J'aime mieux Goéland parce qu'il mange n'importe quoi et qu'il se nourrit des restes des autres...
Un politicien québécois peut-il se permettre un tel luxe?
21 octobre 2006
Adressez vous au bureau de publicité des droits du comté et visitez le registre foncier.
Vous y trouverez la liste des transactions sur les propriétés et pourrez déterminer quand qui a acquis quoi. Pareil pour la maison en Ontario. Bonne chasse!
Et les taxes municipales et scolaires de toutes ces propriétés vopus seront aussi disponibles auprès de Commissions scolaires. Le nom des propriétaires y apparait.
Mom Bouchard
20 octobre 2006
Mon Dieu que vous avez raison.
Claude Perron, Boisbriand
Les propos d'André Boisclair sous la loupe du RIQ
19 octobre 2006
Je viens de lire votre article sur Vigile. Il m'apparaît que vous êtes très patients, même trop patients quant à moi et de nombreux Québécois. Même si dans la circonscripion où j'habite, Crémazie en l'occurrence, une candidate renommée veut devenir députée du Parti Québécois, pour la 1ère fois depuis l'arrivée du RIN en 1966 et du Parti Québécois un peu plus tard, mon épouse et moi, songeons fortement à accorder nos votes, à tout indépendantiste autre que Mme Lise Lapointe, puisque le parti de Boisclair ne répond plus à notre idéal. Dans ce sens, même un indépendant se présentant sous le vocable «d'indépendantiste» sera assuré de recevoir notre vote. S'il arrive que ce candidat ou cette candidate est élu, nous en serons très heureux, puisque nous croyons que c'est à partir d'une défaite que le Parti Québécois pourra se remettre au travail en fonction de notre idéal, ou qu'il cèdera la place à un parti politique dont le «seul objectif» sera de faire l'indépendance,en administrant le pays sous la philosophie sociale-démocrate,radicale quant à moi,en attendant que notre pays accède à l'indépendance. Dans ce sens, avec plusieurs indépendantistes, je souhaite que naisse un vrai parti capable de véhiculer notre idéal, en dehors des structures d'un «bon gouvernement» «sic» imprégné du besoin de ne pas déplaire à nos ennemis, ce que fait le Parti Québécois depuis 1976, sous l'influence morbide d'un certain Claude Morin et la complaisance d'un Premier ministre trop anglophile pour réaliser l'indépendance de notre pays.Comme me l'écrivait un grand indépendantiste toujours vivant ayant lu un article assez radical merci,que j'écrivais dans l'Action Indépendantiste du Québec, seul le radicalisme permettra à notre pays de devenir indépendant.Retenons que Québec solidaire (pas plus que les partis de la gauche à la sauce paul Cliche) ne correspond pas au genre de parti pour lequel nous voterons, ce parti faisant passer sa philosophie avant l'indépendance que nous recherchons et que nous souhaitons voir naître dans les délais les plus brefs.
Mom Bouchard
18 octobre 2006
Mme. Moreno,
J'espère que vous aurez fait parvenir ce petit bijou au principal intéressé.
Merci pour vos billets,
Guy LeSieur
Se rendre maître de la réalité politique
15 octobre 2006
Votre parallèle avec le gouvernement de Jacques Parizeau est très intéressant monsieur Perry, mais incomplet. En effet, le slogan de Jacques Parizeau en 1994 était "L'autre façon de gouverner". Ça fait très "bon gouvernement" ne trouvez-vous pas? Durant la campagne électorale de 1994, le PQ ne voulait pas que le débat porte sur le référendum et sur la souveraineté. Il tentait plutôt de proposer une alternative gouvernementale et de faire la critique du bilan des libéraux de Johnson. Le référendum durant le mandat était une promesse clair et assumé, mais on tentait d'en minimiser l'impact comme à chaque élection auquel le Parti Québécois a participé.
Jacques Parizeau a été un grand chef, probablement le meilleur que le Québec ait connu. Mais dans vos louanges, ne tronquez pas la réalité dans l'espoir d'affaiblir le chef actuel. Jacques Parizeau n'a pas livré, antérieurement a l'élection, un plan de transition / des études d'impacts / une consitution provisoire / un budget d'un Québec souverain - ce que le programme demande à monsieur Boisclair de faire.
Les militants auront raison de se montrer critique envers le chef actuel si le référendum promis au courant du premier mandat devient hypothétique à des conditions gagnantes ou a une réalité politique quelconque. Cette étape, soyons honnête, André Boisclair ne l'a pas franchi.
Migration des sièges sociaux: Jane Jacobs, Robin Philpot, Henri Aubin et al
14 octobre 2006
J'ai savouré chaque mot de ce texte. Merci Monsieur Sauvé !
