favorable à un des 2 côtés n'empêche pas de tenter d'aider à résoudre ce problème cornélien.
Portrait robot d'un chef
27 avril 2007
Se pourrait-il que ce texte ait été écrit de la même façon qu'on commence un labirynthe par la fin, c'est à dire en ayant déjà en tête un chef potentiel dont on feint d'énumérer avec détachement les qualités requises? Une jeune père de famille habitant le 450, ayant fait des études poussées à l'étranger et écrivant dans le Journal de Montréal? Cela correspond de tellement près au profil de Joseph Facal que ç'en est louche. Quant à ce dernier, il est loin d'être sûr qu'il soit intéressé à sacrifier au bénéfice du PQ les belles années de sa quarantaine durant lesquels grandiront ses jeunes enfants. Quant à son image de centre-gauche, il est possible et même probable qu'elle nécessiterait un vigoureux polissage.
Christian Gagnon
L'urgence de remettre en question les vieux paradigmes
27 avril 2007
On voit très bien qu'il n'y a personne dans l'establishment du PQ qui peut réformer ce parti.
Vous pouvez publier tous les modes d'emplois imaginables, c'est peines perdues.
Quant à Boisclair, il ne reste que quelques "groupies" illuminées autour de lui. Soyons réaliste un peu. Souvenons nous de son début comme chef, la lenteur qu'il a mis à se mettre au travail. "J'arrive". Et une fois au poste à l'assemblée, sa piètre performance pour ne pas dire son absence. Et puis sa lenteur de démarrer la campagne électorale et ses discours creux une fois parti.
Et encore maintenant, son absence prolongée après la campagne et se contente d'annoncer son désir d'attendre jusqu'en 2009 pour une remise en question.
Il ne réagit à rien du tout sur l'actualité ou même à des sujets qui pourraient êtres profitable pour une réafirmation nationaliste du PQ.
Il se garde encore en retrait, dans un mutisme qui semble vouloir une fois de plus se prolonger.
Laissant toute la place et l'opportunité aux contestations contre son leadership.
C'est à se demander sérieusement si ce gars aurait pas été "placé" là pour "éteindre" le PQ.
Portrait robot d'un chef
27 avril 2007
Salutation citoyennes et citoyens,
Tout est ramené encore une fois à la question du PQ... C'est réducteur pour la réalité de la Patrie... La Patrie n'existe pas seulement au sein du PQ... Il y a plus de souverainistes hors du PQ qu'en son giron...
Tandis que le PQ se cherche, il revient au mouvement indépendantiste de s'afficher comme une mouvance. Un parti indépendantiste pourrait voir le jour alors... ?
Gilles Brassard
Portrait robot d'un chef
27 avril 2007
Le Parti québécois a besoin d'un portrait robot pour le diriger. Vous avez absolument raison. Ce parti n'est pas gouvernable parce qu'il porte en lui trop d'ambiguïtés pour arriver à trouver le chef qui pourrait prendre les destinées de ce qui reste des troupes. Il faut laisser les péquistes essayer de trouver la quadrature du cercle.
Si les indépendantistes veulent être sérieux, faire un travail en profondeur, ils doivent trouver le chef, non pas idéal, mais le chef convaincu de la cause à porter et capable d'en porter toutes les exigences et les sacrifices.
On ne peut trouver cela dans un parti politique. Car la petite politique ne s'occupe pas des grandes causes. Elle ne s'occupe que des préoccupations journalières, celles qui peuvent faire la différence entre une ré-élection ou une future défaite.
Nestor Turcotte
Matane
Portrait robot d'un chef
27 avril 2007
M. Rousseau, spécialiste en sciences politiques souhaite un chef du PQ qui serait nationaliste, pas trop vieux, dans le 450, pas trop à gauche etc...mais semble oublier qu'il devrait être principalement : SOUVERAINISTE.
Le parti Libéral provincial est carrément fédéraliste et le parti Adéquiste est déjà autonomiste et nationaliste. Il reste l'option souverainiste qui n'est ni à gauche ni à droite ni dans le 450. C'est M. Louis Bernard qui résume le tout en refusant que le PQ gère une province mais explique mieux ce qu'il ferait dans un Québec souverain et se ferait élire sur cette base suvi d'un référendum rapide pour confirmer le tout. Si un souverainiste n'est pas prêt à faire la souveraineté, il a le choix de voter pour autre chose.
Si le PQ désire continuer à être un parti qui souhaite gouverner une province, qu'il se saborde ou quM'il efface son option sur la souveraineté.
L'urgence de remettre en question les vieux paradigmes
26 avril 2007
Très cher Monsieur,
Je vois tout de suite dans quelle direction vous penchez. Vous êtes comme vos confrères péquisto-confédéralistes (et vous ne pouvez me démontrer l'inverse), quand on met les points sur les «i», on se fait vite taxer de dénigreur, d'être susceptible, de ne pas avoir le pas, de nuire à la cause, ...et j'en passe. Je connais le catéchisme péquiste par coeur.
Et le pire dans toute l'aventure depuis 40 ans, c'est que ceux qui ont le courage de dire ce qu'est faire l'indépendance, se font accuser de nuire à la cause. Alors que c'est justement ceux qui ne sont pas capables de se définir - le PQ, par exemple, véhicule une pensée floue où n'importe qui qui se dit souveraniste peut venir s'abriter - qui nuisent à la cause que les indépendantistes défendent.
Bonne chance dans la nouvelle stratégie. Vous serez mort et il y en aura d'autres qui vous auront remplacé pour en élaborer une nouvelle qui ne marchera pas davantage.
La question demeure la même: le PQ est-il, oui ou non, indépendantiste. La réponse est NON. ALors, que faire? J'ai donné ailleurs ma position.
Alors, essayez de transformer, par l'intérieur, un Parti qui dit qu'il est souverainiste, mais qu'il n'a pas la moindre envie de faire l'indépendance. Ce qui intéresse ce parti, c'est le pouvoir. 40 ans d'histoire sont là pour le prouver.