Capotons-nous?
30 mars 2009
Je suis heureux aujourd'hui d'avoir lu le texte de M. Turcotte ainsi que les commentaires qui suivent. Ce que j'ai trouvé entre les lignes m'a désarmé.
Je sais qu'un abime nous sépare, moi l'athée et vous les croyants. Je sais maintenant que nous sommes proche, très proches, en tant qu' humains. En vous lisant, j'entends mon oncle le jésuite disparu il y a 4 ans, lui qui était plus près de mes préoccupations que mon propre père. J'entends mes frères et sœurs, fragiles. J'entends aussi ma mère qui nous quittera bientôt. Je sens la présence de cet espoir intense qui leur permet de vivre avec le sourire malgré ...
Non, je ne pense pas qu'on se reverra ailleurs, plus tard. C'est pourquoi je leur dirai bientôt qu'ils me manquent déjà.
Jacques A Nadeau
Athée, humaniste, libre penseur