L'heure du choix entre la souveraineté du Québec ou le déclin de Montréal! (1)
13 octobre 2006
Pour fins de discussions, j'ai mis les trois premiers chapitres du livre de Jane Jacobs sur mon blog:
Chapitre 1
11 octobre 2006
Monsieur Pratte,
André Boisclair a raison de ne pas tenir compte de cette
partie du programme: l'important pendant la campagne,
c'est le POURQUOI on doit devenir indépendant et là, il
y en a des raisons, croyez-moi!
Le projet de pays, il se fera démocratiquement,
ce n'est pas une plate-forme électorale.
Est-ce qu'un seul parti peut décider pour tous les québécois
dans quel genre de société ils vivront?
Gesca continue son travail de sape: il faut garder les
québécois petits et soumis: " Si on aime René Lévesque,
c'est parce qu'il était un looser, c'est par nostalgie, parce qu'il
nous ressemblait. Lisette Lapointe, déjà surnommée "Madame",
est intriguante, ratoureuse, et si elle était nommée au Conseil
des ministres, ce sera dû au fait qu'elle est la femme de Jacques
Parizeau.... plus ti-coune que ça... tu meurs!
Plus Gesca veut nous faire sentir petits, plus nous
nous nous sentons grands.
Changez de musique s'il vous plaît, vous n'êtes
même pous crédibles.
Thaïs Potvin
Ces questions que l'on ne pose pas à TLMP
11 octobre 2006
Monsieur Bégin,
J'ai lu avec intérêt votre texte. Je vais vous dire ce que je pense:
Guy A. s'est fait "passer un savon" par ses patrons et peut-être même a -t-il
été menacé de congédiement...
Une chose que vous n'avez pas mentionnée:
est-ce que Guy A. va recevoir les autres candidats à la
chefferie?
Les élections s'en viennent: Radio-Canada-Gesca commence
à s'activer! Ils seront à surveiller.
Merci de votre travail, j'attends le prochain journal Le Québécois.
Thaïs Potvin
Les Québécois ne sont pas une « solitude », Votre Excellence!
3 octobre 2006
M. Girard,
Plutôt d'accord avec vous concernant la GG, mais....
Si 60% des Québécois ont voté oui en 1995, c'est de deux choses l'une: soit les immigrants ne sont pas des Québécois et ne devraient pas avoir le droit de vote, soit vous ne savez pas compter!
Je pense qu'entre souverainistes on doit se dire les vraies choses. À cet égard, je suis plutot de l'avis de Parizeau qui disait, plein de dépit, «la prochaine fois, on va voter à 65% pis on l'aura notre pays».
Mais l'amertume est un poison. Des attitudes comme la votre mènent directement à la partititon. J'ai fait le calcul: en enlevant les 25 circonscriptions qui ont donné le plus de vote au non en 1995, le oui aurait passé à 56%.
Mais nous aurions perdu...
D'Arcy-McGee
Jacques-Cartier
Robert-Baldwin
Pontiac
Notre-Dame-de-Grâce
Mont-Royal
Westmount-Saint-Louis
Saint-Laurent
Nelligan
Acadie
Jeanne-Mance
Chomedey
Marguerite-Bourgeoys
Chapleau
Gatineau
Hull
Viau
Viger
La Pinière
Outremont
Papineau
Laurier-Dorion
Brome-Missisquoi
Marquette
Vaudreuil
Par ailleurs, si vigile ne survit pas, ne serait-ce pas parce que trop de modérés ne vous suivent pas dans vos idées qui paraissent parfois extrémistes? Moi je crois qu'on a besoin de tous les souverainistes, mais qu'on a surtout besoin de convaincre les ambivalents: leurs craintes nous semblent absurdes mais elles sont légitimes. Soyons confiants plutot qu'amers, et allons les chercher.
amitiés
Georges Lemieux,
Québec
Une autre usurpation programmée
29 septembre 2006
Le fédéral ne devrait absolument pas se mêler de quoi que ce soit dans le contenu et l'organisation des festivités. Mais bien qu'il faille insister sur la fondation de la ville par Champlain et son caractère français, une mise en perspective historique ne serait pas mal venue, incluant la dimension imaginaire. Je donne pêle-mêle quelques repères qui me viennent en tête. Savons-nous, par exemple, que John Hancock, premier signataire de la Déclaration d'indépendance, a été élevé au grade de maître maçon dans une loge militaire durant l'occupation de Québec par les armées de Wolfe ? À deux reprises dans Moby Dick, l'un des chefs d'oeuvre de la littérature américaine, l'auteur se réfère à Québec : a)lorsqu'il écrit à propos d'une chaire où un prêtre monte pour son sermon (« leaving him impregnable in his little Quebec ») et b) lorsqu'il parle du cerveau d'une baleine (« it is hidden away behind its vast outworks, like the innermost citadel within the amplified fortifications of Quebec »). À la fin de Lolita, si je me rappelle bien, Nabokov rapporte une rencontre à Québec entre un prêtre catholique et le narrateur dément. Etc.