« Un peuple qui n’est pas maître de son destin... »
30 mars 2016
Mme Jean,
Votre article lourd de sens historico-démographique à portée néocolonialiste d’auto-infiltration m’a inspiré ce commentaire sur la refonte réelle d’un indépendantisme-Cause, non plus de carriérisme néolibéral réactionnaire infiltré, incrusté au point d’un multiculturalisme à prétention mensongèrement patriotique. La sortie post-événement Marine Le Pen de Jean Dorion est patente (à gosses desmaraisques) de monstration, de manipulation fédéraliste de masse, de la plus vulgaire évidente récupération de dommage collatéraux appréhendés par le Décideur-Prédateur d'en Haut. Preuve évidente aussi que la Société St-Jean-Baptiste contrevient pantoise, stérilisée et bras baissés, voire liés, à sa mission d’origine. En s’abaissant ainsi, cet organisme devient clownesque, qu’objet accessoire du cirque libéral pancanadian de service anglophilisant comme islomaphilisant.
Une réelle politique d’immigration émanant des exigences de la Cause, oblige à définir doctrine d’État et constitution du Québec. À qui DOIT, avec droits et statuts propres, profiter l’État du Québec? Si c’est au peuple et en priorité le peuple qu’il doit servir en tant que nation Québécois-Française, une politique d’immigration face à l’invasion massive servant l’assimilation génocidaire de l’Anglo-fédéralisme, doit présenter des mesures coercitives d’urgence nécessairement.
Penser l’immigration, c’est penser la langue, penser la langue, c’est penser la nation québécoise-française en mode de survie, d’extinction génocidaire en fait. L’immigration ainsi devient : remise en question dans ses fondements en vue de sa fonction présente et à venir.
La Cause, prise au sérieux d’une doctrine et d’une constitution du Québec explicités aurait conduit à exposer Nos réserves propres de la part du PQ comme de PKP en chef d’État authentique parlant à l’international aux côtés d’une Marine Le Pen alliée, non pas traitée en « ennemi », d’autant en vue de celle, naturelle alliance, d’une France présidée enfin pour vraie.
Fuir, révéla que sur ce dossier comme beaucoup d’autres, il demeure, ce PQ-PKP, dans l’errance à flotter en surface, même géostratégiquement.
Car avec et devant Marine Le Pen, du peuple en sa souveraineté ontologico-existentielle jusqu'à sa défense armée, tous les sujets d’un pays du Québec pouvaient se traiter sur le mode du « faire de fait » un pays, non pas du brouillon, du cafouillage, du grenouillage et scribouillage.
L'Événement créait du pré-électoralisme en puissance comme un pré-État-nation d'alliance de par le Monde. À la distinction hautement diplomatique, le sirupeux du terroir drabe fut subi d'un Commandeur de l'ombre.
S'allier pour vrai, le Vrai, n'est aucunement fusionner! PKP, le marié divorcé, n'était-il pas bien muni pour faire la différence avec un grand "D" de Délivrance, contre un gros Tas-ta, comme dans Trou du c..., de fédéralistes néo-libéraux?